Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
39 critiques presse
BIBA
par Lili Yubari
À travers le portrait de ces deux losers magnifiques et de leur amitié indéfectible, Tarantino rend un hommage drôle et tendre aux sans-grade de l'industrie du cinéma qui oublient leurs répliques, noyés dans l'alcool, aux troisièmes couteaux abonnés aux rôles du mec-qui-tombe-à-cheval-au-second-plan-dont-on-ne-connaîtra-jamais-le-nom.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Jamais le cinéma de Tarantino n'était apparu si ouvertement bouleversant.
Critikat.com
par Josué Morel
L'un des films les plus accomplis et émouvants de Tarantino.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Une œuvre foisonnante, génialement cinégénique.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Ecran Large
par Christophe Foltzer
"Once Upon a Time... in Hollywood" risque de diviser les fans de Tarantino. Et pourtant, il s'agit probablement de son film le plus sincère et le plus touchant depuis "Jackie Brown". Une ôde au cinéma en tant qu'échappatoire tout autant qu'un rappel à la dure réalité. Bouleversant, magnifique, chef-d'oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un grand Tarantino, d'une richesse rare.
GQ
par Maxime Joly
Tout au long de "Once Upon a Time…", Quentin Tarantino décrit Hollywood comme un monde d’opportunités ratées et de fantasmes, avec un regard tour à tour mélancolique, admiratif et moqueur.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Ecran Fantastique
par Cédric Coppola
Pendant 2h40, l'oeuvre brasse habilement western, espionnage, guerre, épouvante, Kung-Fu et même Giallo, avec une maîtrise de tous les instants. Incontournable.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Oubliez le Tarantino radoteur et complaisant des « Huit Salopards » : voici son grand film sur le cinéma, nourri par son savoir encyclopédique et habité par ses souvenirs de gamin alors âgé de 6 ans.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Quentin Tarantino, plus désenchanté que d’habitude, rassemble un casting de folie pour évoquer une période-charnière de Los Angeles et de l’Amérique. D’une nostalgie touchante. D’une érudition totale. Et d’une audace folle !
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le réalisateur revisite le cinéma américain des sixties avec un œil acéré et beaucoup d’ironie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
[...] un film à la démesure de son génie créateur. Foisonnant, joyeux, virtuose et furieusement nostalgique.
Le Journal du Geek
par Henri Lahera
Avec Once Upon a Time in Hollywood, Tarantino convertit une nouvelle fois l'essai, et montre (contre son gré?) de vrais signes de maturité. Lettre d'amour à une époque fantasmée, cette série de digressions souvent humoristiques laisse infuser une mélancolie nouvelle dans sa filmographie.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Monde
par Jean-François Rauger
Mais si Once Upon a Time in… Hollywood constitue le chef-d’oeuvre de son auteur, c’est parce que l’on devine qu’à cette construction symbolique se mêle une série de sentiments personnels où Tarantino se dévoilerait lui-même intimement.
Première
par Guillaume Bonnet
Alors, quand les grilles de la villa s’ouvrent au petit matin, il ne faut y voir nul révisionnisme, nulle consolation, juste l’évocation douloureuse de ce qui n’est pas, de ce qui n’est plus, de ce qui n’a pas été. Une élégie. Un songe de nuit d’été, laissant une traînée de regrets tristes à l’instant du réveil. Non, vraiment, ce n’est pas un Tarantino comme les autres. Et non, on n’est pas là pour rigoler.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Tourné au cœur de la Mecque du cinéma, un grand film tragi-comique, ultra référencé et absolument jouissif. Du très beau Tarantino.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Il n'empêche : par son ampleur méditative, son stoïcisme laidback et une virtuosité (presque) jamais gratuite, "Once Upon a Time... in Hollywood" s'impose comme un film hors-norme.
Voici
par A.V.
Une balade drôle, sentimentale et mélancolique dans le Los Angeles des sixties.
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
Brad Pitt et Leonardo DiCaprio sont les grands atouts du film. Qu’ils cabotinent ou pas, ils crèvent l’écran de leur présence et se complètent à merveille.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
En accumulant griefs et fulgurances éparses, Quentin Tarantino semble avoir voulu réaliser un grand film malade pour stigmatiser le malaise hollywoodien de l’époque.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Septième Obsession
par Olivier Père
"Once Upon a Time… in Hollywood" est un film où le cinéma est partout, où tous les artifices du cinéma sont réunis et utilisés pour raconter une histoire en forme de fable.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
La façon dont il traite la question, comme il l’avait fait pour Hitler et sa sinistre entreprise, vaut son pesant de violence épouvantable, mais qui n’est peut-être pas exactement celle que l’on croyait. Pas de doute ! il était une fois, à nouveau… Tarantino.
