Avis : Nicky Larson et le parfum de Cupidon - Page 3

un grand merci aux équipes pour nous avoir sorti une adaptation très réussie de ce célèbre manga. Beaucoup de guest, des clins d'œil un peu partout et un bon mélange d'humour & d'action ! J'adore, l'émotion est là et mon seul regret est que les distributeurs n'aient pas pensé à ressortir la version livre pour les anciens et nouveaux fans…
Phil

Philippe Lacheau a fait le pari fou d’adapter City Hunter en film, autant dire que dès l’annonce tout ceux de ma génération et celle d’après a commence à crier au scandale (moi y compris j’avoue …). Il faut dire que je ne suis pas du tout film français et voir un de mes animes (et manga) préféré repris à la française ça a de quoi faire très très peur ! Il n’a pourtant pas baisser les bras allant jusqu’à même montrer son projet à Tsukasa Hojo et à réussir à récupérer les musiques pour aller avec ! Les premières images étaient attendues de pied ferme, l’affiche était plutôt bien réussie mais on avait hâte de voir la bande annonce et puis finalement les quelques passages montrées n’étaient pas aussi pires que ce que l’on aurait pu croire, et les passages étaient drôles. C’est donc avec une appréhension très forte que je me suis lancée et puis tant qu’à faire j’ai traîné mon mari et mon fils et on en est ressortis tous ravis !

Certes, ce n’est pas le film de l’année mais moi qui ait du mal avec l’humour français j’ai pas arrêter de rigoler ! C’est parfois lourd mais surtout très efficace contrairement à la majorité des comédies d’aujourd’hui où souvent ça tombe à plat, ici à chaque fois ça prend ! Il faut dire que c’est assez bien trouvé, on se plait à retrouver ce qu’on aime sur Nicky Larson, on le retrouve vraiment bien. Et puis Philippe Lacheau a super bien trouvé les références de ma génération reprenant des phrases que l’on connaît si bien ou encore Dorothée avec ses chaussettes rouges et jaunes à petits pois et j’en passe. Les personnages sont tous reconnaissables, tous efficaces. En plus, c’est bien fait, les scènes d’action sont vraiment excellentes, les cascades aussi drôles que réussies. Bref, vous l’aurez compris j’ai aimé ! Comme quoi il faut toujours se faire son propre avis ! Il y a des passages vraiment excellents, d’autres qui ne sont pas forcément trop pour les enfants mais ça va mon fils n’a pas été plus choqué que ça il a rigolé du début à la fin ! Il faut dire que ça enchaîne les gags mais le film sait se faire sérieux quand il faut. Par contre, des fois c’est du gros n’importe quoi mais c’est drôle. Je pense au gars attaché au lit avec la retransmission sur le net et qui se termine en course poursuite.

En résumé, Nicky Larson et le parfum de cupidon est une excellente comédie, une excellente surprise ! Je n’aurais jamais cru aimer autant et pourtant j’ai passé un excellent moment au cinéma, j’ai rigolé, j’ai adoré les personnages et finalement même Phiippe Lacheau en Nicky n’est pas si mal même si il manque un peu sa carrure ! Mention spéciale pour l’actrice qui joue Laura qui est également bien dans le rôle ! Une suite ? J’espère !

Incroyable mais vrai....cette adaptation de city hunter est juste extraordinaire. Philippe Lacheau à parfaitement compris la psychologie des personnages. On passe du rire aux larmes . Humour, action, émotion. Toute l'essence du manga est traduit à merveille dans ce film. Je pense sincèrement qu'il était impossible de faire mieux.

Comme pour beaucoup de personnes, Nicky a bercé mon enfance. Il représente mon initiation aux mangas. Philippe Lacheau avait donc une lourde responsabilité. Étant donné que j'adore la bande à Fifi, aller voir le film était obligé. Les références au club Dorothée, l'humour de Philippe, la présence de Nicky Larson, et surtout : l'intrique....tout était au rendez-vous. J'ai beaucoup rigolé, ainsi que le reste de la salle. Je pense que même les personnes qui ne connaissent pas Nicky vont aimer le film. J'espère que ce film aura le succès qu'il mérite.

