Mon compte
    Proxima
    Note moyenne
    3,6
    2505 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Proxima ?

    199 critiques spectateurs

    5
    13 critiques
    4
    59 critiques
    3
    60 critiques
    2
    42 critiques
    1
    15 critiques
    0
    10 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    poet75
    poet75

    258 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 novembre 2019
    Quand il s’agit de filmer des spationautes, les réalisateurs privilégient le temps de la mission, du voyage dans l’espace, plutôt que ce qui précède. C’est pour le choix inverse qu’a opté Alice Winocour. Ce n’est qu’à la toute fin du film qu’elle nous montre la fusée décollant de la base de Baïkonour pour un voyage spatial qui doit durer une année et dont on devine au cours du récit qu’il n’est pas sans risque. Or, à l’intérieur du module spatial, il se trouve trois astronautes, deux hommes et une femme, Sarah Loreau (Eva Green), qui est mère d’une petite Stella (Zélie Boulant-Lemesle), une enfant de sept ou huit ans, dont il faut donc qu’elle se sépare.
    C’est comme s’il fallait couper une deuxième fois le cordon ombilical, sauf qu’il s’agit d’une petite fille qui est en âge d’exprimer ses réactions et qui, on le conçoit volontiers, a du mal à accepter que sa mère puisse la laisser pendant une durée si longue. Tout l’intérêt du film se concentre d’ailleurs sur ce point particulier. Les séances d’entraînement de Sarah ont certes quelque chose de spectaculaire, mais on ne peut les regarder sans ressentir une impression de déjà-vu. Même si les cinéastes préfèrent filmer le temps des voyages spatiaux, ils nous cependant déjà fait voir plus d’une fois des séances d’entraînement, cela n’a rien d’original.
    Ce qui donne sa particularité au film d’Alice Winocour, c’est donc le regard de l’enfant. Comment faire comprendre à une fille de sept ou huit ans qu’il va lui falloir se séparer de sa mère ? C’est d’autant plus compliqué que celle-ci vit seule, séparée de son ex-mari, à qui il faut bien néanmoins confier la garde de Stella. Alice Winocour a, fort heureusement, évité toutes les scènes de pathos. Il lui suffit de peu pour faire ressentir la peine ou l’incompréhension éprouvées par l’enfant : son visage aux grands yeux interrogatifs, une séance de préparation sous l’égide d’une accompagnatrice dévolue à ce service, la mère et l’enfant séparées par une vitre…
    Tout au long du film, on ne peut que s’interroger. Sarah est passionnée par son métier, elle désire depuis longue date effectuer un voyage spatial, on le comprend fort bien. Mais le fait d’être mère d’une enfant de huit ans ne devrait-il pas l’emporter sur toute autre considération ? La réponse est peut-être qu’il faut que la petite fille accepte que sa mère soit habitée par cette autre passion : aller vers les étoiles et la laisser, pour un temps, sur terre, elle qui est, elle aussi, une étoile (Stella) !
    lionelb30
    lionelb30

    392 abonnés 2 510 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 décembre 2019
    Il ne se passe presque rien dans ce film a part la préparation pour un départ dans l'espace mais il est presque hypnotique par le cote spatial et la relation mère fille sobrement traite est convaincante. Reste que cela devient long sur la fin et on décroche un peu.
    Shephard69
    Shephard69

    287 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 juillet 2020
    Sur le thème très peu débattu au cinéma des femmes astronautes et du dilemme inhérent de la maternité, un long-métrage qui m'a fait penser au récent "Room" avec Brie Larson et Jacob Tremblay pour sa réflexion autour d'une situation exceptionnelle, ici le premier vol spatial d'une mère spationaute, par le biais du regard d'un enfant. Un film qui interroge également sur la notion d'engagement, de sacrifice dans une aventure humaine ou comment concilier sa vie sociale et surtout familiale dans un projet de longue haleine d'exploration de l'espace. Loin de toute extravagance scénaristique, un ensemble à l'écriture assez linéaire, mis en scène sans fioritures inutiles, porté par une prestation toute en justesse d'Eva Green oscillant superbement entre détermination, accomplissement d'un rêve d'enfant et doutes concernant le bien-fondé de son ambition et le sacrifice imposé à sa fille. Parfois assez lent et éthéré mais une belle oeuvre.
    CH1218
    CH1218