Le Parisien
par La Rédaction
Un scénario plein d'humour, de nostalgie et de suspense, une reconstitution phénoménale du Los Angeles de la fin des années 60, une manière inouïe de mélanger personnages fictifs et réels, de grands comédiens - Al Pacino est aussi de la partie - formidablement utilisés à contre-emploi : quel film virtuose !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Mélancolique, drôle, violent, foisonnant, ce voyage chez les sans-grade de l'industrie du rêve reste fascinant par la perfection de ses finitions.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Orchestrant un ping-pong entre la vie et le cinéma, la mélancolie de DiCaprio et le génie comique de Brad Pitt, Tarantino signe un film personnel, ludique, émouvant et redoutablement intelligent sur la sortie de l’enfance.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Si "Once Upon a Time in America", le grand récit proustien du maître de Tarantino, Sergio Leone, carburait à l’opium et au ressouvenir, cet "Il était une fois" se shoote plutôt au cannabis : drogue par excellence de la coolitude et du temps qui coule. Il s’agit ici de faire durer le plaisir avant la fin inéluctable, de retarder au maximum la chute du paradis.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Clélia Cohen
[...] une ode à Los Angeles reconstitué dans sa gloire vintage avec un amour infini, sans recours aux trucages numériques, parsemé d’enseignes et de néons aux frontons des restaurants et cinémas pas forcément mythiques [...], que Tarantino prend plaisir à regarder s’allumer à la tombée du soir, comme autant de vestiges archéologiques pour cette ville née de nulle part sur un lopin de désert peu de temps après la fin de la ruée vers l’or.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Est-il un pro de l'épate ou le meilleur transcripteur de l'Amérique ? Tel un petit garçon doué de talents d'illusionniste, Tarantino nous tient en haleine plus de deux heures [...].
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Surprenant et enthousiasmant.
Paris Match
par Yannick Vely
Tout le film est une ode au cinéma, à ceux qui le font, à ceux qui l'imaginent comme des enfants dans une cour de récré et bien sûr à ceux qui regardent les films, qu'ils soient projetés sur un mur (mais en 35mm) ou dans une salle de cinéma (sublime séquence avec Margot Robbie-Sharon Tate).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Yann Tobin
[...] pas le grand oeuvre testamentaire que son titre laissait présager, mais un film inégal, léger, mélancolique et parfois intensément jouissif.
Télérama
par Jacques Morice
Déclaration d’amour à une époque bénie jetant ses derniers feux, ce neuvième film impose une nonchalance inédite. Ni tout à fait le même, ni tout à fait un autre, Tarantino séduit.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Closer
par La Rédaction
Passé l’émerveillement de la reconstitution de l'âge d'or d'Hollywood et la composition impeccable de Brad Pitt et Leonardo Dicaprio, ce Tarantino pour cinéphiles s'étire en longueur.
La Croix
par Céline Rouden
Jubilatoire mais inégal, le dernier film de Quentin Tarantino est un hommage du réalisateur à l’âge d’or d’un certain cinéma sur le point de disparaître.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Télé Loisirs
par Emilie Leoni
Un voyage cinéphile, déroutant et onirique, violent et mélancolique, mais qui n'est pas sans défauts.
Bande à part
par François-Xavier Taboni
En 1969, un acteur et un cascadeur croisent les parcours de Sharon Tate et de la « famille » Manson. Sur un sujet des plus délicats, Quentin Tarantino signe un film trop long, complaisant, mais parcouru de fulgurances et de splendides numéros d’acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Que Tarantino imagine ses ringards cools sauver son monde fantasmatique, soit, mais qu’il apparaisse comme le sauveur du cinéma américain alors qu’il a de moins en moins à en dire nous laisse plus que perplexes.
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) rien de personnel ni de profond dans cette vision éclaboussante de la société du spectacle réduite à des tics et des gimmicks.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
La déclaration d’amour que Tarantino fait à l’industrie hollywoodienne contemporaine de la libération sexuelle des années 60, n’est une surprise pour personne. Ce qui est plus étonnant, c’est qu’il le fasse à travers le personnage d’un acteur au bord du burn out, et qu’il refuse d’assumer qu’il parle de lui.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
BIBA
À travers le portrait de ces deux losers magnifiques et de leur amitié indéfectible, Tarantino rend un hommage drôle et tendre aux sans-grade de l'industrie du cinéma qui oublient leurs répliques, noyés dans l'alcool, aux troisièmes couteaux abonnés aux rôles du mec-qui-tombe-à-cheval-au-second-plan-dont-on-ne-connaîtra-jamais-le-nom.
