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La majesté des couleurs, des teintes et des dégradés, la beauté des tracés et des mouvements, soutenus par la partition élégiaque du compositeur Christophe Heral, contribuent à la parfaite réussite de ce spectacle d’orfèvres majeurs.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Un film à la fois beau et profond, placé sous le signe de la mélancolie, qui rappelle un peu l'univers de Michel Ocelot, et beaucoup celui de Paul Grimault (Le Roi et l'Oiseau), dont Laguionie fut l'élève.
Si l’ensemble, porté par un dessin à l’expressivité contenue, est sans doute un peu sage, Le Voyage du Prince intrigue par son ode discrète à la curiosité, sans souffle épique mais teintée de désenchantement.
Vingt ans après son chef-d'oeuvre, Le Château des Singes, Jean-François Laguionie remet en scène le Prince Laankos. (...) Et côté graphisme, Laguionie, très inspiré, signe un petit bijou aux lignes très pures et tout en camaïeu de teintes vertes et brunes, pour aboutir à une pépite aussi splendide que drôle et intelligente, qui pourra séduire toutes les tranches d'âge.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
La beauté de l'animation et des décors est d'abord ce qui frappe le spectateur. Le romanesque du récit semble synthétiser de nombreux contes et romans d'aventures et fantastiques, comme ceux de Stevenson. Enfin, le film regorge de citations des plus grands maîtres du cinéma, d'Eisenstein à Hitchcock en passant par Fritz Lang.
Conte philosophique qui refuse de faire la morale, ce Voyage parle de consommation et des arts (en rejouant un King Kong au pays des singes), de travail et d’aliénation, virant fable verte tout en s’autorisant un peu de mordant sur les babas écolos des cimes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Une jolie fable animée où graphisme et discours se parent d'une fausse simplicité pour diffuser un sous-texte humaniste et interroger en creux l'idée même de progrès.
Ici, point de discours explicatif, seul le premier plan peut évoquer le sort des migrants sur nos plages. Mais rien n’est souligné. Le ton est à la méditation tranquille, toute de douceur et de mélancolie.
Bande à part
La majesté des couleurs, des teintes et des dégradés, la beauté des tracés et des mouvements, soutenus par la partition élégiaque du compositeur Christophe Heral, contribuent à la parfaite réussite de ce spectacle d’orfèvres majeurs.
L'Express
Un film à la fois beau et profond, placé sous le signe de la mélancolie, qui rappelle un peu l'univers de Michel Ocelot, et beaucoup celui de Paul Grimault (Le Roi et l'Oiseau), dont Laguionie fut l'élève.
Télérama
Une superbe fable humaniste.
20 Minutes
Le maître de l'animation Jean-François Laguionie offre un prolongement magique au « Château des singes » avec « Le Voyage du prince ».
CNews
[Un] joli film d’animation aux somptueux décors [...].
Cahiers du Cinéma
Si l’ensemble, porté par un dessin à l’expressivité contenue, est sans doute un peu sage, Le Voyage du Prince intrigue par son ode discrète à la curiosité, sans souffle épique mais teintée de désenchantement.
Le Figaro
Avec Le Voyage du prince, celui qui fut le disciple de Paul Grimault signe une fable pleine de sagesse et d’espoir.
Le Journal du Dimanche
Une fable philosophique très fine, portée par la musique envoûtante de Christophe Héral, à voir en famille à partir de 9 ans.
Le Monde
C’est diabolique, drôle et jamais trop appuyé.
Le Parisien
Vingt ans après son chef-d'oeuvre, Le Château des Singes, Jean-François Laguionie remet en scène le Prince Laankos. (...) Et côté graphisme, Laguionie, très inspiré, signe un petit bijou aux lignes très pures et tout en camaïeu de teintes vertes et brunes, pour aboutir à une pépite aussi splendide que drôle et intelligente, qui pourra séduire toutes les tranches d'âge.
Les Fiches du Cinéma
Un conte aux pourtours métaphoriques qui, grâce à la multiplicité de ses niveaux de lecture, s’adresse à tous les publics.
Les Inrockuptibles
La beauté de l'animation et des décors est d'abord ce qui frappe le spectateur. Le romanesque du récit semble synthétiser de nombreux contes et romans d'aventures et fantastiques, comme ceux de Stevenson. Enfin, le film regorge de citations des plus grands maîtres du cinéma, d'Eisenstein à Hitchcock en passant par Fritz Lang.
Libération
Conte philosophique qui refuse de faire la morale, ce Voyage parle de consommation et des arts (en rejouant un King Kong au pays des singes), de travail et d’aliénation, virant fable verte tout en s’autorisant un peu de mordant sur les babas écolos des cimes.
Marie Claire
Une jolie fable animée où graphisme et discours se parent d'une fausse simplicité pour diffuser un sous-texte humaniste et interroger en creux l'idée même de progrès.
Ouest France
Une fable philosophique tendre et piquante.
Paris Match
Une merveille d’intelligence pour les petits et grands enfants à partir de 7 ans.
Positif
Ici, point de discours explicatif, seul le premier plan peut évoquer le sort des migrants sur nos plages. Mais rien n’est souligné. Le ton est à la méditation tranquille, toute de douceur et de mélancolie.
Première
Visuellement, musicalement, oralement, Le Voyage du prince est une véritable merveille.