AlloCiné
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Note moyenne
3,1
2022 notes
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Votre avis sur Johnny English contre-attaque ?
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On retrouve Rowan ATKINSON dans la troisième aventure de Johnny English. Sans surprise cela reste dans la droite lignée des opus précédents, l'effet de surprise en moins. On assiste à un festival de gags pas toujours très fins mais qui nous permettent quand même de passer un agréable moment. On aime ou on aime pas. Ce n'est de toute évidence pas la comédie d'espionnage de l'année.
Troisième volet des aventures de l'agent secret anglais le plus catastrophique de l'histoire du MI6 : Johnny English.
J'aime beaucoup Rowan Atkinson en général (Mr Bean) mais malheureusement le scénario de ce numéro 3 est bâclé au possible et uniquement prétexte à des gags plus gros les uns que les autres.
Certes, j'ai rigolé 3-4 fois mais que c'est lourd dans l'ensemble !!
Ce sont en fait les personnages autour de Johnny English qui sont les plus caricaturaux et les plus mauvais au final : la première ministre anglaise déjantée, le méchant geek qui veut dominer le monde, l'espionne soviétique faiblarde et j'en passe...
Dommage car cet acteur est vraiment parfois pathétiquement drôle !
Insuffisant ici.
--> Site CINEMADOURG <--
J'aime beaucoup Rowan Atkinson en général (Mr Bean) mais malheureusement le scénario de ce numéro 3 est bâclé au possible et uniquement prétexte à des gags plus gros les uns que les autres.
Certes, j'ai rigolé 3-4 fois mais que c'est lourd dans l'ensemble !!
Ce sont en fait les personnages autour de Johnny English qui sont les plus caricaturaux et les plus mauvais au final : la première ministre anglaise déjantée, le méchant geek qui veut dominer le monde, l'espionne soviétique faiblarde et j'en passe...
Dommage car cet acteur est vraiment parfois pathétiquement drôle !
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Freakin Geek
On avait bien raison de ne rien attendre de ce Johnny English Contre-Attaque tant il fait dans le réchauffé. Si Rowan Atkinson assure à nouveau le job en renfilant le costume d"agent secret et en réussissant parfois à nous étonner de pouvoir encore tenir physiquement le rôle à 63 ans, il est quasiment le seul véritable ressort comique de ce long métrage au scénario anémique et sans la moindre ambition. Les plus grands fans de l'acteur se réjouiront certainement de le retrouver en grand forme mais pour ceux qui ne le connaissent pas, Johnny English Contre-Attaque risque fort de de se retrouver vite fait dans les énièmes comédies d'espionnages aussi vite vu aussi vite oubliées. [lire la critique complète sur FreakinGeek.com]
C'est très mal écrit, ce n'est pas parce que l'histoire est volontairement farfelue qu'il faut bâcler le fil narratif ! On éventuellement faire abstraction et le regarder comme un suite de gags, mais là encore ça fait juste sourire (bien que quand même le gag au moment du twist final dans la salle du G12…) Sinon j'ai bien aimé la prestation d'Emma Thompson qui trouve là une belle occasion de cabotiner avec brio, et puis il y a Olga Kurylenko, quelle belle femme ! Sinon tout cela est plutôt décevant.
Napoléon
Une comédie au scénario servant juste pour prétexte à accumuler les scènes comiques. Les personnages sont totalement inintéressants et l'humour est extrêmement limite. Un film très inégal mais qui se laisse regarder.
Dans l'enchaînement de gags , quelques-uns font mouche mais ils ne sont pas majoritaires . Les premiers sont calamiteux et laissent entrevoir un film bien lourd ou il sera très difficile d'atteindre la fin ... mais finalement les absurdités de Rowan Atkinson amusent par moments .
