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Marc T.
270 abonnés
553 critiques
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3,5
Publiée le 8 février 2019
Ne boudons pas notre plaisir, Peppermint est un bon film de vengeance au féminin. Et d'ailleurs l'actrice principale, Jennifer Garner, est très convaincante dans son rôle de gentille mère de famille devenue par la force des choses une tueuse badass. Bon par contre on évite pas certaines facilités scénaristiques et autres incohérences propres au genre, et vers la fin on peut dire que c'est même plutôt bien fourni dans ce sens. Mais le plus gros bémol à mon goût, c'est qu'il manque un petit chapitre, celui de son entrainement pointu dont ne voit que quelques secondes. 5 à 10 minutes là dessus auraient bien complété le film il me semble, surtout qu'il n'est pas excessivement long (1h34 hors générique).
Après la série Alias (de 2001 à 2005, où beaucoup d’entre nous l’ont découverte) et le personnage d’Elektra (dans Daredevil et son spin off en 2003 et 2004), Jennifer Garner a été bien plus sage est a surtout tourné dans des comédies romantiques. C’est à 45 ans qu’elle retrouve de nouveau un personnage musclé, et on peut dire qu’elle impressionne ! Le scénario du film est un cliché du genre, où tout est plus ou moins attendu, mais il est bien réalisé. L’atout du film, c’est Jennifer Garner. Son personnage est carrément badass, elle se bat avec classe et détermination. C’est simple, le film aurait été vraiment moyen sans sa prestation convaincante. Du coup, rien à dire, on est face à un bon film d’action crédible qui capte notre attention jusqu’à la fin !
Un film d'action où on ne s'ennuie pas une minute. Grace à Jennifer Garner, on se régale dans son fauteuil pendant un peu plus d' 1H30. Les rôles féminins dans le genre sont rares, il faut en profiter. Cette justicière partage sa vengeance de main de maîtresse, et franchement c'est jubilatoire ! Elle s'est entrainée quelques années, est devenue redoutable avec ou sans armes. Voir comment elle décime réseaux maffieux et petites frappes, manque certainement de finesse, c'est du violent, et les seules images de tendresse viennent de ses souvenirs enfouis de sa petite fille perdue trop vite. A savourer....!! **
un bon film d'action policier thriller qui nous montre la vengeance d'une femme après la perte injuste de sa famille. la corruption qui gangrène toutes les administrations les méchants presque intouchables donc Jennifer Garner enclenche la seconde et se fait justice elle même, implacable logique.
Même si Peppermint à tout de même cette arrière-goût de déjà vu à plusieurs reprises avec cette histoire de vengeance suite au meurtre d’une famille et que le film est également assez prévisible, on reste tout de même satisfait de ce qui se déroule devant nos yeux. Principalement grâce à l’interprétation de Jennifer Garner et aux scènes d’action qui restent réalistes comme l’a souhaité le réalisateur Pierre Morel qui nous offre un film d’action à la réalisation propre, soignée et rythmée.
Ce film dramatique/d'action américain est assez bien dans l'ensemble. La première moitié est vraiment très bien. La seconde moitié est un peu exagérée et pénible dans l'action. En tout cas, la douleur de cette femme est vraiment terrible et on reste suspendus à sa vengeance implacable.
Jennifer Garner nous revient plus en forme que jamais en mode Charles Bronson pour un vigilante explosif et sans temps mort ! Mise en scène par le frenchie Pierre Morel, la virevoltante quadra s'en donne à coeur joie ici, bastons, fusillades et furie vengeresse s'entrechoquent avec délectation si toutefois on est en phase avec cet esprit "self justice". Sans concession aucune, Peppermint tire sur tout ce qui bouge avec un savoir faire certain, on n'évite pas les incohérences bien évidemment mais comme souvent lors de ce type de métrage, on s'en moque tant que l'ensemble est réalisé avec sérieux. Une pointe d'humour vient de plus assaisonner le tout de temps à autre pour une touche assez rafraichissante dans la violence ambiante. Un bon voire très bon vigilante, ni plus ni moins.
