Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
BIBA
par Lili Yubari
En s'attaquant à un sujet grave (le handicap invisible), Marion Vernoux réussit à en faire une comédie drôle et borderline qui pose frontalement des questions taboues [...].
20 Minutes
par Caroline Vié
Nicolas Duvauchelle est épatant dans « Bonhomme » de Marion Vernoux.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Une histoire d'amour poignante, marquée par la performance du duo d'acteurs.
Franceinfo Culture
par Pascale Deschamps, Jean-François Lixon
Nicolas Duvauchelle bouleversant en traumatisé crânien.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Jérôme Garcin
Du cinéma à hauteur d'homme.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par La Rédaction
Un rôle brillamment interprété par Nicolas Duvauchelle, au côté d'Ana Girardot.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Marie Claire
par Juliette Hochberg
Les silences font des lignes entières dans le scénario, parce que la réalisatrice a souhaité traiter les sujets du handicap, et du couple à l'épreuve du handicap, sans pathos.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par La Rédaction
Un film d'amour porté par un Nicolas Duvauchelle stupéfiant.
Positif
par Olivier De Bruyn
Si le film s'abîme parfois dans les facilités et, de ce fait, n'égale pas les plus belles réussites de la réalisatrice (en premier lieu : le remarquable "Les Beaux Jours"), il confirme néanmoins la singularité de Marion Vernoux.
Rolling Stone
par Jessica Saval
Drame sardonique savamment ironique, Bonhomme porte un regard douloureusement humain sur l’amour véritable et rappelle avec doigté que l’on peut « oublier qui on est, mais pas qui on aime ».
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
En épousant le point de vue de la jeune femme lorsqu’elle est seule avec Piotr et en prenant un tour plus objectif quand ils sont séparés, la mise en scène souligne leur lien. Le film impose une tonalité singulière où gravité, humour et tendresse font bon ménage.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par S.J.
À la fois comédie sociale et métaphore de la fidélité au-delà de tout, cette variation pétillante de Marion Vernoux vaut notamment pour son couple d'amoureux confrontés aux aléas de la vie. À commencer par Nicolas Duvauchelle, surprenant en innocent priapique qui ne quitte pas ses tongs.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Murielle Joudet
Si Bonhomme observe le quotidien d’un jeune couple bouleversé par un drame qu’il doit surmonter, le film amorce insensiblement une série de virages qui emmènent le récit très loin de ce qu’on pouvait prévoir.
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
À travers le récit d’un couple de jeunes gens face au handicap, Marion Vernoux traite du climat social d’une époque assez peu bienveillante avec sa jeunesse et saisit leur singularité débrouillarde avec une grande finesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Marion Vernoux (Les beaux jours) signe avec Bonhomme un film d’amour détonnant et irrévérencieux porté par deux acteurs remarquables.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Marion Vernoux ("Les beaux jours") empoigne cette histoire singulière non sans culot. Ne renonçant pas à l’humour, voire à la cocasserie des situations, elle filme la détresse d’un couple peu outillé pour faire face à une telle épopée. Car il s’agit bien d’une épopée intime avec un Nicolas Duvauchelle plus animal que jamais.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Si, au début, la trivialité du sujet désarçonne, on est vite séduit par la vitalité et la drôlerie de cette comédie crue sur l'amour à l'épreuve du handicap, grâce au talent de Nicolas Duvauchelle, impressionnant, et d'Ana Girardot.
Voici
par Lola Sciamma
Une comédie tendre et même romantique, qui a le mérite de traiter de tabous sans pathos.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Les comédiens sont parfaitement investis mais on a quand même du mal à croire à cette relation, d’autant que le récit insiste sans répit sur la turgescence du convalescent, traitée sur le mode de l’humour quand il se transforme, moyennant finances, en infatigable machine à assouvir les ardeurs d’une armada de voisines en rut. Bof.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Libération
par Anne Diatkine
Malgré de bonnes inspirations, le film de Marion Vernoux perd de son potentiel comique par un manque d’audace et le trop-plein de clichés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé Loisirs
par Claire Picard
Si Nicolas Duvauchelle et Ana Girardot livrent ici une belle performance, leur histoire finit par lasser, la faute à un scénario qui patine.
Critikat.com
par Clément Graminiès
Bonhomme est incapable de s'élever au niveau espéré, réduisant les penchants de Piotr à un argument comique d'une tristesse et d'une pauvreté affligeantes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par La Rédaction
Drôles de séquelles, Nicolas Duvauchelle, apparemment très en forme, se métamorphose en obsédé sexuel. Ana Girardot tente de le satisfaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télérama
par Jacques Morice
Le film décrit cette nouvelle vie compliquée, par petites touches, mais il lasse vite, faute de rythme et d’un ton juste. Même la sexualité décuplée de l’homme, élément au début désopilant, vire à la facilité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
BIBA
En s'attaquant à un sujet grave (le handicap invisible), Marion Vernoux réussit à en faire une comédie drôle et borderline qui pose frontalement des questions taboues [...].
