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    Une intime conviction
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    4,0
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    313 critiques spectateurs

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    Fargo Boy
    Fargo Boy

    80 abonnés 164 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 février 2019
    Tout simplement magistral ! Les deux acteurs principaux sont absolument incroyable et on apprend plein de choses sur la justice. Vraiment un film exceptionnel mener comme un thriller.
    Alexandre Cacheux
    Alexandre Cacheux

    44 abonnés 511 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 février 2019
    Encore un film au cœur d'un tribunal des assises. Pour un crime inexpliqué du début des années 2000. L'aspect réussi de l'œuvre est la réflexion sur l'intime conviction. Il est toujours fascinant de constater que la mémoire a une fidélité relative. Et que les preuves sont indispensables avant de condamner un humain à partir derrière les barreaux. Olivier Gourmand est très convaincant dans son rôle d'avocat missionnaire.
    Malheureusement le réalisateur, pour dynamiser son film, s'est senti obliger d'ajouter un personnage inutile et improbable. Et la malheureuse Marina Fois fait le maximum pour sauver son rôle. Le film évolue d'un personnage à l'autre en hésitant à creuser l'un ou l'autre. Et le spectateur commence à penser qu'il aurait mieux fait de regarder ce film à la TV.
    virnoni
    virnoni

    94 abonnés 578 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 février 2019
    Pas totalement convaincue par la partition proposée par le réalisateur. En injectant un personnage romancé, interprété par Marina Foïs, l'ensemble ne prend pas. J'ai au bcp de mal à ressentir de l'empathie pour cette femme assez distante (voire rejetante), dont on ne saisit pas trop l'emballement pour cette histoire (son lien avec la fille de l'accusé semble trop léger). Son caractère presque névrotique laisse perplexe, voire de marbre. Il est difficilement concevable que cette femme seule effectue tout le boulot pour innocenter un homme, spoiler: comme si l'avocat, Dupont-Moretti, attendait que cette femme lui ramène ses plaidoiries sur ces petits papier bleus!?
    Reste donc Olivier Gourmet qui excelle comme à son habitude. Le film vaut à lui seul le détour pour la plaidoirie finale, surement véridique elle. Elle émue aux larmes tant elle parle de justice, d'humanité, de vérité face à la chasse aux sorcières que semble avoir été cette histoire criminelle.
    L'autre chose qui m'a gênée reste le parti pris du réalisateur qui, clairement, véhicule l'idée qu'un innocent à été jeté en pâture. Peut-être vrai mais on assiste à une démonstration de force, à sens unique qui indispose plus. Laurent Lucas semble comme perdu dans son rôle, surjouant l'homme meurtri. Comme le fait son avocat à la fin, on a envie de lui hurler dessus! Caricatural ? Facile ?
    La relation entre le personnage de Marina Foïs et l'avocat reste intéressante, entre agacement, utilisation, complicité (séduction?), drôlerie et empathie.
    A voir pour les scènes judiciaires qui semblent bien faire état de la justice en France, et donc, cette scène finale de plaidoirie exceptionnelle qui cloue au siège jusqu'au dénouement très émouvant.
    lionelb30
    lionelb30

    400 abonnés 2 517 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 février 2019
    Quelle deception. Ce melange de faits reels et de personnage fictif est deroutant. C'est sans interet , tres ennuyeux malgres ces comediens reputes et la plupart de temps cela sonne faux.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    706 abonnés 1 436 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 février 2019
    L'affaire Viguier est un fait divers médiatique étrange. En 2000, Suzanne Viguier, 38 ans, disparaît mystérieusement comme des tas de personnes chaque année en France.
    Son mari Jacques est suspecté, notamment par l'amant de Suzanne qui met beaucoup de coeur (trop ?) à réunir des preuves contre ce mari professeur de droit à Toulouse.
    Pas de corps, pas de témoin, pas de preuve, Jacques Viguier est acquitté en 2009. Le parquet fait appel.
    "Une intime conviction" va nous montrer ce second procès de 2010 avec un duo assez improbable tentant à nouveau de gagner l'acquittement : Nora, une femme totalement convaincue de l'innocence de Jacques Viguier et un nouvel avocat, Maître Eric Dupond-Moretti.
    Le couple Marina Foïs / Olivier Gourmet est délicieusement complice et explosif, j'ai été passionné par cette affaire, par son déroulement, et par sa conclusion.
    Un bon film de procès d'assises, très bien réalisé. Captivant.
    --> Site CINEMADOURG <--
    Ti Nou
    Ti Nou