CinemaTeaser
Jamais le cinéma de Tarantino n'était apparu si ouvertement bouleversant.
Critikat.com
L'un des films les plus accomplis et émouvants de Tarantino.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une œuvre foisonnante, génialement cinégénique.
Ecran Large
"Once Upon a Time... in Hollywood" risque de diviser les fans de Tarantino. Et pourtant, il s'agit probablement de son film le plus sincère et le plus touchant depuis "Jackie Brown". Une ôde au cinéma en tant qu'échappatoire tout autant qu'un rappel à la dure réalité. Bouleversant, magnifique, chef-d'oeuvre.
Femme Actuelle
Un grand Tarantino, d'une richesse rare.
GQ
Tout au long de "Once Upon a Time…", Quentin Tarantino décrit Hollywood comme un monde d’opportunités ratées et de fantasmes, avec un regard tour à tour mélancolique, admiratif et moqueur.
L'Ecran Fantastique
Pendant 2h40, l'oeuvre brasse habilement western, espionnage, guerre, épouvante, Kung-Fu et même Giallo, avec une maîtrise de tous les instants. Incontournable.
L'Obs
Oubliez le Tarantino radoteur et complaisant des « Huit Salopards » : voici son grand film sur le cinéma, nourri par son savoir encyclopédique et habité par ses souvenirs de gamin alors âgé de 6 ans.
La Voix du Nord
Quentin Tarantino, plus désenchanté que d’habitude, rassemble un casting de folie pour évoquer une période-charnière de Los Angeles et de l’Amérique. D’une nostalgie touchante. D’une érudition totale. Et d’une audace folle !
Le Figaro
Le réalisateur revisite le cinéma américain des sixties avec un œil acéré et beaucoup d’ironie.
Le Journal du Dimanche
[...] un film à la démesure de son génie créateur. Foisonnant, joyeux, virtuose et furieusement nostalgique.
Le Journal du Geek
Avec Once Upon a Time in Hollywood, Tarantino convertit une nouvelle fois l'essai, et montre (contre son gré?) de vrais signes de maturité. Lettre d'amour à une époque fantasmée, cette série de digressions souvent humoristiques laisse infuser une mélancolie nouvelle dans sa filmographie.
Le Monde
Mais si Once Upon a Time in… Hollywood constitue le chef-d’oeuvre de son auteur, c’est parce que l’on devine qu’à cette construction symbolique se mêle une série de sentiments personnels où Tarantino se dévoilerait lui-même intimement.
Première
Alors, quand les grilles de la villa s’ouvrent au petit matin, il ne faut y voir nul révisionnisme, nulle consolation, juste l’évocation douloureuse de ce qui n’est pas, de ce qui n’est plus, de ce qui n’a pas été. Une élégie. Un songe de nuit d’été, laissant une traînée de regrets tristes à l’instant du réveil. Non, vraiment, ce n’est pas un Tarantino comme les autres. Et non, on n’est pas là pour rigoler.
Rolling Stone
Tourné au cœur de la Mecque du cinéma, un grand film tragi-comique, ultra référencé et absolument jouissif. Du très beau Tarantino.
Transfuge
Il n'empêche : par son ampleur méditative, son stoïcisme laidback et une virtuosité (presque) jamais gratuite, "Once Upon a Time... in Hollywood" s'impose comme un film hors-norme.
Voici
Une balade drôle, sentimentale et mélancolique dans le Los Angeles des sixties.
Culturopoing.com
Brad Pitt et Leonardo DiCaprio sont les grands atouts du film. Qu’ils cabotinent ou pas, ils crèvent l’écran de leur présence et se complètent à merveille.
Franceinfo Culture
En accumulant griefs et fulgurances éparses, Quentin Tarantino semble avoir voulu réaliser un grand film malade pour stigmatiser le malaise hollywoodien de l’époque.
La Septième Obsession
"Once Upon a Time… in Hollywood" est un film où le cinéma est partout, où tous les artifices du cinéma sont réunis et utilisés pour raconter une histoire en forme de fable.