Dik ap Prale
Aussi musclé que son scénario, l'agent reprend du service sous la couverture d'un troisième réalisateur qui n'apporte pas de renouveau dans le service. On sourit sans s'esclaffer. Un binôme avec un plus fou que lui aurait été une vraie idée de départ, mais aujourd'hui face aux autres parodies d'agent secret, Johnny traîne la patte
PLR
Une parodie avec un humour pince sans rire très British. De ce point de vue là, ce film remplit sa promesse avec l'inénarrable Mr Bean, euh pardon Johnny English. Lapsus, mais reconnaissez que l'un et l'autre sont quelque peu dans le même registre du type loufoque, n'amenant que des catastrophes autour de lui sans les voir venir mais s'en tirant toujours au final assez bien. Le problème c'est que pour ce type de personnage il faut trouver un scénario au contenu suffisant. Sinon, ça devient lassant. Et ça l'est ici à partir de la moitié de ce film. On aimera la petite pique : " ce ne sont que des cyclistes français qui ralentissent les services secrets de Sa Majesté". Ah, perfide Albion.
Johnny English contre-attaque et l’on se demande finalement pourquoi. Après un second film moins bon que le premier, on s’étonne finalement de voir arriver un troisième film pour une saga qui aurait dû s’arrêter au premier film. Voulant jouer avec la ringardise du personnage, finalement, c’est le film qui est ringardisé et semble avoir mal vieillis. Un comble pour un film venant de sortir. On trouve tout de même des moments drôles, mais malheureusement, ces passages sont souvent des reprises des précédents films. Rowan Atkinson enfile de nouveau le costume de l’agent pas si secret pour un film poussif où il sera finalement le seul à porter le film. Regrettable de constater que le méchant de l’histoire est tout aussi développé et intéressant qu’un homme de main joué par un figurant, qui joue certainement mieux que l’acteur jouant le méchant. Un troisième volet dont on pouvait se passer.
Frédéric M.
Une suite inutile, trop tardive, et à peine drôle de Johnny English. Après la bande annonce, qui peine à faire rire, j'ai laissé une chance au film. Hélas, les "meilleures" gags sont dans la bande annonce. Reste le charme de la belle Olga qui permet de dire qu'on a pas gâché tout notre temps.
J'y suis allé car j'aime l'acteur et que c'est tourné à côté de chez moi, franchement c'est plat, les gags sont déjà vu bref j'ai pas regretter mais rien de fou dans se film
Benito G
Après un 1er moins appréciable que le second. Nous voilà clore la trilogie avec notre ancien Mr bean favori pour une nouvelle histoire qui pourra paraître déjà vu au niveau du scénario même si habituellement dans les films d espionnage, l humour n est pas spécialement en 1er plan. Donc on refait les codes avec une touche humoristique manquant toutefois de surprise, de nouveauté. Le comique de situation où les gags sont assez régulièrement prévisible et passé pour certains mais d autre font un flop. Sans doute le manque de créativité, d autant si on a vu les autres opus où l humour se cantonne sur la même base. A cela un scénario pas très fouillé, allant au plus simple assez souvent. Mais on ne peut nier quelques clin d'œil ou le petit côté parodique de certains moment un peu action movie accompagné de la musique qui va bien aux differentes sequences. Bref des points qui auraient pu être plus percutant afin d avoir un dernier opus(je pense) se démarquant des autres même si la base et le héros de la situation serait resté à l affiche. Bref sa se laisse timidement regarder et pourra plaire comme le précédent aux enfants qui s amuser ont des situations et d une certaine réparti de la part de Johnny. Un divertissement familial ou pour le coup là où les production US même d espionnage partage parfois violence et sexe. Mais fort heureusement on ne tombe pas dans de telle tranché. Le film peut également traîner en longueur faute de surprise et donc d un sentiment supplémentaire de déjà vu.
J'ai un souvenir mitigé du premier volet, je ne suis pas sûr d'avoir vu le deuxième et je regrette d'avoir regardé ce troisième. Rowan Atkinson est très talentueux pour écrire des sketchs amusants (et ça se voit par moments dans le film), mais quand il faut pondre un scénario ça coince sérieusement, la preuve ici avec un pitch éculé
spoiler:
(la liste des agents du MI6 devenue publique après un piratage)
, zéro surprise sur les personnages spoiler: (la femme fatale est une infiltrée; on voit venir à des kilomètres que le milliardaire du web est le méchant)
, des inspirations à la Goldeneye spoiler: (le yacht, le sud de la France, la poursuite en voiture)
, trop de gadgets spoiler: (bonbon, coton-tige, etc...)
