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    Uncut Gems
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    3,4
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    198 critiques spectateurs

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    16 critiques
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    Alasky
    Alasky

    299 abonnés 3 098 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 janvier 2021
    J'avais aimé Good Times et je reconnais ici la caméra et le style des Safdie. Adam Sandler est méconnaissable et très crédible dans son rôle. La musique électro-ambiante instaure un climat de tension et donne de la profondeur à l'ensemble. Pas un chef d'oeuvre, mais sympa à regarder.
    tifdel13
    tifdel13

    77 abonnés 491 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 février 2020
    Josh et Benny Safdie viennent de lâcher une petite bombe. Avec Uncut Gems, les deux jeune réalisateurs américains, entrent directement dans la cour des grands.
    La réaction du public et des critiques, a été unanime. Adam Sandler trouve ici, son meilleur rôle. Uncut Gems lui permet de prouver qu’il est bien plus que ses comédies potaches (pour sa défense...

    Venez lire ma critique sur ScreenReview !
    Guillaume
    Guillaume

    96 abonnés 1 545 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 mars 2020
    Bonne production originale estampillée Netflix, qui nous plonge dans les affres de l'addiction aux jeux.
    Néanmoins, le scénario traîne bien trop en longueur pour laisser un souvenir impérissable, une bonne demi-heure en moins aurait dynamiser l'intrigue.
    gabdias
    gabdias

    77 abonnés 1 762 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 mars 2020
    Cinématographiquement le film est intense, irrespirable, la tension est permanente, le rythme effréné et violent, parfois trop étouffant, le résultat reste étonnant surtout avec A.Sandler qui sort de ses navets habituels pour sortir sa meilleure interprétation. Un thriller type Scorcese sous ecstasy.
    Lecter_H
    Lecter_H

    161 abonnés 781 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 janvier 2021
    Howard est un business man borderline qui fait des affaires pour ne pas dire des magouilles avec les produits de luxe et surtout les bijoux. Le gros souci c'est que c'est souvent avec l'argent des autres (et il connait beaucoup de monde). Du coup, cela devait arriver : il va accumulé les mauvais plans et on s'attend à tout moment qu'il va finir sur la paille ou être la cible d'un règlement de compte. Il faut dire qu'il n'a vraiment pas, mais alors vraiment pas de chance ! Cela ne fait qu'aggraver son cas, pimenter le film et nous donner mal de tête. C'est super stressant mais super bien écrit, un petit bijou. J'ai quand même terminé le film comme si j'avais bu 12 canettes de boissons énergisantes. 200% d'adrénaline pur. Quel film !
    Inglorious_Ben
    Inglorious_Ben

    50 abonnés 1 442 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 février 2020
    Adam Sandler délaisse la comédie et porte clairement le film sur ses épaules. Uncut Gems ne décolle jamais, souffrant d'une redondance du début à la fin. Les situations se répètent sans cesse, tant et si bien que le tout a bien du mal à rester crédible. Nous reste la prestation de l'acteur principal, qui sort du lot, mais ça ne suffit malheureusement pas à faire un bon film.
    Dora M.
    Dora M.

    50 abonnés 487 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 février 2022
    Howard (Adam Sandler) est un bijoutier new-yorkais embourbé dans ses petits trafics pour gagner de l’argent mais les dettes s’accumulent.
    Dès le début, on rentre dans le bain, c’est immédiatement très bruyant, très rapide, ça part dans tous les sens. Le personnage de Howard est à la fois attachant et agaçant.
    Toute cette agitation est un peu éprouvante car elle dure sur tout le film, mais c’est aussi ce qui permet de conserver un rythme élevé et de n’avoir aucun temps mort pendant 2h15.
    Le suspens est aussi maintenu par le fait que le héros fait des paris sportifs pour des matchs de basket, ce qui crée aussi une tension à chaque pari.
    Yves G.
    Yves G.

    1 329 abonnés 3 326 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 avril 2020
    Howard Ratner ne s’arrête jamais. Ce Juif new-yorkais de 48 ans, propriétaire d’une bijouterie, vit dans un angoisse permanente. Atrabilaire, il est convaincu de souffrir du même cancer du côlon que celui qui a emporté son père. Sa vie privée est chaotique, entre sa femme, dont il est en train de se séparer, ses enfants et sa maîtresse qu’il a installée dans l’appartement qu’il possède en ville. Mais c’est surtout ses problèmes d’argent qui le minent. Accro aux paris sportifs et au basket, Howard engage le moindre dollar qu’il gagne sur des mises de plus en plus hasardeuses sans mesurer l’impatience grandissante de ses créanciers qui entendent bien récupérer leur mise. Pour résoudre tous ses problèmes, Howard a peut-être trouvé la martingale : une opale noire éthiopienne dont la valeur estimée avoisine le million de dollars.

