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Ce premier film de Dario Albertini est un étonnant portrait d'adolescent, fort, prenant, sensible, superbement interprété par Andrea Lattanzi, acteur novice et inspiré.
Le pathos est partout escamoté, l’inutile soustrait. L’expérience documentaire de Dario Albertini contribue sans doute à cette confiance dans la puissance du réel. Bonne route.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Sans réelle surprise dans la trajectoire de son héros, le film est néanmoins porté par un acteur (Andrea Lattanzi) d'une incroyable justesse qui donne à l'ensemble une puissante densité émotionnelle.
On pourrait craindre que cette quête de soi, prise entre mal-être et bons sentiments, cède au pathos et à la démonstration. Elle les évite en fait de façon sensible, en donnant au personnage de Manuel une humanité toute simple, que renforce le décor lourd d'un quotidien banal et triste, à mille lieues d'une Italie de lumière et de clichés.
(...) le film navigue ainsi avec un trait au réalisme acéré entre les codes du récit d’initiation, égrenant fausses pistes et figures toutes tendrement croquées, semées sur la route de son héros pour mieux les lui faire contourner (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le réalisateur Dano Albertini pose son regard doux sur le parcours de ce grand adolescent dans un corps d'homme, qui doit endosser des responsabilités d'adulte.
Conçu à partir d'un documentaire, "La Repubblica dei Ragazzi", "Il figlio, Manuel" ne s'embarrasse pas de fioritures. Si son réalisateur choisit de montrer une banlieue sans apprêt et de s'en tenir à une vision behavioriste, c'est pour mieux se focaliser sur son personnage et l'acteur qui l'incarne.
Dario Albertini a eu la chance de trouver en un presque débutant l’interprète idéal. Andrea Lattanzi a une gueule, et une carrure que semble constamment démentir une sensibilité révélée par un geste surprenant, une intonation inattendue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bien qu’il porte un peu trop le poids de ses références (…) Il figlio, Manuel s’affirme comme un portrait sensible d’un grand garçon perdu, passager de sa propre vie, et laisse présager du bel avenir de son auteur.
Souvent silencieux à l’écran, le jeune interprète de Manuel, Andrea Lattanzi, a la présence indéniable pour porter ce long-métrage à la narration hélas trop étirée.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Albertini, qui fait explicitement référence au cinéma de Truffaut, a trouvé en Andrea Lattanzi son Antoine Doinel. Il signe un film austère, presque monotone, traversé cependant par de beaux moments comme cette rencontre avec le boulanger qui emploiera le jeune homme.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
On pense au cinéma des Dardenne pour la manière d’Albertini de nous propulser par sa réalisation et ses cadrages dans la peau de son héros mais aussi évidemment au cinéma néo-réaliste italien dont Albertini se révèle un héritier plus que convaincant. Avec une délicatesse de chaque instant qui empêche son propos de verser dans le misérabilisme facile.
La critique complète est disponible sur le site Première
Comme pour mieux traduire la solitude et les peurs du lendemain de son sujet principal, // Figlio Manuel se fait volontiers austère, parfois terne Quitte a prendre le risque d'y perdre son spectateur
Primé au Festival du Film Méditerranéen de Montpellier, avant de rencontrer un joli succès aux Rencontres cinématographiques de Cannes, ce joli premier film est donc recommandable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Méthodiquement, le scénario multiplie obstacles et tentations, mis en scène selon les règles du réalisme numérique, couleurs tristes et caméra hyperactive. Restent la force et la séduction du personnage principal.
Le Figaroscope
Ce premier film de Dario Albertini est un étonnant portrait d'adolescent, fort, prenant, sensible, superbement interprété par Andrea Lattanzi, acteur novice et inspiré.
L'Humanité
Le pathos est partout escamoté, l’inutile soustrait. L’expérience documentaire de Dario Albertini contribue sans doute à cette confiance dans la puissance du réel. Bonne route.
La Septième Obsession
Sans réelle surprise dans la trajectoire de son héros, le film est néanmoins porté par un acteur (Andrea Lattanzi) d'une incroyable justesse qui donne à l'ensemble une puissante densité émotionnelle.