    161 abonnés 2 773 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 juin 2023
    Sur la base de plusieurs témoignages, Alice Winocour dissèque les tourments d’une astronaute et avant tout d’une maman alors en pleine préparation pour une mission spatiale, synonyme d’une inévitable et longue séparation. Même si l’ensemble reste convenu, « Proxima », est un fort joli film sur les liens affectifs mère-fille, à la fois féministe et très épuré dans sa conception, porté avec efficience par ses deux interprètes principales, Eva Green et la jeune Zélie Boulant-Lemesle.
    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    131 abonnés 676 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 janvier 2023
    Superbe long métrage, avec un magnifique portrait de femme. Proxima est un film d'une grande sensibilité, un film touchant et attachant du début à la fin. Alice Winocour se place dans le sillage d'Interstellar et Ad Astra, en montrant qu'en allant dans l'espace on finit par se rendre compte combien la Terre est si précieuse et combien le plus important... ce sont les liens humains et familiaux.

    Par contre, on n'est pas du tout dans la même ambiance que ces deux films, tout le long métrage se déroulant sur Terre. Il dépeint avant tout l'entrainement surhumain des spationautes et la façon dont une mère vit l'éloignement d'avec sa fille. Pas d'effets spéciaux ni d'action débridée ici. En revanche la réalisation est de qualité, avec de beaux cadrages et une belle photographie.

    Mais au-delà de l'esthétique, l'écriture des personnages et leur interprétation parfaite sont les grandes forces de ce long métrage, avec notamment une Eva Green bluffante. Proxima est un film avec beaucoup de douceur, qui illustre des sentiments universels, que l'on soit Français, Américain ou Russe, comme ce trio de spationautes au centre de l'histoire. Le film comporte beaucoup de très belles scènes, où l'émotion affleure régulièrement, et une certaine poésie, utilisée à bon escient. Une vraie réussite en somme.
    Jonathan M
    Jonathan M

    115 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mars 2020
    Alice Winocour est en train de créer sa singularité. Après l'uppercut Maryland, la revoilà plus intimiste avec ce Proxima émouvant. De part cette relation fusionnel entre une mère et sa fille. Une mère qui va devenir grande avec son ascension vers l'espace, mais déjà immense aux yeux de sa fille. Tout le coeur émotionnel du film réside dans ce climat austère, froid et rigide que peut être un entrainement intensif pour la préparation d'un vol spatiale, confiné au fait que la famille et les proches sont loin de tout ce décor : la fameuse proximité. Une pépite de cinéma, ouvertement féministe et juste, gorgée de sentiment qu'il faut s'empresser de regarder. *TOP 5 FILM 2019*
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    95 abonnés 1 180 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 décembre 2019
    C'est film hommage avant tout, aux femmes astronautes tiraillées entre famille et aventure personnelle. On découvre les coulisses quotidiennes des semaines précédant un lancement de vol habité. C'est très humain, réaliste, mais au-delà de ça, il ne s'agit pas d'un chef-d'oeuvre qui marquera l'histoire du cinéma.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    78 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 août 2023
    Troisième long-métrage d’Alice Winocour, Proxima prend la forme d’une œuvre très documentée sur la vie des astronautes, en grande partie consacrée à des entraînements et des préparations pointues dans l’attente de partir en hypothétique mission – le film a d’ailleurs été tourné au Centre européen des astronautes à Cologne, à la Cité des étoiles près de Moscou et à Baïkonour. Centré sur les personnages de Sarah (Eva Green) et de sa fille de 8 ans, ce film ambitieux raconte l’équation complexe pour une femme cosmonaute consistant à mener une vie de famille tout en poursuivant une ascension professionnelle dans cet univers hautement masculin, en s’appuyant sur des témoignages de femmes ayant voyagé dans l’espace. Pourtant, et de manière contradictoire, Proxima pêche un peu par son manque de crédibilité dans l’écriture de ses personnages. Pour le dire autrement, en dépit du talent d’Eva Green, on a franchement du mal à l’imaginer sur le point d’embarquer pour une mission spatiale.
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    70 abonnés 483 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 novembre 2019
    Ou la conquête de l’espace vu sous l’angle maternel ! Bon, dit comme ça, on ne s’emballe pas !
    La conquête spatiale, par le petit bout de la lorgnette ?
    Deux parties ou deux thèmes centraux:
    - après la sélection des cosmonautes: la préparation, l’entrainement physique, la surveillance médicale,presque documentaire.
    - la Maman, qui se prépare à quitter sa petite fille, avec tous les problèmes psychologiques (vais-je revenir? j’abandonne ma fille)
    et de la petite fille (Maman préfère l’espace à sa fille).
    Une approche singulière qui fait l’intérêt du film
    VOSTTL
    VOSTTL