, du recyclage en règle spoiler: (les crevettes flambées au resto français s'apparente aux "Vacances de Mr Bean" avec les huîtres)
et une fin attendue spoiler: (Johnny English réussit par chance)
. Côté humour, c'est hélas très mitigé, alternant l'excellent spoiler: (la danse, la réalité virtuelle dans les rues de Londres, armure tombant avec sexe à l'air, English en professeur d'espionnage (tyrolienne, bombe et camouflage))
, le correct spoiler: (exosquelette, l'auto-école)
, le mauvais spoiler: (cabine, le stylo dans le thé, le gonflable)
et le téléphoné spoiler: (la chute du bateau, olive cacahuète épicée, la panne, la pente glissante)
. Sur la forme, si la réalisation est quelconque et que les effets spéciaux sont parfois dégueulasses spoiler: (la femme fatale est une infiltrée; on voit venir à des kilomètres que le milliardaire du web est le méchant) 0
, le film peut se rattraper avec son casting sympathique, entre Rowan Atkinson et ses mimiques, Emma Thompson tordante à cabotiner dans le rôle de la Première ministre et la géniale Olga Kurylenko. Au final, ce volet de Johnny English ne vaut que pour quelques séquences marrantes qui auraient dû être plutôt des sketchs indépendants que des moments drôles noyés dans un script médiocre et pas mal de ratés humoristiques.
, zéro surprise sur les personnages spoiler: (la femme fatale est une infiltrée; on voit venir à des kilomètres que le milliardaire du web est le méchant)
, des inspirations à la Goldeneye spoiler: (le yacht, le sud de la France, la poursuite en voiture)
, trop de gadgets spoiler: (bonbon, coton-tige, etc...)
, du recyclage en règle spoiler: (les crevettes flambées au resto français s'apparente aux "Vacances de Mr Bean" avec les huîtres)
et une fin attendue spoiler: (Johnny English réussit par chance)
. Côté humour, c'est hélas très mitigé, alternant l'excellent spoiler: (la danse, la réalité virtuelle dans les rues de Londres, armure tombant avec sexe à l'air, English en professeur d'espionnage (tyrolienne, bombe et camouflage))
, le correct spoiler: (exosquelette, l'auto-école)
, le mauvais spoiler: (cabine, le stylo dans le thé, le gonflable)
et le téléphoné spoiler: (la chute du bateau, olive cacahuète épicée, la panne, la pente glissante)
. Sur la forme, si la réalisation est quelconque et que les effets spéciaux sont parfois dégueulasses spoiler: (la femme fatale est une infiltrée; on voit venir à des kilomètres que le milliardaire du web est le méchant) 0
, le film peut se rattraper avec son casting sympathique, entre Rowan Atkinson et ses mimiques, Emma Thompson tordante à cabotiner dans le rôle de la Première ministre et la géniale Olga Kurylenko. Au final, ce volet de Johnny English ne vaut que pour quelques séquences marrantes qui auraient dû être plutôt des sketchs indépendants que des moments drôles noyés dans un script médiocre et pas mal de ratés humoristiques.
C'est un plaisir de voir le retour de notre cher Booth. Et Johnny English evidemment. Malheuseument, c'est souvent al meme histoire avec un 3 eme film. Ca s'essouffle et peine a etre aussi bien que le premier. Moins d'effet de surprise et des repetitions dans les gags en changeant juste les circonstances. Ca reste pas trop mal.
ManoCornuta
Si l'on veut bien être indulgent avec Rowan Atkinson, il sera difficile toutefois de trouver des qualités à ce nouvel opus. Au-delà de quelques scènes un tantinet inspirées, la globalité du film se traîne dans un humour ennuyeux, avec des personnages façonnés à la truelle et sans intérêt, servis par des interprètes venus cachetonner. Cette contre-attaque ne se justifiait pas vraiment.
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