On pouvait s'attendre au pire mais Nicky Larson et le parfum de Cupidon n'est pas le nanar attendu. Fidèle à l'esprit caartonesque et absurde du dessin animé ainsi qu'à sa reapropriation par le club Dorothee, ce divertissement très amusant aux scènes d'actions plutôt bien faites doit beaucoup à sa galerie de seconds rôles délirants, mention spéciale à Chantal Ladesou, absolument délirante, et à Pamela Anderson, qui surjoue avec brio son personnage public de bimbo. Alors oui le scénario tient sur un post it, l'humour est souvent ras les pâquerettes et certains passages un peu ratés mais c'est fun, drôle et nostalgique. Une bonne surprise.

Film à regarder sans se prendre la tête... Nous n'avons pas besoin de réfléchir. Pas réellement d'émotions et l'intrigue reste plus que mince.
Les gags à répétitions sont moyennement drôles et deviennent lassants. J'ai nettement moins rigolé que les précédents films de Philippe. A voir chez soi éventuellement mais ne vaut pas la peine de payer un ticket de cinéma.

D'abord, pardon. Tout simplement pardon à Philippe Lacheau et à sa bande pour avoir sous-estimé leur amour de l'anime "Nicky Larson" et, surtout, leur capacité à nous le faire ressentir.
Comme une grande majorité du public, dès l'annonce du film jusqu'au visionnage de la bande-annonce, je n'ai pas cru un seul instant à la viabilité d'un tel projet et ce, pour plusieurs raisons. Déjà, pour une question de goût personnel, je ne suis pas vraiment client des films de cette petite troupe dans lesquels je ne vois la plupart du temps que des concepts de comédies US à succès remis au goût du jour à la sauce franchouillarde. Ensuite, vu la débâcle totale des adaptations françaises de nos propres bandes dessinées dont on exhume la nostalgie pour la saccager sur grand écran, comment s'enthousiasmer autour d'un film qui irait s'attaquer cette fois à un anime/manga culte d'une autre culture avec cette même approche destructrice bien de chez nous ? Et, enfin, si, comme moi, vous avez grandi avec l'oeuvre de Tsukasa Hôjô, comment ne pas avoir tourné de l'oeil à la découverte de la première bande-annonce où un Nicky Larson/Ryô Saeba se retrouvait incarné par un Philippe Lacheau ayant autant de points communs physiques avec le personnage qu'avec un teckel à poils longs et où l'humour de La bande à Fifi trouvait une place bien trop prépondérante au milieu de scènes paraissant singer quelques moments cultes du matériau d'origine sans un rendu visuel à la hauteur ? "Nicky Larson et le Parfum de Cupidon" semblait naître dans une telle configuration parfaite d'astres alignés contre lui qu'il était bien difficile de ne pas tomber dans le bashing simpliste avant même de le voir dans son intégralité et c'est d'ailleurs ce que je fis accompagné d'un très grand nombre d'internautes. Mais le vent a commencé à tourner...
Plus que l'approbation de Hôjô lui-même (en même temps, Akira Toriyama avait bien validé l'abominable "Dragon Ball Evolution", la preuve que ça ne veut rien dire), c'est le nombre assez impressionnant de retours positifs lors des premières projections et avants-premières qui a suscité ma curiosité et l'envie de lui laisser sa chance. Et puis, pour l'avoir tellement descendu en amont, il fallait être un minimum honnête avec moi-même en allant me confronter au résultat final...