    Imaginez un semi-marathon mené au rythme d’un 400 mètres, une voiture roulant en troisième à 180 km/h, une pavane jouée au tempo d’une mazurka. Bref imaginez un film en sur-régime de 2h15. Vous aurez "Uncut Gems".

    Car sitôt passée la première scène qui se déroule dans une mine éthiopienne et aboutit par un étonnant tunnel dans le colon du héros, le film démarre à un rythme haletant qu’il ne quittera jamais. "Uncut Gems" ne nous laisse pas respirer, qui suit pas à pas la course folle de Howard – dont on s’étonne qu’il ne finisse pas terrassé par un arrêt cardiaque. Ce rythme fou est encore accentué par une musique envahissante.

    L’expérience est rude. Et je mentirai en disant que j’y ai pris du plaisir. J’avais éprouvé les mêmes sentiments devant le précédents films des frères Safdie, "Good Time", en 2017. Mais, après la scène finale qui m’a cloué à mon siège – ou plutôt à mon canapé, car hélas, "Uncut gems", production Netflix, n’est pas sorti en salles – et le générique de fin, au moment de réfléchir à ce que j’allais écrire dans ma critique, je n’ai eu qu’un mot : Waouh !
    2985
    2985

    231 abonnés 943 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 février 2020
    Pour une fois c'est plus l'interprétation d'Adam Sandler qui prévaut, dommage que le reste du film peine à suivre. Pas réellement de scénario, le tous n'es qu'une succession de mésaventures qui s'étale sur plus de 2h qui de plus se répète, sans réel enjeux, avec une histoire plus solide cela aurait été sûrement bien plus plaisant à regarder.
    maxime ...
    maxime ...

    204 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 mars 2020
    Good Time le précédent film des Frères Safdie avait été une découverte très enthousiaste ! L'implication mise par les réalisateurs et l'équipe qui les accompagnait m'avais à l'époque faite forte impression. Uncut Gems est très similaire dans son approche et dans son récit, la forme se rejoins aussi à travers les marottes recensés ici et là. Pour autant mon ressentit est tout autre. Si j'éprouvais une certaine empathie - voir de la désolation - pour les " voyous " de Good Time ici je n'ai à l'égard de son personnage titre que rejet et aversion. Adam Sandler incarne ici une raclure sans scrupules dont la souffrance le galvanise. Aucun remord ne l'habite, rien ne transparaît chez lui ... Uncut Gems en cela suscite un malaise un peu déplaisant mais qui donne une fois digéré une puissance au cinéma des frères. Un long métrage qui se place en digne héritier de Bad Lieutenant et Taxi Driver ! A revoir.
    Jérémie
    Jérémie

    131 abonnés 746 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 mars 2020
    Uncut Gems montre un rôle particulier d'Adam Sandler, dans la peau d'un loser juif avide de jeux d'argent.
    On suit l'histoire, regardant avec désarroi les mauvais choix constants d'Howard. On tente de comprendre ses motivations, on est troublé par tout ces enchaînements qui n'ont pas de sens, pour finir sur un drame fataliste prévisible.

    C'est un bon film, intriguant, prenant et qui laisse place à toutes les éventualités. On reste agrippé à cette personne, qui est fondamentalement mauvaise, mais où l'on place beaucoup d'espoir.
    Tout le film gravite autour de ce concept, et c'est ce qui rend le film agréable, presque poétique.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    69 abonnés 1 674 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 septembre 2023
    Nerveux, tendu, scorsesien, le film raconte le quotidien d'un petit truand juif vendeur de bijou dans le New Jersey. Adam Sandler est top et joue à fond son rôle. C'est bavard, c'est parfois voir souvent épuisant et la musique est il moche mais ça vaut quand même le détour. Ne serait-ce que pour la mise en scène ultra inspirée et pour le montage ultra Nerveux.
    bobbyfun
    bobbyfun

    33 abonnés 1 226 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 février 2020
    A la réalisation quadrillée sur mesure et au verbe déblatéré mais sans excès, s’ajoute une figure de style soigné qui fait de Uncut Gem une sorte d’ovni à mi chemin entre la comédie dramatique et le thriller,certes basique, mais anormalement attachant.

    En préambule, on aurait pu ajouter qu’il pourrait s’agir d’une sorte de Snatch qui, au centre de son intrigue, entremêle une faune de personnages convoitant chacun leur propre intérêt, et, dont le récit est en rotation autour d’un objet bien particulier. A la différence que le style employé ici reste totalement différent et nettement moins basé sur le côté humoristique ou cocasse.