Le Dauphiné Libéré
La façon dont il traite la question, comme il l’avait fait pour Hitler et sa sinistre entreprise, vaut son pesant de violence épouvantable, mais qui n’est peut-être pas exactement celle que l’on croyait. Pas de doute ! il était une fois, à nouveau… Tarantino.
Le Parisien
Un scénario plein d'humour, de nostalgie et de suspense, une reconstitution phénoménale du Los Angeles de la fin des années 60, une manière inouïe de mélanger personnages fictifs et réels, de grands comédiens - Al Pacino est aussi de la partie - formidablement utilisés à contre-emploi : quel film virtuose !
Le Point
Mélancolique, drôle, violent, foisonnant, ce voyage chez les sans-grade de l'industrie du rêve reste fascinant par la perfection de ses finitions.
Les Fiches du Cinéma
Orchestrant un ping-pong entre la vie et le cinéma, la mélancolie de DiCaprio et le génie comique de Brad Pitt, Tarantino signe un film personnel, ludique, émouvant et redoutablement intelligent sur la sortie de l’enfance.
Les Inrockuptibles
Si "Once Upon a Time in America", le grand récit proustien du maître de Tarantino, Sergio Leone, carburait à l’opium et au ressouvenir, cet "Il était une fois" se shoote plutôt au cannabis : drogue par excellence de la coolitude et du temps qui coule. Il s’agit ici de faire durer le plaisir avant la fin inéluctable, de retarder au maximum la chute du paradis.
Libération
[...] une ode à Los Angeles reconstitué dans sa gloire vintage avec un amour infini, sans recours aux trucages numériques, parsemé d’enseignes et de néons aux frontons des restaurants et cinémas pas forcément mythiques [...], que Tarantino prend plaisir à regarder s’allumer à la tombée du soir, comme autant de vestiges archéologiques pour cette ville née de nulle part sur un lopin de désert peu de temps après la fin de la ruée vers l’or.
Marie Claire
Est-il un pro de l'épate ou le meilleur transcripteur de l'Amérique ? Tel un petit garçon doué de talents d'illusionniste, Tarantino nous tient en haleine plus de deux heures [...].
Ouest France
Surprenant et enthousiasmant.
Paris Match
Tout le film est une ode au cinéma, à ceux qui le font, à ceux qui l'imaginent comme des enfants dans une cour de récré et bien sûr à ceux qui regardent les films, qu'ils soient projetés sur un mur (mais en 35mm) ou dans une salle de cinéma (sublime séquence avec Margot Robbie-Sharon Tate).
Positif
[...] pas le grand oeuvre testamentaire que son titre laissait présager, mais un film inégal, léger, mélancolique et parfois intensément jouissif.
Télérama
Déclaration d’amour à une époque bénie jetant ses derniers feux, ce neuvième film impose une nonchalance inédite. Ni tout à fait le même, ni tout à fait un autre, Tarantino séduit.
Closer
Passé l’émerveillement de la reconstitution de l'âge d'or d'Hollywood et la composition impeccable de Brad Pitt et Leonardo Dicaprio, ce Tarantino pour cinéphiles s'étire en longueur.
La Croix
Jubilatoire mais inégal, le dernier film de Quentin Tarantino est un hommage du réalisateur à l’âge d’or d’un certain cinéma sur le point de disparaître.
Télé Loisirs
Un voyage cinéphile, déroutant et onirique, violent et mélancolique, mais qui n'est pas sans défauts.
Bande à part
En 1969, un acteur et un cascadeur croisent les parcours de Sharon Tate et de la « famille » Manson. Sur un sujet des plus délicats, Quentin Tarantino signe un film trop long, complaisant, mais parcouru de fulgurances et de splendides numéros d’acteurs.
Cahiers du Cinéma
Que Tarantino imagine ses ringards cools sauver son monde fantasmatique, soit, mais qu’il apparaisse comme le sauveur du cinéma américain alors qu’il a de moins en moins à en dire nous laisse plus que perplexes.
L'Humanité
(...) rien de personnel ni de profond dans cette vision éclaboussante de la société du spectacle réduite à des tics et des gimmicks.
aVoir-aLire.com
La déclaration d’amour que Tarantino fait à l’industrie hollywoodienne contemporaine de la libération sexuelle des années 60, n’est une surprise pour personne. Ce qui est plus étonnant, c’est qu’il le fasse à travers le personnage d’un acteur au bord du burn out, et qu’il refuse d’assumer qu’il parle de lui.