On en arrive donc à ce moment où je dois ravaler tout le venin que j'ai répandu sur le film de Philippe Lacheau. "Nicky Larson et le parfum de Cupidon" est évidemment très loin d'être parfait mais force est de constater que le long-métrage est une tentative réellement inspirée, transpirant un tel amour de l'anime en VF censurée par lequel on a tous découvert le personnage de Nicky Larson dans le Club Dorothée qu'il en devient souvent irrésistible et atypique par sa nature dans le paysage cinématographique français. Au delà du débat entre le manga, l'anime en VO et sa version française (tous trois différents), Philippe Lacheau a réussi a extirper l'esprit de Nicky Larson/City Hunter de ses différents supports et, le plus étonnant, à le marier à son humour potache sans que cela ne choque outre mesure et à en faire in fine une sorte de grosse communion-live pour tous les spectateurs ayant passé des matinées entières devant ces dessins animés japonais devenus cultes pour toute une génération. Oui, rien que ça, vous comprenez que l'on ne peut que s'incliner devant la sincérité qui émane d'une telle proposition.

Une fois n'est pas coutume, comme le film a de belles qualités mais aussi pas mal de maladresses, on l'abordera selon ses points positifs, mitigés et négatifs.

Les points positifs :
- Élodie Fontan en Laura/Kaori : c'est elle ! C'en est même incroyable comme si elle s'était échappée de l'anime ou des cases du manga ! Les expressions et les réactions tiennent de la symbiose parfaite avec son modèle dessinée, l'actrice a tellement tout compris du personnage que si, un jour, il y a une autre adaptation plus fidèle au manga, ça va être dur de la remplacer dans la mémoire collective. Et elle vole clairement la vedette à Philippe Lacheau en Nicky Larson, on ne voit qu'elle dans leurs scènes communes, le film aurait peut-être même dû s'appeler "City Hunter" pour mettre vraiment en valeur ce duo au coeur son intrigue.
- Les références à tous les incontournables de l'univers Nicky Larson/City Hunter : ben, il y a tout, on dois bien le reconnaître : le "XYZ", l'appartement où ils habitent, la relation si particulière entre Nicky et Laura, les massues, Hélène/Saeko (dommage que l'actrice ne soit "que" belle), certains noms prononcés... et même le corbeau, punaise, le CORBEAU ! Seul regret, il y a juste une trop forte volonté de tout vouloir mettre en un film comme le sort du frère de Laura, mal géré et avec un rendu dramatique très cheap.
- Les scènes d'action : c'est inégal mais le film fait encore là preuve d'une ambition inédite dans le cinéma français : la caméra qui suit le mouvement des coups, une séquence en vue subjective assez géniale,...Tout n'est pas forcément heureux mais ça reflète parfaitement l'esprit d'un long-métrage qui, quoiqu'il arrive, veut tenter des choses et, malgré un côté toujours trop franchouillard, il y a une audace visuelle bien trop rare chez nous à saluer, sans compter l'insertion des musiques et bruitages de l'anime participant pleinement à la coolitude de l'ensemble.

Les points mitigés :
- L'intrigue principale : elle ressemble aux histoires du manga où le côté obsédé de Nicky/Ryô est mis en danger (comme quand un hypnotiseur le rend impuissant par exemple) et ce n'était peut-être pas le meilleur choix pour un premier film servant à installer cet univers car, finalement, le problème qui le prive d'une de ses caractéristiques les plus fondamentales et qui aurait pu le remettre en cause de manière hilarante (si Hôjô avait eu une idée pareille, ça aurait été fou dans le manga) est ici survolée pour privilégier des gags vraiment faciles (et les plus sujets à polémiques même si, en réalité, cela reste plutôt du niveau d'une cour de récréation). Sinon, en général, l'intrigue n'est pas plus bête qu'un épisode de l'anime mais paraît quelques fois un poil simpliste sur une durée de 1h30. On regrettera la présence bien trop importante des deux acolytes/potes de Philippe Lacheau et le fait que le film se délocalise assez vite du décor urbain vers le sud de la France.
-Les références au Club Dorothée et aux animes de l'époque : bon, personnellement, en tant qu'aficionado de Dragon Ball, il y a un clin d'oeil qui m'a laissé admiratif, c'est presque du génie d'avoir pensé à l'insérer comme ça. Les autres allusions sont amusantes mais plus anecdotiques et l'apparition de Dorothée est complètement gratuite et ratée (ça fait même un peu de peine de la voir autant âgée à vrai dire)
- L'humour : difficile de proclamer que l'on s'est bien marré tout du long, c'est tellement facile la plupart du temps (ça restera évidemment très subjectif selon chacun) mais on se surprend à sourire pas mal voire à avoir quelques vrais éclats de rire comme, par exemple, avec ces canards particulièrement malmenés.