    Sandler, totalement à contre emploi, y trouve à ce jour et assurément son meilleur rôle, tout en justesse. Il est le moteur même de cette machine, certes de puissance moyenne au départ, mais qui une fois son rodage effectué dans l’évolution de sa narration, trouve son rythme de croisière pour nous tenir en haleine jusqu’à sa conclusion.
    gregbutton
    gregbutton

    24 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 juillet 2021
    Plutôt sympa de voir Ben Stiller dans ce genre de rôle plutôt que l'idiot habituel. Sinon le film ne raconte pas grand chose mais saisit quand même par le personnage principal, sa pitoyable quête et la fin.
    L?c!s_H00d
    L?c!s_H00d

    166 abonnés 391 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juin 2021
    Produisant et distribuant des films tels que Spring Breakers d’Harmony Korine, Under the Silver Lake de David Robert Mitchell ou encore A Ghost Story de David Lowery, A24 s’est consolidé comme l’un des producteurs majeurs au niveau international, devenant l’une des références du cinéma indépendant américain.

    Le précédent film des frères Safdie, Good Time (2017), était remarquable par sa frénésie et Robert Pattinson y tenait sa meilleure performance. Joshua et Benny Safdie sont devenus les représentants inattendus d’un cinéma new-yorkais underground et indépendant, réalisant le clip de Marcy Me de Jay-Z en 2017 et captant la vie chaotique, interlope et sale de New York City, plus précisément de Manhattan avec Lenny and The Kids et d’Upper West Side dans Mad Love in New York. « Energie » et « intensité » sont dès lors apparus comme les maîtres-mots de leur cinéma. Chaque endroit investi, chaque quartier, chaque square, chaque vitrine, est un lieu de tension permanente, un parcours urbain accumulant les catastrophes.

    Si l’écriture d’Uncut Gems par les frères Safdie a commencé en 2010, la genèse du film est bien plus ancienne. « Durant notre enfance, notre père nous racontait les histoires qui circulaient au sein du Diamond District, un quartier spécialisé dans le commerce de diamants, à Manhattan, où il a travaillé quelque temps. Ces mini-thrillers, d’une grande drôlerie, auraient très bien pu figurer dans un « pulp magazine » », confie Joshua au Monde le 31 Janvier 2020, date de la sortie de leur film en France, sur Netflix.

    On suit donc dans Uncut Gems Howard Ratner, un bijoutier, au sein de Diamond District à New York, qui voit sa vie bouleversée lorsque son opale (son « uncut gem ») fraîchement arrivée est dérobée, l’entraînant dans une étourdissante course contre la montre.

    Le scénario d’Uncut Gems n’a rien d’original, le film est un peu long, mais paradoxalement il parvient à allier modestie et ambition, virtuosité et agacement pour une belle proposition de cinéma. Uncut Gems questionne le ressenti du spectateur face à un travail de mise en scène pertinent, mais ô combien éprouvant. Ce film est une crise d’hystérie collective, et en ce sens, Uncut Gems peut être insupportable. Les personnages hurlent pour échapper à une bande originale trop forte et se débattent, serrés les uns les autres, dans un espace le plus souvent confiné et sans échappatoire pour le regard (bijouterie, bureau, escalier, vestiaire, rooftop). Comme pour Good Time, par une caméra constamment à l’épaule et un travail sur les gros plans (voire les très gros plans), les frères Safdie capturent chaque secret de ces micro-territoires voire de ces micro-univers (chaque lieu a son esthétique et introduit un rapport de force amenant à un échec) où s’amassent les micro-péripéties, favorisant alors un sentiment d’enfermement et d’étouffement pour nous et le personnage. New York est donc présenté comme un milieu morcelé où tous se connaissent, jamais envisagé à grande échelle (les plans vraiment larges sont inexistants), une succession d’espaces épuisants et galvanisants gouvernés par la fortune et le risque, et les deux metteurs en scène épousent ainsi le point de vue d’Howard Ratner. Howard fonce tête baissée et s’appuie sur la chance dans une course contre la montre de tous les instants. Il joue avec l’exaspération de ceux qu’il fréquente pour tenter des coups de plus en plus gros, il emprunte à l’un pour rendre à l’autre tout en en gardant pour lui et sa famille ; il est un loser magnifique qui donne le rythme du long-métrage, notamment dans l’euphorie quasi béatifique d’un évènement sportif qui tend à nous faire oublier les problèmes qui courent après lui, une illusion qui disparaitra rapidement.

