Avis sur Le Book Club

Les vieilles qui incarnent chacune un problème sexuel caricatural, prennent prétexte d'un mini club de lecture pour boire du vin blanc , échanger des potins, et boire du vin blanc. Les dialogues consistent en un bombardement de petites blagues et de sous entendus salaces et faciles entre deux verres de blancs. Entendons nous bien, je n'ai rien contre les petites blagues,les dialogues épicés et le vin blanc, bien au contraire. Mais une petite blague est drôle quand le contexte s'y prête. Bref chacune des vieilles vit son amourette problématique (mari ou ex ou rencontre internet, ou beau pilote riche faisant le coup de Redford dans Out of Africa, mais en moins bien quand même). Le tout est arrosé de vin blanc, d'une BO, au mieux plate. Certaines situations sont invraisemblables, et seul le vin blanc permet d'oublier le côté navrant de certaines scènes. Ce film est un braquage commercial sans aucun sens artistique. Le doublage français est pitoyable et ne fait pas honneur aux actrices mythiques qui se débattent autour ce navet. Heureusement, elles boivent beaucoup de vin blanc pour oublier. J'espère qu'elles auront au moins pu extorquer à la production un cachet suffisamment important pour punir les escrocs qui ont fait ce film, et recompléter leur cave en château d'Yquem jusqu'à la fin de leur vie , car je ne sais pas si je vous l'ai dit , mais elles boivent beaucoup de vin blanc. (Enfin la robe des vins engloutis ne laissent pas présumer de Sauterne) . Bref, fuyez ce film produit par "Chardonnay en cubi" et "50 de nuances de Grey".

Une comedie romantique pour soixantenaire sans interet. Aucune surprise , ultra classique , convenu. Quelques belles images de paysage , joli photographie mais c'est bien trop peu.

Encore une comédie américaine malheureusement peu drôle et qui, selon moi, est peu flatteuse pour ces superbes actrices. C’est le thème du book club qui m’a avant tout attirée mais le contenu était très superficiel.

Des films sont censurés pour la moindre cigarette et on laisse passer cette apologie de l.alcoolisme féminin. Si ce film vous barbe, vous pouvez toujours compter les verres vidés

On est en droit de se demander qui ces poupées du troisième âge sont censées représenter, tant le film s’efforce d’en gommer les aspérités donc les preuves de leur humanité. Richissimes, oisives, liftées, les quatre mamies pensent porter les revendications libertaires de toute une classe d’âge injustement privée de leur droit au plaisir. En ce sens, Le Book Club s’inscrit dans ce genre très particulier, et tout récent : le film de stars vieillissantes. Le cinéma en viatique, pourquoi pas. Les pépés voleurs de banques sont à la mode, pourquoi pas les mémés sous perfusion à Christian Grey ? Pour la simple et bonne raison que la démarche adoptée par Le Book Club prône un reniement de soi au profit de la médiocrité actuelle, sans prise aucune avec la sagesse acquise tout au long d’une vie. L’héritage culturel, idéologique, sexuel (si l’on y tient) est évacué au profit d’une dénaturation 2.0 de la femme mûre américaine qui force les modèles en vogue aujourd’hui pour s’y conformer, telle une vulgaire copie. Le quatuor ne dispose d’aucune véritable profondeur exception faite de la fréquence et de la forme de leurs ébats : pas d’histoire personnelle, pas d’expérience individuelle. La femme est, ici, interchangeable, à l’image des livres qu’elles font circuler. Surtout, le film repose sur une hypocrisie assez dégoûtante : proclamer la liberté de la vieillesse tout en veillant à l’enfermer dans sa classe d’âge et dans sa caste. La femme au foyer est devenue grand-mère au foyer, et les hommes qu’elle fréquente partagent son âge, son statut social, sa vision des choses. L’homogamie avant tout ! Côté mise en scène, c’est Les Feux de l’amour : une lumière extra-lumineuse enveloppe le film d’une texture très étrange, à mi-chemin entre le voile et la crème antirides. Tout est fait pour lisser, peaufiner, normaliser. Le Book Club, publicité pour un institut de beauté hors de prix où, en guise de journaux dans la salle d’attente, sont offerts à la lecture les trois tomes de la saga Fifty Shades. On prend ses jambes à son coup et on sort ! Dans l’espoir de vieillir pour, ainsi, ne jamais ressembler aux porcelaines hideuses de ce film.

Rien n’y est. Le scénario. Le jeu. Ça sonne creux du début à la fin. Nous sommes restés pour savoir jusqu’au ça pouvait sombrer. A éviter.

Ambiance feuilleton américain des années 60. Tout est ringard. Apologie de l alcoolisme féminin....
Au sortir du film je suis même allé à la terrasse d un bar boire un verre de chardonnay...tant la pub est virale sur l alcool.
Si le synopsis est prometteur, le scénario déçoit sur toute la ligne. Aucun intérêt. 50 nuances de grey est un titre vendeur pour le film mais il n y a aucun rapport par la suite.

Bref,passons.

une sorte de "sex and the city" pour septuagénaires, au ton très américain, avec un scénario sans surprise! ici, rien n'est naturel, tout sonne faux : personnages caricaturaux, écrin superficiel, situations tellement improbables qu'elles en deviennent ridicules! le casting prestigieux ne suffit pas à relever cette comédie qui ne traite son sujet qu'en surface et n'apporte rien au final!

Je me suis rarement autant ennuyé. Au bout d'une demi-heure, j'hésitais déjà à sortir de la salle. Je suis resté, par espoir d'améliorations mais en vain. Le scénario, les personnages sont peu intéressants et on assiste à une version old school et moins fun de Sex and the City. J'avais hésité à me déplacer au ciné, je n'aurai pas dû ....

À diffuser dans les epahds ! Scénario trop stéréotypé qui laisse le film se dérouler sans aucune surprise.

Très très mauvais, pauvres dialogues, certains doublages pas bons ; voix de Jane Fonda masculine et vulgaire, son jeu pas naturel du tout, voix de Don Johnson celle d’un vieillard, aucune finesse, le pur cliché américain...Candice Bergen et Diane Keaton tirent un peu leur épingle du jeu ...déçue