    435 abonnés 3 395 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2022
    L’excellente idée de ce film retraçant le procès de Jacques Viguier est de créer un personnage fictif qui va apporter à Antoine Raimbault suffisamment de liberté pour pouvoir structurer efficacement son récit. Nora est la porte d’entrée qui permet au spectateur de pénétrer dans le tribunal.
    bsalvert
    bsalvert

    347 abonnés 3 499 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 août 2019
    On est pris dans ce film qui est à la limite du huis-clos, grâce à une mise en scène impressionnante qui apporte du dynamisme alors que les acteurs ne bougent pas, et aux deux acteurs principaux particulièrement crédibles.
    PLV : plongée dans les coulisses de la justice
    Hotinhere
    Hotinhere

    453 abonnés 4 799 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 avril 2020
    Relatant l'affaire Viguier, un film de procès immersif passionnant qui aborde le thème de la présomption d'innocence, porté par les prestations habitées du duo Marina Fois/Olivier Gourmet.
    vidalger
    vidalger

    301 abonnés 1 234 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 mars 2019
    Avec Antoine Raimbault, le cinéma français vient d’embaucher un honnête tâcheron qui ne fera pas d’ombre à ses illustres prédécesseurs (longue liste ici que je vous épargne) pas plus qu’à la fine fleur du nouveau cinéma US, canadien, coréen ou argentin (pour choisir au hasard...). Notre champion se lance dans un film de prétoire, genre déjà bien exploré et ayant donné quelques chefs d’œuvre, avec une petite poignée d’acteurs connus mais au coût abordable, pas trop d’extérieurs, pas d’effets spéciaux, donc tout ça contenu dans le budget mesquin d’un premier film. Ce que nous raconte ce film a du mal à maintenir l’intérêt du spectateur au delà de dix minutes. Ce n’est pas l’histoire d’une disparition mystérieuse (d’un crime ?) dont on nous parle, mais celle d’un tellement « grand-avocat » qu’il faut le supplier pour qu’il prenne un dossier et d’une folle obsessionnelle (la toujours superbe Marina Foïs, qui pourrait lire l’annuaire sans nous lasser), véritable caricature d’Erin Brockovitch. Les personnages secondaires - l’accusé, l’amant, le président du tribunal,...- sont à peine esquissés et nuisent à la perspective de celui qui aimerait bien s’intéresser à l’histoire. Tout est filmé sans génie ni inventivité. Les dialogues sont dignes du Commissaire Bourrel. On peut attendre sagement que ce quasi-téléfilm arrive à la télévision.
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    174 abonnés 1 428 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 mai 2020
    J'ai trouvé la première moitié un peu longue, même si on reste captivé par l'histoire de ce fait divers, et de cette femme convaincue de l'innocence d'un homme qu'elle ne connaît pas. Je salue le jeu des deux acteurs principaux, qui donne tout le rythme à ce film.
    Chris58640
    Chris58640