20 Minutes
Nicolas Duvauchelle est épatant dans « Bonhomme » de Marion Vernoux.
Femme Actuelle
Une histoire d'amour poignante, marquée par la performance du duo d'acteurs.
Franceinfo Culture
Nicolas Duvauchelle bouleversant en traumatisé crânien.
L'Obs
Du cinéma à hauteur d'homme.
LCI
Un rôle brillamment interprété par Nicolas Duvauchelle, au côté d'Ana Girardot.
Marie Claire
Les silences font des lignes entières dans le scénario, parce que la réalisatrice a souhaité traiter les sujets du handicap, et du couple à l'épreuve du handicap, sans pathos.
Ouest France
Un film d'amour porté par un Nicolas Duvauchelle stupéfiant.
Positif
Si le film s'abîme parfois dans les facilités et, de ce fait, n'égale pas les plus belles réussites de la réalisatrice (en premier lieu : le remarquable "Les Beaux Jours"), il confirme néanmoins la singularité de Marion Vernoux.
Rolling Stone
Drame sardonique savamment ironique, Bonhomme porte un regard douloureusement humain sur l’amour véritable et rappelle avec doigté que l’on peut « oublier qui on est, mais pas qui on aime ».
La Croix
En épousant le point de vue de la jeune femme lorsqu’elle est seule avec Piotr et en prenant un tour plus objectif quand ils sont séparés, la mise en scène souligne leur lien. Le film impose une tonalité singulière où gravité, humour et tendresse font bon ménage.
Le Journal du Dimanche
À la fois comédie sociale et métaphore de la fidélité au-delà de tout, cette variation pétillante de Marion Vernoux vaut notamment pour son couple d'amoureux confrontés aux aléas de la vie. À commencer par Nicolas Duvauchelle, surprenant en innocent priapique qui ne quitte pas ses tongs.
Le Monde
Si Bonhomme observe le quotidien d’un jeune couple bouleversé par un drame qu’il doit surmonter, le film amorce insensiblement une série de virages qui emmènent le récit très loin de ce qu’on pouvait prévoir.
Les Fiches du Cinéma
À travers le récit d’un couple de jeunes gens face au handicap, Marion Vernoux traite du climat social d’une époque assez peu bienveillante avec sa jeunesse et saisit leur singularité débrouillarde avec une grande finesse.
Première
Marion Vernoux (Les beaux jours) signe avec Bonhomme un film d’amour détonnant et irrévérencieux porté par deux acteurs remarquables.
Sud Ouest
Marion Vernoux ("Les beaux jours") empoigne cette histoire singulière non sans culot. Ne renonçant pas à l’humour, voire à la cocasserie des situations, elle filme la détresse d’un couple peu outillé pour faire face à une telle épopée. Car il s’agit bien d’une épopée intime avec un Nicolas Duvauchelle plus animal que jamais.
Télé 7 Jours
Si, au début, la trivialité du sujet désarçonne, on est vite séduit par la vitalité et la drôlerie de cette comédie crue sur l'amour à l'épreuve du handicap, grâce au talent de Nicolas Duvauchelle, impressionnant, et d'Ana Girardot.
Voici
Une comédie tendre et même romantique, qui a le mérite de traiter de tabous sans pathos.
La Voix du Nord
Les comédiens sont parfaitement investis mais on a quand même du mal à croire à cette relation, d’autant que le récit insiste sans répit sur la turgescence du convalescent, traitée sur le mode de l’humour quand il se transforme, moyennant finances, en infatigable machine à assouvir les ardeurs d’une armada de voisines en rut. Bof.
Libération
Malgré de bonnes inspirations, le film de Marion Vernoux perd de son potentiel comique par un manque d’audace et le trop-plein de clichés.
Télé Loisirs
Si Nicolas Duvauchelle et Ana Girardot livrent ici une belle performance, leur histoire finit par lasser, la faute à un scénario qui patine.
Critikat.com
Bonhomme est incapable de s'élever au niveau espéré, réduisant les penchants de Piotr à un argument comique d'une tristesse et d'une pauvreté affligeantes.
Le Figaro
Drôles de séquelles, Nicolas Duvauchelle, apparemment très en forme, se métamorphose en obsédé sexuel. Ana Girardot tente de le satisfaire.
Télérama
Le film décrit cette nouvelle vie compliquée, par petites touches, mais il lasse vite, faute de rythme et d’un ton juste. Même la sexualité décuplée de l’homme, élément au début désopilant, vire à la facilité.