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25 critiques presse
Le Parisien
par Catherine Balle
Une réflexion brillante sur le pouvoir de l’argent.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
par Caroline Vié
Denys Arcand signe un polar haletant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Olivier Pélisson
Le nouvel opus de Denys Arcand est une odyssée. Une parabole sur notre époque, phagocytée par l’argent. Un travail ambitieux et réjouissant, pour un film qui mêle les humeurs et raconte cette planète de dingue.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Un long-métrage réussi à l’humour corrosif.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
La Chute de l’empire américain, rien que ça au programme, par le réalisateur de Le Déclin de l’empire américain et Les Invasions barbares, fait œuvre satirique et ça nous met debout, autant qu’en joie.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Le résultat est probant : on rit, on serre les dents... et on adore la conclusion.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"La Chute de l’empire américain" commence comme un film de Quentin Tarantino, avec son braquage raté et violent ("Reservoir Dog"). Il se poursuit tel un film des frères Cohen comme "No Country for Old Men". Il continue enfin comme du pur Denys Arcand dans le démontage perspicace de faits de société, sur un ton de comédie débridée.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un mélange de polar, de comédie et de drame social aux fins d’une satire politique de haute volée.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Après deux heures d’un vrai divertissement d’aventures et d’émotion, impeccablement mené, se devine le plaisir du metteur en scène à jouer avec les codes du cinéma et à filmer ses acteurs.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Denys Arcand boucle sa trilogie sur l’état du monde avec une fable anticapitaliste caustique et hilarante.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une réjouissante charge sur l’empire de la finance et sur la manière de le dynamiter.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Le temps d’un polar rocambolesque, Denys Arcand épingle une société obsédée par l’argent.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un polar politiquement décapant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Sud Ouest
par Sophie Avon
Dialogues savoureux, mécanique bien fichue, film roboratif.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
Une plaisante satire de l’Amérique rongée par l’argent sale, par l’auteur des Invasions barbares.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Antoine Le Fur
Lorgnant du côté du cinéma d'action et du documentaire (Michael Moore, sort de ce corps !), le film de Denys Arcand se révèle difficile à cerner. Mais la pertinence du propos et l'humour pince-sans-rire hissent ce troisième épisode pas loin du niveau des deux premiers.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Suite improbable des "Invasions barbares" et du "Déclin de l'empire américain", cette satire de l'argent roi est amusante, à défaut d'être édifiante, généreuse en clichés, dialoguée avec vivacité, bien rythmée et interprétée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Nathalie Simon
Avec La Chute de l'empire américain, Denys Arcand livre une «fausse» suite mais une vraie comédie à sa trilogie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Marianne
par Olivier de Bruyn
Mieux vaut en rire (très) jaune qu'en pleurer. Après tout, pourquoi pas.
Ouest France
par La Rédaction
Une nouvelle fable acide et sarcastique du grand cinéaste canadien Denys Arcand.
Positif
par Fabien Baumann
[...] les brocards contre l'époque [...] valent quelques sourires. Mais l'intrigue criminelle empile sept ou huit détours inutiles et la rose romance entre le naïf mais érectile héros et une call-girl aux yeux de jade met à mal notre crédulité.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Et qu’importe l’angélisme ambiant, la fable, servie par une troupe aussi improbable qu’attachante, balance ses Scuds contre son ennemie, la finance, avec une bonne humeur contagieuse.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le rythme est relâché, parfois paresseux, le propos (la corruption par l’argent) est démenti par le scénario. Reste quelques trouvailles de scénario et le portrait d’un pays vu par un vieil homme qui ne le reconnaît plus.
Première
par Thierry Chèze
Disparu des radars depuis 2007 (peu de films réalisés, aucun marquant), Arcand reprend ici du poil de la bête, mais sa réalisation sans relief ne rend pas grâce à son maniement toujours aussi acéré de l’art de l’ironie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le résultat est un pensum, à moins que ça ne soit que son masque, et qu’en dessous se cache un petit polar présentable qui, en s’assumant, aurait été non seulement un film plus sympathique, mais peut-être même un bon.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Parisien
Une réflexion brillante sur le pouvoir de l’argent.
