Never ending man : Hayao Miyazaki : Critique presse
Never ending man : Hayao Miyazaki
Note moyenne
3,7
18 titres de presse
20 Minutes
Cahiers du Cinéma
Franceinfo Culture
La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
Libération
Mad Movies
Ouest France
Paris Match
Positif
Première
L'Express
Le Figaro
Le Journal du Dimanche
Télérama
Le Monde
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Jamais on avait vu le papa de Totoro et de Chihiro aussi à l’aise devant une caméra.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Un pénétrant portrait d’artiste.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Passionnant de voir l’homme au travail, dessinant des layouts (ébauches en animation), s’émerveillant dans l’observation d’une plante qu’il dessine, rire, mais aussi évoquer l’âge, la vieillesse et sa peur de mourir avant de pouvoir finir son film ou de le voir terminé.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Un film modeste dans sa forme, passionnant sur le fond.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
(...) un documentaire tout d’intimité où, en complice respectueux, Kaku Arakawa suit au plus près le maître, que ce processus même de la création, soumis au doute, aux repentirs, à la remise cent fois sur le métier de l’ouvrage.
Le Parisien
par La Rédaction
Puissant, artistique et tellement vivant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par La rédaction
Kaku Arakawa nous offre, sur son ami Hayao Miyazaki, magicien du film d’animation japonais, le fruit de deux années de travail : un accès intime et éclairant sur l’artiste, et son œuvre, brossant le constat nostalgique d’un changement de monde.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Marius Chapuis
[...] "Never-Ending Man" dessine comment un maître se trouve tiraillé entre un corps qui lui dit d’arrêter et un esprit qui ne peut fonctionner que dans le mouvement.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Laurent Duroche
Seule la mort empêchera Hayao Miyazaki de créer. C'est ce qui ressort de ce documentaire passionnant dont la forme brute épouse la philosophie du réalisateur du "Château de Cagliostro".
Ouest France
par La Rédaction
Un beau documentaire.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Réalisé par un ami du maître japonais, ce film est un portrait sans concessions de l’artiste en ogre infatigable, perfectionniste acharné, se nourrissant de l’énergie de ses équipes pour avancer tout en refusant l’inéluctable note finale. Exceptionnel.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Eithne O'Neill
[...] portrait profond et émouvant [...].
Première
par Sylvestre Picard
Un beau morceau d'histoire, donc, qui arrive à temps pour nous faire patienter jusqu'à la sortie du nouveau Miyazaki, censé sortir en 2019.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
par Eric Libiot
Ce documentaire télé, réservé aux amateurs de Miyazaki et filmé n'importe comment, est finalement le portrait d'un homme curieux, têtu et conscient de la place qu'il occupe (la première).
Le Figaro
par Nathalie Simon
Avec Never-Ending Man : Hayao Miyazaki, Kaku Arakawa signe un portrait décousu de son ami, mais plein d'admiration.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Il faut faire abstraction de la qualité technique approximative de l’image et du son, le réalisateur ayant filmé le Walt Disney japonais en prenant le soin de le déranger le moins possible. On se délecte de cette plongée dans l’intimité d’un créateur perfectionniste et tyrannique avec ses employés [...].
Télérama
par Cécile Mury
Ce bout-à-bout d’images tournées dans l’intimité et au travail, presque à la sauvette, aurait pu s’intituler « Le vieil homme et l’avenir » : portrait à la fois crépusculaire et gorgé d’énergie d’un artiste exigeant, inspiré, agacé, criblé de doutes. Mais tout sauf retraité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Mathieu Macheret
Entre 2015 et 2016, à l'âge de 74 ans et après avoir annoncé sa retraite définitive, Miyazaki se remet en selle pour réaliser un court métrage en images de synthèse. Sans grande inspiration ni véritable recul, le film n'en constitue pas moins un document précieux (...).
20 Minutes
Jamais on avait vu le papa de Totoro et de Chihiro aussi à l’aise devant une caméra.
Cahiers du Cinéma
Un pénétrant portrait d’artiste.
Franceinfo Culture
Passionnant de voir l’homme au travail, dessinant des layouts (ébauches en animation), s’émerveillant dans l’observation d’une plante qu’il dessine, rire, mais aussi évoquer l’âge, la vieillesse et sa peur de mourir avant de pouvoir finir son film ou de le voir terminé.
La Voix du Nord
Un film modeste dans sa forme, passionnant sur le fond.
Le Dauphiné Libéré
(...) un documentaire tout d’intimité où, en complice respectueux, Kaku Arakawa suit au plus près le maître, que ce processus même de la création, soumis au doute, aux repentirs, à la remise cent fois sur le métier de l’ouvrage.
Le Parisien
Puissant, artistique et tellement vivant.
Les Fiches du Cinéma
Kaku Arakawa nous offre, sur son ami Hayao Miyazaki, magicien du film d’animation japonais, le fruit de deux années de travail : un accès intime et éclairant sur l’artiste, et son œuvre, brossant le constat nostalgique d’un changement de monde.
Libération
[...] "Never-Ending Man" dessine comment un maître se trouve tiraillé entre un corps qui lui dit d’arrêter et un esprit qui ne peut fonctionner que dans le mouvement.
Mad Movies
Seule la mort empêchera Hayao Miyazaki de créer. C'est ce qui ressort de ce documentaire passionnant dont la forme brute épouse la philosophie du réalisateur du "Château de Cagliostro".
Ouest France
Un beau documentaire.
Paris Match
Réalisé par un ami du maître japonais, ce film est un portrait sans concessions de l’artiste en ogre infatigable, perfectionniste acharné, se nourrissant de l’énergie de ses équipes pour avancer tout en refusant l’inéluctable note finale. Exceptionnel.
Positif
[...] portrait profond et émouvant [...].
Première
Un beau morceau d'histoire, donc, qui arrive à temps pour nous faire patienter jusqu'à la sortie du nouveau Miyazaki, censé sortir en 2019.
L'Express
Ce documentaire télé, réservé aux amateurs de Miyazaki et filmé n'importe comment, est finalement le portrait d'un homme curieux, têtu et conscient de la place qu'il occupe (la première).
Le Figaro
Avec Never-Ending Man : Hayao Miyazaki, Kaku Arakawa signe un portrait décousu de son ami, mais plein d'admiration.
Le Journal du Dimanche
Il faut faire abstraction de la qualité technique approximative de l’image et du son, le réalisateur ayant filmé le Walt Disney japonais en prenant le soin de le déranger le moins possible. On se délecte de cette plongée dans l’intimité d’un créateur perfectionniste et tyrannique avec ses employés [...].
Télérama
Ce bout-à-bout d’images tournées dans l’intimité et au travail, presque à la sauvette, aurait pu s’intituler « Le vieil homme et l’avenir » : portrait à la fois crépusculaire et gorgé d’énergie d’un artiste exigeant, inspiré, agacé, criblé de doutes. Mais tout sauf retraité.
Le Monde
Entre 2015 et 2016, à l'âge de 74 ans et après avoir annoncé sa retraite définitive, Miyazaki se remet en selle pour réaliser un court métrage en images de synthèse. Sans grande inspiration ni véritable recul, le film n'en constitue pas moins un document précieux (...).