    186 abonnés 734 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 février 2019
    Il n’est pas besoin d’être une addict à « Faites entrer l’Accusé », ni de parfaitement connaitre les rouages de la machine judiciaire, ni même d’avoir entendu parler de la nébuleuse affaire Viguier pour être captivée par le film d’Antoine Raimbault. Ce jeune réalisateur s’attaque à un genre de film très particulier, ce que les anglo-saxons appellent le « court movie », ou film de procès en bon français. C’est un genre difficile car l’essentiel doit passer par la parole, et « Une Intime Conviction » ne déroge pas à la règle, c’est un film, non pas « bavard », mais « éloquent ». A mi-chemin entre le polar et le film de procès, « Une Intime Conviction » est captivant grâce à deux grandes qualités. Tout d’abord, son rythme est soutenu, et même presque frénétique par moment grâce à un montage à la fois dynamique et intelligent. Ce qui est très bien retranscrit à l’écran, c’est à la fois l’obsession dévorante de Nora, qui écoute des heures et des heures de conversations téléphoniques en apparence anodines (en apparence seulement) mais aussi l’urgence du procès, qui ne durera pas une journée de plus que ce qui était prévu et qui scellera le destin d’un homme, quoi qu’il arrive. Et puis, seconde qualité, la qualité du scénario et des dialogues, parce que même en mettant de côté la plaidoirie finale de Maître Dupont-Moretti, qui est largement à la hauteur ne nos espérance point de vue éloquence, tout le reste du film est intelligemment dialogué. « Une Intime Conviction » s’adresse à l’intelligence du spectateur et le scénario ne donne pas la clef de l’affaire. spoiler: Le contraire aurait été impossible puisque jusqu’à ce jour, jamais Suzanne Viguier n’a été retrouvée, ni morte ni vivante.
    Le film ne cherche pas la vérité, il cherche à montrer ce qu’est la justice, comment elle fonctionne, comment elle raisonne, comment elle doit s’appréhender. C’est bien plus ambitieux qu’un simple thriller. Avec une réalisation moderne, une musique sympathique et pas trop envahissante et une affaire judiciaire qui ressemble presque à un cas d’école, Antoine Raimbault avait tout pour réussir son long-métrage, et il y parvient. 1h50 sans aucun temps mort, où l’on sent que tout peut basculer à tout moment d’un côté comme de l’autre. Bien-sur, si on connait un peu l’affaire en question, on sait quel sera le verdict du procès en appel. Mais même dans ce cas, où le suspens ne peut plus fonctionner, l’intérêt ne faiblit pas. Le casting y est pour beaucoup avec deux rôles titres formidablement tenus. Marina Foïs d’abord, en mère célibataire embarquée dans une quête obsessionnelle qui la met en danger personnellement et professionnellement, et qui dérive sans s’en rendre compte vers une sorte de vendetta personnelle envers Olivier Durandet, l’amant de Suzanne Viguier et dont le rôle et l’attitude est terriblement trouble. Elle confond le rôle de l’avocat et le rôle de la Police et Maître Dupont-Moretti a bien du mal à lui faire comprendre qu’elle dérive et qu’elle dessert la cause qu’elle défend. Marina Foïs est formidable, à la fois touchante mais aussi légèrement inquiétante, on sent que cette affaire remue en elle quelque chose de très personnel mais on n’en saura rien, ce n’est même pas suggéré, c’est juste une forte impression. Eric Dupont-Moretti, avocat pénaliste très connu, flamboyant, d’une éloquence redoutable, est incarnée par un très grand acteur : Olivier Gourmet. La scène de sa plaidoirie est magistrale, il plaide le bénéfice du doute et juste cela, il remet le curseur où il doit être, il réaffirme des principes de Justice de base, et il le fait avec un talent qui saute aux yeux, et surtout aux oreilles. On peut penser ce qu’on veut du vrai Eric Dupont-Moretti mais c’est un avocat talentueux, incisif, qui n’a jamais eu peur des dossiers (très) difficiles et qui a une haute opinion (… « de lui ! » dise ses détracteurs) de la Justice et de ses principes. Le scénario de « Une Intime Conviction » pose plusieurs questions fondamentales dont la plus importante est celle-ci : un accusé qui n’est pas sympathique, qui ne se défend pas ou mal est –il forcément coupable ? Le vrai Jacques Viguier, comme Laurent Cantet dans le film, est un homme fermé, qui ne pleure pas, qui ne crie pas son innocence, à qui la rumeur publique à attribué tous les vices, il se défend mal, il occulte, spoiler: il ment peut-être
    , il subit ce procès et le traverse comme un fantôme. L’affaire Viguier est presque un cas d’école : une enquête à charge, une opinion publique qui se livre à toutes les rumeurs, toutes les suppositions, une presse avide de vendre du papier er surtout, un procès sans cadavre, et vide de preuves matérielles. « Une Intime Conviction » vient rappeler une chose simple : spoiler: pas de preuve, pas de culpabilité, sinon c’est la fin de la Justice et des haricots !
    S’il est des passages édifiants sur le fonctionnement d’une enquête de police et sur le fonctionnement de la Justice (ou les ego s’affrontent sur le dos des justiciables), il est aussi de longs passages où les principes fondateurs sont martelés, de façon claire, intelligente et intelligibles par tous. Ces centaines d’heures d’écoutes téléphoniques, ce travail de fourmi fait par Nora, c’est un travail de police et on ne comprend pas bien, devant ce film, pourquoi il est fait par une femme qui n’est ni avocate, ni policier, ni juge, juste une citoyenne. Je ne connais pas suffisamment l’affaire pour savoir ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas dans le film d’Antoine Raimbault, il y a des choses assez choquantes comme celle-ci qui laissent un peu songeur. Mais « Une Intime Conviction » est un film indéniablement pertinent, réussi, une belle performance d’acteur et une démonstration assez implacable de ce qu’est (et aussi de ce que devrait être) la Justice en France. Pas de doute, cela mérite bien une petite séance cinéma d’1h50.
    Aulanius
    Aulanius