20 Minutes
Denys Arcand signe un polar haletant.
Bande à part
Le nouvel opus de Denys Arcand est une odyssée. Une parabole sur notre époque, phagocytée par l’argent. Un travail ambitieux et réjouissant, pour un film qui mêle les humeurs et raconte cette planète de dingue.
CNews
Un long-métrage réussi à l’humour corrosif.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La Chute de l’empire américain, rien que ça au programme, par le réalisateur de Le Déclin de l’empire américain et Les Invasions barbares, fait œuvre satirique et ça nous met debout, autant qu’en joie.
Femme Actuelle
Le résultat est probant : on rit, on serre les dents... et on adore la conclusion.
Franceinfo Culture
"La Chute de l’empire américain" commence comme un film de Quentin Tarantino, avec son braquage raté et violent ("Reservoir Dog"). Il se poursuit tel un film des frères Cohen comme "No Country for Old Men". Il continue enfin comme du pur Denys Arcand dans le démontage perspicace de faits de société, sur un ton de comédie débridée.
L'Humanité
Un mélange de polar, de comédie et de drame social aux fins d’une satire politique de haute volée.
La Croix
Après deux heures d’un vrai divertissement d’aventures et d’émotion, impeccablement mené, se devine le plaisir du metteur en scène à jouer avec les codes du cinéma et à filmer ses acteurs.
La Voix du Nord
Denys Arcand boucle sa trilogie sur l’état du monde avec une fable anticapitaliste caustique et hilarante.
Le Dauphiné Libéré
Une réjouissante charge sur l’empire de la finance et sur la manière de le dynamiter.
Le Journal du Dimanche
Le temps d’un polar rocambolesque, Denys Arcand épingle une société obsédée par l’argent.
Les Fiches du Cinéma
Un polar politiquement décapant.
Sud Ouest
Dialogues savoureux, mécanique bien fichue, film roboratif.
Télérama
Une plaisante satire de l’Amérique rongée par l’argent sale, par l’auteur des Invasions barbares.
L'Express
Lorgnant du côté du cinéma d'action et du documentaire (Michael Moore, sort de ce corps !), le film de Denys Arcand se révèle difficile à cerner. Mais la pertinence du propos et l'humour pince-sans-rire hissent ce troisième épisode pas loin du niveau des deux premiers.
L'Obs
Suite improbable des "Invasions barbares" et du "Déclin de l'empire américain", cette satire de l'argent roi est amusante, à défaut d'être édifiante, généreuse en clichés, dialoguée avec vivacité, bien rythmée et interprétée.
Le Figaro
Avec La Chute de l'empire américain, Denys Arcand livre une «fausse» suite mais une vraie comédie à sa trilogie.
Marianne
Mieux vaut en rire (très) jaune qu'en pleurer. Après tout, pourquoi pas.
Ouest France
Une nouvelle fable acide et sarcastique du grand cinéaste canadien Denys Arcand.
Positif
[...] les brocards contre l'époque [...] valent quelques sourires. Mais l'intrigue criminelle empile sept ou huit détours inutiles et la rose romance entre le naïf mais érectile héros et une call-girl aux yeux de jade met à mal notre crédulité.
Télé 7 Jours
Et qu’importe l’angélisme ambiant, la fable, servie par une troupe aussi improbable qu’attachante, balance ses Scuds contre son ennemie, la finance, avec une bonne humeur contagieuse.
Le Monde
Le rythme est relâché, parfois paresseux, le propos (la corruption par l’argent) est démenti par le scénario. Reste quelques trouvailles de scénario et le portrait d’un pays vu par un vieil homme qui ne le reconnaît plus.
Première
Disparu des radars depuis 2007 (peu de films réalisés, aucun marquant), Arcand reprend ici du poil de la bête, mais sa réalisation sans relief ne rend pas grâce à son maniement toujours aussi acéré de l’art de l’ironie.
Les Inrockuptibles
Le résultat est un pensum, à moins que ça ne soit que son masque, et qu’en dessous se cache un petit polar présentable qui, en s’assumant, aurait été non seulement un film plus sympathique, mais peut-être même un bon.