    Comme ce fut le cas pour Robert Pattinson, Adam Sandler tient, grâce aux frères Safdie, à son tour son meilleur rôle. Depuis Punch-Drunk Love (2002) de Paul Thomas Anderson, il n’avait plus retenu une telle attention. Dans Uncut Gems, il endosse avec virtuosité et charisme ce rôle mélangeant arrogance, roublardise, mythomanie et lâcheté qui font toute l’ambiguïté du personnage qui ne peut plus tenir compte des contingences entre le gain et la perte et qui s’est affranchi de toute morale. Adam Sandler a d’ailleurs remercié les frères Safdie aux Spirit Awards 2020 de lui avoir apporté pour la première fois une reconnaissance critique avec ce film. Les deux frères ont poussé le comédien dans les retranchements de sa bêtise et de son génie, de sa force et de sa faiblesse. « This is how I win », lance Howard à Kevin Garnett (le champion américain de basketball jouant son propre rôle) dans le dernier tiers du film, qui peut finalement sonner comme une réelle victoire pour Adam Sandler. Il fait l’unanimité.

    Avec Howard se tient le chaos, une chute telle qu’elle peut apparaître pour un héros scorsesien. Cependant les frères Safdie n’iconisent aucunement le personnage, ils dépeignent un homme. En ce sens, Howard agit comme une déflagration qui peut parfois être pénible à suivre, démontrant alors un travail d’écriture réussi. Howard ne peut s’empêcher de se mettre en danger, c’en est à la limite du masochisme. Sa vie n’est que suspense et angoisse, stupidité et exaltation, nous amenant à croire en lui malgré l’antipathie qu’il dégage. Cette antipathie est due à sa névrose, mais également au fait que l’opale (l’« uncut gem ») est pourrie au plus profond : elle est le symbole d’un commerce égoïste et autolâtre aussi captivant qu’avilissant (la séquence d’ouverture se déroule dans une mine et nous montre la jambe cassée d’un ouvrier éthiopien, accompagné par une révolte, révélant les mauvaises conditions de ces travailleurs). Par l’accumulation abusive des humiliations et des obstructions dans une chute perpétuelle, cela tend même vers le comique, échos à l’After Hours (1985) de Martin Scorsese (producteur d’Uncut Gems), on se place entre deux eaux : d’un côté on espère qu’Howard retrouve cette pierre et que le vacarme finisse, d’un autre on condamne cette exploitation déconnectée du réel et la futilité d’une telle agitation dans une épuisante fuite en avant.

    Cependant, une telle frénésie fatigue. Là où Good Time est plus onirique et sensoriel, jouissant d’une frénésie comparable certes mais avec des enjeux plus forts et évidents, Uncut Gems enchaîne ses péripéties pour faire d’Howard un homme rongé par le manque de temps et d’argent, un épicurien piégé par un système qu’il rêve pourtant d’animer. Epicure écrivait d'ailleurs dans Les lettres à Ménécée : « Gardez-vous de regarder la fortune comme une déesse. »

    Uncut Gems nous emmène de force dans une spirale électrisante, à travers boutiques, clubs, trottoirs et hôtels, sans prendre le temps de respirer. Tout peut basculer, à chaque instant. Le visionnage devient parfois éreintant, car un peu long, par les engueulades incessantes et les constants allers-retours des personnages. Le film manque d’une pause, d’un moment de calme, permettant d’appuyer cette fougue du personnage et cette virtuosité de l’image (le chef opérateur Darius Khondji travaille superbement les couleurs pour une imagerie clinquante) et permettant de faire repartir de plus belle cette descente en enfer, comme d’un moment de lucidité pour Howard qui retrouverait alors notre empathie. La course constante empêche le film d’avoir un climax percutant et bouleversant, un point culminant où les émotions explosent. Si le plan-séquence dans la bijouterie est une maîtrise d’intensité, le film ne retrouve pas par la suite cette apothéose qui marquerait à plus grande ampleur l’esprit. On regrettera également de ne pas voir Uncut Gems sur grand écran en France, ce qui aurait donné lieu à une expérience plus forte.

    Uncut Gems est pourtant une réussite, malgré un paradoxal essoufflement, car témoigne d’un aboutissement du cinéma des frères Safdie qui certes ressassent la même vitalité de leur précédent film mais égalent leur travail de mise en scène. Good Time est sur un personnage voué à chercher un « chez soi » qui n’existe pas, Uncut Gems poursuit cela avec un personnage qui n’a pas sa place au sein de son « chez soi », l’obligeant à courir après matérialité et succès tout en prenant du plaisir à se mettre en danger. Epicure écrivait également dans ses lettres : « Il n'y a pas moyen de vivre agréablement si l'on ne vit pas avec prudence.»
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