Le vrai point fort du film reste bel et bien l'actrice, belle et crédible jamais on abuse de son côté sexy pour se focaliser sur le côté maternelle d'une femme brisée et désenchantée. Malgré une ouverture bien vue le début est long et fastidieux, nullement rattrapé d'ailleurs par des flash-backs tout aussi laborieux, d'une facilité narrative évidente. D'un point de vue primaire Pierre Morel signe un film d'action efficace et divertissant grâce à des séquences réalistes et parfaitement chorégraphiées à l'ancienne. Sinon, Morel reste un réalisateur sans consistance, sorte de sous-Besson qui offre un film prévisible et convenu. Site : Selenie
Depuis le succès de Taken, Pierre Morel a toujours eu le désir de faire des récits de vengeance. Ces précédentes réalisations - From Paris with Love et Gunman - étaient des produits divertissants, sans toutefois crier au génie ! Vient maintenant qu'il est de retour derrière la caméra dans une même tournure avec son Peppermint. Une énième histoire de justice mais au féminin ! La vengeance d'une mère de famille, dont la fille et son mari ont été sauvagement assassinés et dont le système judiciaire est entièrement corrompu... Il faudra prendre les armes en faisant sa propre justice ! Ce thème a été traité à maintes reprises - Blood Father, Colombiana, Death Wish ou encore le récent Breaking In - mais la recette fonctionne toujours autant ! Le film d'action de Morel se veut par moment efficace notamment dans ses scènes d'action dont spoiler: une au sein d'une villa (mais cela ne vaut en aucun cas la qualité d'un Foreigner) et vaut principalement le déplacement pour le come-back de Jennifer Garner ! On n'avait pas revu l'actrice devant une telle production depuis The Kingdom ! Garner apporte une présence étonnante dans ce registre, et très éloignée de ces prestations du passé - Love, Simon et Nine Lives - qui se concentrait plus dans des drames familiales. L'ex de Ben Alleck est à contre-emploi dans Peppermint. Par contre, les méchants ne sont pas très charismatiques... Morel installe malgré ça, une atmosphère sombre où la violence domine spoiler: sur le plan nocturne. L'intensité de certains passages sont très peu stylisées contrairement aux prenants 22 Miles, Atomic Blonde et autres John Wick ! Le réalisateur français revient également, sur des effets de montage et de ralentis à l'ancienne ainsi que des flash-backs spoiler: racontant la vie d'avant de l’héroïne... Un aspect cliché du cinéaste ! Nous avons encore le droit à spoiler: un justicier voulant sauver les personnes les plus démunis, faisant écho à la suite décevante d'Equalizer... De plus, le cinéphile ne fait guère attention à la trame sonore de Peppermint qui s'avère quelconque et n'atteignant pas la force d'un Cliff Martinez. Plutôt regrettable sur ce point... Moins long que Gunman, Peppermint est un film d'action à la française qui demeure acceptable (malgré ses défauts) et bien que convenu et sans surprise, on passe un bon moment de détente devant une performance musclée de Jennifer Garner. On attend dés à présent le futur et prometteur Widows qui sortira en novembre et risque d'envoyer du lourd !
Jennifer Garner porte ce film sur ses épaules bodybuildées. Son jeu d'acteur est excellent, surtout au début du film. Malheureusement, malgré toute sa bonne volonté et son talent de comédienne, le scénario est tellement vu et revu, dans les films comme dans les téléfilms, que c'en est navrant. Navrant de constater ce manque cruel d'inspiration dans le cinéma d'aujourd'hui... Marre des remakes, des plagiats ou des films censés rendre hommage à d'autres films. Pour continuer à aller au cinéma, le spectateur que je suis exige de l'originalité...
Avec "Peppermint", Pierre Morel fait du Pierre Morel, c'est-à-dire un film qui est peu original, mais qui est assez efficace et divertissant pour nous faire passer un bon moment. L'histoire m'a fait penser à celle du Punisher, mais en version féminine avec Riley North qui assiste au massacre de son mari et de sa fille. Impuissante face à une justice corrompue, elle décide de disparaître pour mieux revenir les venger. Une vie dans l'ombre complètement dédiée à cette vengeance. Si Chad St John n'est bien entendu par le créateur de l'histoire du Punisher, le scénariste de ce film connait bien cette histoire puisqu'il avait écrit le scénario du court-métrage "The Punisher: Dirty Laundry" sorti en 2012 avec Thomas Jane qui reprenait son rôle 8 ans après. On peut reprocher beaucoup de choses à ce film concernant ce scénario vu et revu comprenant son lot de clichés habituels seulement, on ne s'ennuie pas une seule minute, ce qui est le plus important. Après une mise en place rapide, nous sommes plongés dans une traque sans merci, intense et haletante entre Riley, les gangsters et la police. Les scènes d'action, qui sont très nombreuses, sont efficaces, bien exécutées et parfois spectaculaires. Et pour les mener à bien, Jennifer Garner se donne à 100%. L'ancienne Sydney Bristow retrouve un rôle musclé pour la première fois depuis plusieurs années et ça lui va bien. L'actrice de 46 ans s'en sort très bien et est aussi convaincante que crédible dans le rôle de cette mère en quête de vengeance. Au final, un bon film d'action qui est parfaitement rythmé et divertissant bien que sans surprise.
Pierre Morel affectionne les scénarios de vengeances violentes car après Taken voila a peu près la même recette mais cette fois avec une femme comme redresseurs de torts. L'ensemble est néanmoins sauve par la bonne prestation de notre héroïne malgré des scènes d'actions pas souvent crédibles.
Peu vraisemblable mais distrayant. De l'action, de la violence brute de décoffrage, du flinguage à tout-va, et une Jennifer Garner plutôt convaincante. On pense à une version féminine d'American Assassin, bon film de vengeance également. On ne voit pas le temps passer, cool...
C'est un 3/5, ce film m'a impressionné. D'une part l'histoire m'a plu, une mère de famille qui n'a pas eu justice face à la mafia et aux hommes de justice corrompus. Elle décide de se faire justice elle-même, en les assassinant un par un. J'ai juste été gêné par la simplicité d'attaque pour une femme seule, armée, elle arrive à tuer une bonne dizaine de mafieux ! Chapeau bas... En faisant abstraction de ça, j'ai passé un bon moment !