    70 abonnés 1 804 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 septembre 2020
    Alice Winocour a bûché et ça se sent… presque ! J’aurais aimé que Proxima » rejoigne ma DVthèque mais il y a une séquence qui ne passe pas en ce qui me concerne. Celle où Sarah fugue de sa quarantaine pour honorer une promesse faite à sa fille Stella, âgée de 8 ans. Quelle maman merveilleuse ! Oh que c’est mignon ! Jamais, ô grand jamais, je n’aurais imaginé une seconde être sarcastique. Au risque de me répéter, jusqu’à ce moment du film, j’envisageais « Proxima » dans ma DVthèque. Pour une (des rares) fois, ce récit qui emmenait des cosmonautes dans la Station Spatiale Internationale ne relevait pas de la science-fiction. De plus, ce qui pourrait être considéré comme original, et sans pour autant spolier, le récit nous dispense du voyage, il s’applique à nous présenter l’entraînement. Au-delà des entraînements dans la centrifugeuse, dans la piscine et autres disciplines rigoureuses, Winocour nous présente le portrait d’une femme mère. De la difficulté de concilier une profession qui concerne que très peu d’élues et la maternité. Femme divorcée, femme de tête, Sarah est enthousiaste à l’idée de rejoindre l'ISS, et donc de voyager dans l’espace. Un rêve de gosse qui se réalise grâce à sa ténacité, à sa détermination, à son travail, à ses sacrifices. Seulement, cette femme qui est aussi mère doit lutter encore plus pour légitimer sa place dans un monde d’hommes, se révèle par moments fragile. Et c’est humain. Partir en mission durant un an dans l’espace, ce n’est pas partir en formation à l’autre bout de la France ou du monde. Partir dans l’espace c’est non seulement périlleux mais oblitère toute possibilité de consacrer un week-end pour rendre visite à sa petite fille ou la recevoir. Le jeu subtile d’Eva Green laisse entrevoir par instants une pointe de culpabilité. C’est laisser pour ne pas dire « abandonner » sa fille durant un an. « Proxima » ne s’intéresse pas seulement à ceux qui partent, « Proxima » parle aussi à ceux qui restent. A ceux qui ne peuvent pas suivre. Winocour interroge ou ne cesse de s’interroger sous les traits de Sarah. Mais s’interroge-t-on autant du côté des hommes ? Ils sont pères pour beaucoup. Un père tiraillé par la culpabilité, aussi infime soit-elle aurait été plus inattendu. Une mère préoccupée est d’un banal ! Sarah est tiraillée par ce sentiment de culpabilité, pas nécessairement sur sa mission d’un an qui va l’éloigner de la Terre, mais parce que cette mission qui l’accapare énormément ne lui laisse pas le temps d’être auprès de sa fille qui est en demande constante. Et cette demande la culpabilise. Même si sa fille est à même de comprendre la situation, Winocour n’oublie pas que sa fille a 8 ans, et comme tous les enfants qui sont censés comprendre peuvent par moments se montrer exigeants, voire capricieux. Seulement Winocour craque comme elle fait craquer son héroïne, Sarah. Winocour veut activer la fibre maternelle, fibre universelle afin que toutes les femmes se reconnaissent dans ce langage organique. Au lieu de dire « On ne fait pas toujours ce qu’on veut dans la vie », Winocour lance un message contraire à toutes les mamans : « Tenez vos promesses coûte que coûte, mères ! » Winocour se laisse aller à son fantasme, ainsi, Sarah, spoiler: à la veille de son départ pour la Station Spatiale Internationale, fuguera en pleine nuit pour amener sa fille voir la fusée sur son pas de tir !
    Triste ! Jusque là le film présentait un sans faute, cette relation mère-astronaute-fille était captivante, la trame se suffisait à elle-même. Film réaliste poignant par moments et soudainement, Winocour saborde le réalisme pour lorgner durant quelques secondes du côté film d’aventure pour enfants niais. spoiler: A la faveur de la nuit, Sarah va déjouer la sécurité, on la voit faire des sauts de puce d’angle de bâtiment à angle de bâtiment, le souffle court. Quel suspens ! Par contre, après avoir vu la fusée,
    Winocour se garde bien de nous relater le retour à la quarantaine, alors qu’il fait jour. Facilité de scénario digne d’un metteur en scène paresseux. Winocour a eu les autorisations de filmer dans Baikonour. C’est un véritable privilège. J’imagine les responsables de la Cité des Etoiles après visionnage du film : tournés en ridicules ! Mais non ! Rassurez-vous, Winocour voulait apporter un peu de romanesque. On sait très bien que c’est super cadré. En soit, on s’en fiche de Baikonour, ce n’est pas le plus important, le sujet central c’est cette relation mère-astronaute et sa fille. C’est beau. Ben voyons ! C’était déjà très poignant, il était inutile de greffer une aventure bidon. Tout le réalisme du film, son côté documentaire, indéniablement Winocour s’est bien documentée, s’effondre avec cette fugue irréaliste. Sarah pour qui j’avais non seulement de l’admiration, (j’admire tous les astronautes et autres cosmonautes) et de l’estime me déçoit terriblement. Non seulement, elle fait une faute professionnelle qui peut donner raison à Mike Shannon(Matt Dillon), à tous ceux qui mettent toujours en doute les capacités d’une femme, mère de surcroit, mais elle met en péril toute la mission ! Et pas seulement au sol. Ceux qui occupent la Station Spatiale. Certes, me direz-vous, il y a les doublures qui en principe doivent répondre immédiatement au remplacement. On comprenait très bien la difficulté de Sarah, et c’était suffisamment poignant, et cela aurait gagné en crédibilité si Sarah avait été mortifiée de ne pas avoir pu tenir sa promesse. Dommage. A moins que Winocour se soit inspirée d’un fait réel, une astronaute qui a fugué pour faire plaisir à sa fille. Dans ce cas, prévenir le spectateur sans pour autant dévoiler l’identité de l’astronaute. Mais tant que je n’ai pas la preuve, j’ai du mal à accepter sa démarche artistique. Malgré mon immense déception, je tiens à bien noter le film pour l’interprétation d’Eva Green, pour le sujet et une partie de la vision de Winocour.
    AlphaWolf
    AlphaWolf