    182 abonnés 1 688 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mars 2019
    Enfin réconcilié avec les thrillers / policiers français. Pour tout vous dire, je sais pas pourquoi mais à la base je pensais que ce film traitait de l'affaire du Petit Grégory. Rien à voir car on est ici sur l'affaire Viguier et c'est tout aussi "intéressant" si je peux employer ce terme. Alors, avant toute chose, les acteurs sont vraiment convaincants et Olivier Gourmet est vraiment exceptionnel. Pour moi la scène finale du procès est vraiment une scène d'anthologie et c'est extrêmement rare que je dise ça. On est captivé du début à la fin grâce à un rythme soutenu très efficace. D'ailleurs, fait assez insolite, pour un long métrage dramatique, il y a quelques passages avec une touche d'humour. Ça manque par contre d'une bande originale digne de ce nom mais bon, c'était peut-être volontaire. J'ai trouvé aussi un peu dommage que l'on ait pas de vraies images d'archives à incorporer mais je ne sais pas comment ça se passe au niveau des droits. Ce qui est le plus fou, c'est que l'on ne sait toujours pas ce qui est arrivé à Suzanne Viguier et ça rend le sujet vraiment intriguant. Pas de chichi sur le dénouement et pour une fois, ça fait plaisir de voir que l'on ne tombe pas dans le cliché. En bref, j'ai été agréablement surpris. Ce n'est pas tout parfait mais le rendu est vraiment sympa. 13/20.
    orlandolove
    orlandolove

    119 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 janvier 2020
    Le film traite en parallèle le second procès de Jacques Viguier et l'obsession de son personnage principal, proposant donc une double réflexion sur la justice. C'est globalement réussi (le casting est impeccable) malgré quelques faiblesses dès que l'on s'éloigne du procès.
    Guiciné
    Guiciné

    137 abonnés 1 217 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 février 2019
    Un film en partie réussi grâce à ses grand acteurs crédibles, mais son scénario ne m’a pas totalement convaincu pour arriver à me passionner et m’envoûter.
    Malgré tout, la fin déploie de très belles émotions.
    shindu77
    shindu77

    78 abonnés 1 587 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mars 2019
    Voilà un film très solide. Plusieurs raisons à cela. Tout d’abord, une histoire très prenante. La mise en scène est véritablement de qualité il est important de souligner le casting globale mais surtout les deux acteurs principaux que ce soit Marina Foïs ou Olivier Gourmet. Chacun joue vraiment sa partition sans aucune fausse note. Très bon film
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