Les points négatifs :
- Philippe Lacheau en Nicky Larson : je n'y ai hélas pas cru... Sur l'aspect satyre du personnage, le passage en live nous fait clairement regretter les têtes dessinées pas possibles de Nicky/Ryô avec un recoin de bave aux lèvres pour vraiment emporter la mise de ce côté précis de l'humour. Bien entendu, ce n'est pas la faute de l'acteur mais il y a tout de même pas un manque de naturel dans ses intonations qui s'avère souvent gênant et il se fait dévorer tout cru par Élodie Fontan à ce jeu. Lacheau est bien meilleur dans les scènes d'action et, lors de la séquence la plus dramatique du film où il prendra une posture plus sérieuse, on se dira, enfin, "Ça y est, c'est lui !" mais cela n'arrivera hélas juste qu'une fois.
- Les guests françaises en surnombre : leur présence fait immanquablement sortir du film et la pertinence d'avoir pris Didier Bourdon dans un rôle important est plus que discutable. Encore une fois, les compères de Lacheau sont aussi trop omniprésents mais un peu moins que le laissait présager la bande-annonce.
-Mammouth/L'Éléphant : le personnage un peu sacrifié du lot en étant réduit à un simple rôle de silhouette massive et mutique. Et c'est finalement lui qui tient le plus du mauvais cosplayeur dans cette affaire avec, bizarrement, un costume pourtant très simple mais qui apparaît le moins crédible dans cette réalité alternée de l'univers Nicky Larson.

C'est d'ailleurs comme ça qu'il faut considérer "Nicky Larson et le Parfum de Cupidon", non pas comme une adaptation stricto sensu mais une sorte d'alternative où le seul mot d'ordre est de retranscrire le plus fidèlement l'état d'esprit de l'anime pour faire retrouver aux spectateurs le regard d'enfant qu'ils avaient en suivant les aventures de ce tueur à gages au grand coeur sur le petit écran. Bien sûr, on pourrait tergiverser plus longuement sur l'humour inégal et toutes les maladresses du long-métrage mais, de ce seul point de vue, Philippe Lacheau a réussi son pari et c'est bien là l'essentiel. Même au-delà, par ses tentatives constantes dans tous les domaines, "Nicky Larson et le Parfum de Cupidon" est une comédie qui détonne vraiment dans ce registre très souvent préfabriqué du cinéma français. Rien que pour ça, encore toutes nos excuses, Mr Lacheau, et, à ne pas en douter, on se reverra pour le deuxième opus, surtout si les Cat's Eyes sont de la partie...

Gros gros malaise ce film. A trop enchaîner les clins d'œil, ça perd tout son effet. Incohérences des dialogues et jeu d'acteur vraiment limite...

Vite revoir les animés pour oublier ça.

Vu en avant première , étant fan du manga et de l’animer de ma génération club Dorothée autant dire qu’il s’attaquait à un monument !!!
Est bien j’ai tout simplement adoré, quel pied de voir l’œuvre autant respecter, avec un côté franchie évident qui passe superbement (en tout cas c’est le genre d’humour qui marche avec moi).
Même l’action est à noter avec sans trop spolié une scène de combat à la première personne tout simplement topissime.
Et avec ça tellement de référence au club Do que j’ai du en rater quelqu’une, va falloir que j’y le revoir :)
Merci

j'aurais tellement aimé avoir aimé.
mais non je trouve que c'est lourd les acteurs jouent mal. tout est téléphoné.