    63 abonnés 810 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 avril 2020
    Le parti pris d'aborder le thème du voyage dans l'espace uniquement à travers les préparatifs et l'entraînement est intéressant et nous amène à découvrir l'envers du décor de façon très réaliste, qui plus est à travers les yeux d'une femme. De facto, une grande partie du film s'apparente malheureusement plus à un documentaire, le scénario manque de dimension dramatique et reste assez passif même si ce choix semble assumé. Des passages à vide et certaines redondances plombent aussi un peu une production qui reste tout de même de bonne facture.
    iceman7582
    iceman7582

    40 abonnés 1 157 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 août 2020
    Un joli film. Uniquement axé sur l'entraînement et la relation mère-fille, cette plongée au milieu des astraunotes se révèle touchante et souvent à fleur de peau. Eva Green y est sublime en mère déchirée entre sa passion et sa fille.
    bug bunny
    bug bunny

    40 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 décembre 2020
    un film très prenant dans son histoire et réel entre l'amour de son travail et sa fille , sait pas évident , ca remet en question quand ont est parents
    Dora M.
    Dora M.

    50 abonnés 480 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 janvier 2021
    Sarah (Eva Green) a été choisie pour la prochaine mission sur Mars, c’est son rêve. On suit donc son entraînement avant de partir mais elle se prépare surtout à laisser sa fille de 8 ans dont elle est très proche.
    Le film est très instructif et intéressant sur la préparation des astronautes. Le personnage d’Eva Green est touchant, humain sans en faire trop jusqu’aux 20 dernières minutes du film spoiler: qui sont malheureusement improbables (elle sort de la quarantaine sans se faire remarquer pour tenir sa promesse d’emmener sa fille voir la fusée, sans parler de l’image de fin des chevaux sauvages aux galop non loin du bus)
    . C’est dommage car le reste du film est très crédible.
    Ce qui est intéressant également, c’est que rien ne se passe dans l’espace, contrairement aux autres films sur le même thème qui se déroulent souvent dans une navette spatiale.
    Mise à part la fin, j’ai trouvé ce film intéressant et sans temps mort.
    fabrice d.
    fabrice d.

    22 abonnés 1 405 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 janvier 2024
    C'est un chouette film, une histoire de femme, une histoire originale, celle de femmes astronautes, cosmonaute ou spationautes, comme on veut, avec Eva Green, et sa fille et Alice Winocour aux commandes, à qui on doit Marylan, par exemple, qui comparé à ce Proxima est un cran en-dessous. C'est donc un film de femmes, celles de toutes les femmes qui se battent au quotidien pour conjuguer vie professionnelle et vie familiale. Ce film semble personnel, et intimiste, une histoire de femmes donc, dans un monde d'hommes. A voir.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top