Le Dauphiné Libéré
On pourrait craindre que cette quête de soi, prise entre mal-être et bons sentiments, cède au pathos et à la démonstration. Elle les évite en fait de façon sensible, en donnant au personnage de Manuel une humanité toute simple, que renforce le décor lourd d'un quotidien banal et triste, à mille lieues d'une Italie de lumière et de clichés.
Le Figaro
Premier film de Dario Albertini, Il figlio, Manuel, est un beau portrait d'adolescent qui prend sa mère en charge.
Libération
(...) le film navigue ainsi avec un trait au réalisme acéré entre les codes du récit d’initiation, égrenant fausses pistes et figures toutes tendrement croquées, semées sur la route de son héros pour mieux les lui faire contourner (...).
Ouest France
Le réalisateur Dano Albertini pose son regard doux sur le parcours de ce grand adolescent dans un corps d'homme, qui doit endosser des responsabilités d'adulte.
Positif
Conçu à partir d'un documentaire, "La Repubblica dei Ragazzi", "Il figlio, Manuel" ne s'embarrasse pas de fioritures. Si son réalisateur choisit de montrer une banlieue sans apprêt et de s'en tenir à une vision behavioriste, c'est pour mieux se focaliser sur son personnage et l'acteur qui l'incarne.
Sud Ouest
Le cinéaste italien Dario Albertini filme le parcours d’un fils tout entier dévoué à la sortie de prison de sa mère. Beau défi.
Télérama
Dario Albertini a eu la chance de trouver en un presque débutant l’interprète idéal. Andrea Lattanzi a une gueule, et une carrure que semble constamment démentir une sensibilité révélée par un geste surprenant, une intonation inattendue.
Cahiers du Cinéma
Bien qu’il porte un peu trop le poids de ses références (…) Il figlio, Manuel s’affirme comme un portrait sensible d’un grand garçon perdu, passager de sa propre vie, et laisse présager du bel avenir de son auteur.
La Croix
Souvent silencieux à l’écran, le jeune interprète de Manuel, Andrea Lattanzi, a la présence indéniable pour porter ce long-métrage à la narration hélas trop étirée.
Le Parisien
Albertini, qui fait explicitement référence au cinéma de Truffaut, a trouvé en Andrea Lattanzi son Antoine Doinel. Il signe un film austère, presque monotone, traversé cependant par de beaux moments comme cette rencontre avec le boulanger qui emploiera le jeune homme.
Les Fiches du Cinéma
Entre récit initiatique et drame social, le film peine à se définir et déçoit par son écriture insipide et décousue.
Les Inrockuptibles
Un film populaire au meilleur sens du terme, c’est-à-dire qui regarde ses personnages du peuple, debouts et droits dans leur dignité.
Première
On pense au cinéma des Dardenne pour la manière d’Albertini de nous propulser par sa réalisation et ses cadrages dans la peau de son héros mais aussi évidemment au cinéma néo-réaliste italien dont Albertini se révèle un héritier plus que convaincant. Avec une délicatesse de chaque instant qui empêche son propos de verser dans le misérabilisme facile.
Rolling Stone
Comme pour mieux traduire la solitude et les peurs du lendemain de son sujet principal, // Figlio Manuel se fait volontiers austère, parfois terne Quitte a prendre le risque d'y perdre son spectateur
aVoir-aLire.com
Primé au Festival du Film Méditerranéen de Montpellier, avant de rencontrer un joli succès aux Rencontres cinématographiques de Cannes, ce joli premier film est donc recommandable.
L'Obs
C'est du travail de bon élève, du cinéma qui-veut-dire-quelque-chose. Mais, franchement, malgré un max de bonne volonté, on s'ennuie un poil.
Le Monde
Méthodiquement, le scénario multiplie obstacles et tentations, mis en scène selon les règles du réalisme numérique, couleurs tristes et caméra hyperactive. Restent la force et la séduction du personnage principal.