Vu le temps qui s'est écoulé lorsqu'il passé encore à la TV..^^ On pourrait se dire que cela a été fait trop longtemps et douter, envoyant le coté Made in French. On est assez vite surpris par la fraîcheur, ou les parents qui ont connu ; vous donneront peut être envie de le voir pour leur enfant. Heureusement le réalisateur nous tient le long du film avec des situations qui s'enchaînent ou encore des retournements de situation… Sans oublier les clin d'œil. Pour le casting, chacun tient son rôle et amène du peps ajoutons dans le casting le duo français qui fonctionne à merveille, mais jamais tomber dans le grand n'importe quoi. C'est là que l'on remarque que le duo est complétement assumée et nous offre de bons comique de situation ou des mots et ou on pense assez vite que pas grand monde comprendront que c'est du second degré. Séquence action, comédie et également une touche manga pour les vrais fans; Bref, on assiste à un bon divertissement ou c'est le genre, soit durant les 30min (on va dire) vont accroché (fans de Nicky L. ou non) et resteront de A à Z. L'autre partie est n'est peut être pas spécialement leur genre, mais y vont par curiosité ou il aurait pu être sympa dans le générique de nous refaire un petit coup dans parallèlement à celui-ci. Mais bon démarrage tout de même. Amateur, curieux, "les trentenaires". A vous de voir

oui très bon petit film que je ne pensais pas spécialement aller voir. De l'action beaucoup d'humour avec des acteurs qu'on attendait pas forcément là (n'ayant pas vu la bande annonce). 1h30 comme il faut car il n'y aurait pas fallu qui'il dure plus ou trop longtemps. L'acteur vicieux qu'incarne Nicky est très bon.

Mort de rire pendant la projection comme tous les spectateurs présents, je compte bien m’acheter le DVD dès sa sortie pour revisionner le film à volonté. Les gags, souvent osés, s’enchaînent sans interruption, un vrai bonheur. Les scènes d’action sont impressionnantes même si Philippe Lacheau joue les modestes lors de ses interviews. Il est impossible d’énumérer ici toutes les trouvailles visuelles et autres plans de dingue dignes des plus grosses productions américaines qui parsèment le film. J’ai également beaucoup aimé la relation ambiguë entre les deux personnages principaux. Les acteurs se sont amusés dans le film, cela se voit à l’écran. Le seul inconvénient est qu’il y a un tel fourmillement d’idées rigolotes que se souvenir de toutes est impossible. Évidemment, une fois le film terminé, l’enthousiasme retombe un peu. Cela reste un film de divertissement, rien de viscéralement marquant... mais quel pied ! Il s’agit pour moi du meilleur film de la bande à Fifi à ce jour. Vivement la suite !

Je viens de le voir et là quelle rigolade acteurs parfait tout est exactement comme le manga ! Il y'a aussi de beaux clins d’œil de l'univers du club Dorothée . spoiler: Même Dorothée fait une petite apparition
! Si vous voulez une comédie déjanté Nicky est le film qu'il vous faut.
A VOIR

Philippe Lacheau est de retour avec une adaptation de la célèbre série d'animtion japonaise "Nicky Larson". Le pari était osé mais en fin de compte c’est une belle surprise ! De nombreuses scènes font rire et le comique de situation est toujours présent comme dans les films précédents de Lacheau. Il y aussi de nombreuses références hors Nicky Larson qui sont repérables et pour la plupart bien placées. Le côté pervers de Nicky (bien qu’il soit également présent dans le dessin animé) tire sur le vulgaire et le « too much » par moment mais dans l’ensemble, c’est une nouvelle comédie réussie pour la Bande à Fifi !