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Dans "Le 15 : 17 pour Paris", Clint Eastwood reconstitue l’attaque du Thalys Amsterdam-Paris, en août 2015. Et dresse le portrait touchant de ses trois héros ordinaires, loin des canons prévisibles du film de genre.
La critique complète est disponible sur le site LCI
"15H 17 pour Paris" ne s’éloigne pas de la voie tracée depuis quelques années par Eastwood dans sa filmographie : raconter le destin d’Américains ordinaires devenus héros malgré eux…
Le maître américain réussit une expérience intéressante en faisant jouer les personnages principaux par les vrais héros. Mais échoue à en faire un grand film.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
En racontant l’amitié de jeunesse des trois garçons et en leur faisant interpréter eux-mêmes leur personnage, Clint Eastwood, après “American Sniper” et “Sully”, poursuit, avec l’efficacité qui est la sienne, son exaltation du héros ordinaire made in America.
La seule originalité de ce film laborieux vient de l’interprétation. Les trois protagonistes et les services de secours en gare d’Arras jouent leur propre rôle. C’est l’unique curiosité de ce voyage au bout de l’ennui.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Plutôt que de mettre en scène des héros qui s’acquittent du prix de la gloire, l’auteur-interprète du Maître de guerre s’attache à ces vies ordinaires (...). C’est prendre – cette fois en toute connaissance de cause – le risque de l’ennui. Il est assumé ici avec une ferveur ascétique, pour redire encore une fois que, sur l’enclume de la banalité (voire, ici, de la médiocrité), on peut forger la grandeur d’une nation.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
On saura donc grief à Eastwood de s'être jeté à corps perdu dans ce projet sans avoir envisagé à quel point les choix dramaturgiques du scénario étaient discutables.
On reconnaît bien là Clint qui se moque et rétablit les faits ! Pour le reste, la ritournelle biographique est laborieuse, surtout quand elle tire sans raisons à la ligne au cours d’une longue séquence de springbreak européen si peu réalisée (tout est dans le montage) que l’on jurerait un mauvais soap juvénile des années 80.
Sauf erreur, c’est bien la première fois qu’un film d’Eastwood n’était pas montré à la presse. Mauvais signe, se disait-on. La suite nous a donné raison : Le 15h17 pour Paris est sans doute l’un des rares films impossible à sauver de ce cher Clint.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ça ressemble à une pub pour de la Budweiser mais c’est bien plus profond que ça : Clint Eastwood a mis au point une véritable apologie de la crétinerie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
Or la beauté du film est d’organiser, au sein même de cette apparente plénitude, une résistance subreptice de l’horizon eastwoodien.
20 Minutes
L’attaque du Thalys est reconstituée de façon brillante.
Closer
L'attentat déjoué du Thalys prend vie devant la caméra de Clint Eastwood.
Femme Actuelle
On comprend pourquoi Clint Eastwood s'est emparé de cette histoire bien réelle: elle célèbre l'héroïsme, le patriotisme et une amitié forte.
L'Obs
Le cinéaste signe un film plus fou qu'il n'en a l'air, reconstitution patraque mais fascinante de l'attentat avorté du Thalys en 2015.
LCI
Dans "Le 15 : 17 pour Paris", Clint Eastwood reconstitue l’attaque du Thalys Amsterdam-Paris, en août 2015. Et dresse le portrait touchant de ses trois héros ordinaires, loin des canons prévisibles du film de genre.
Franceinfo Culture
"15H 17 pour Paris" ne s’éloigne pas de la voie tracée depuis quelques années par Eastwood dans sa filmographie : raconter le destin d’Américains ordinaires devenus héros malgré eux…
La Voix du Nord
Le maître américain réussit une expérience intéressante en faisant jouer les personnages principaux par les vrais héros. Mais échoue à en faire un grand film.
Le Dauphiné Libéré
En racontant l’amitié de jeunesse des trois garçons et en leur faisant interpréter eux-mêmes leur personnage, Clint Eastwood, après “American Sniper” et “Sully”, poursuit, avec l’efficacité qui est la sienne, son exaltation du héros ordinaire made in America.
Rolling Stone
Ce qui aurait pu être un bon film, tiré d'un excellent livre et d'un évènement héroïque, n'est qu'une pale restitution cinématographique
Ecran Large
Avec ce "15h17 pour Paris" laid, déficient narrativement et idéologiquement absurde, Clint Eastwood s'est oublié et a réalisé son plus mauvais film.
La Croix
La seule originalité de ce film laborieux vient de l’interprétation. Les trois protagonistes et les services de secours en gare d’Arras jouent leur propre rôle. C’est l’unique curiosité de ce voyage au bout de l’ennui.
Le Monde
Plutôt que de mettre en scène des héros qui s’acquittent du prix de la gloire, l’auteur-interprète du Maître de guerre s’attache à ces vies ordinaires (...). C’est prendre – cette fois en toute connaissance de cause – le risque de l’ennui. Il est assumé ici avec une ferveur ascétique, pour redire encore une fois que, sur l’enclume de la banalité (voire, ici, de la médiocrité), on peut forger la grandeur d’une nation.
Le Parisien
Le film du réalisateur américain consacré à l’attentat manqué du Thalys nous assomme en s’éternisant sur la jeunesse de ses héros.
Positif
On saura donc grief à Eastwood de s'être jeté à corps perdu dans ce projet sans avoir envisagé à quel point les choix dramaturgiques du scénario étaient discutables.
Transfuge
On reconnaît bien là Clint qui se moque et rétablit les faits ! Pour le reste, la ritournelle biographique est laborieuse, surtout quand elle tire sans raisons à la ligne au cours d’une longue séquence de springbreak européen si peu réalisée (tout est dans le montage) que l’on jurerait un mauvais soap juvénile des années 80.
Cahiers du Cinéma
Le nouveau Eastwood est un naufrage.
La Septième Obsession
Plus républicain borné que jamais.
Première
Clint Eastwood prend le train en route et signe son plus mauvais film de cinéaste.
Télérama
Sauf erreur, c’est bien la première fois qu’un film d’Eastwood n’était pas montré à la presse. Mauvais signe, se disait-on. La suite nous a donné raison : Le 15h17 pour Paris est sans doute l’un des rares films impossible à sauver de ce cher Clint.
aVoir-aLire.com
Ça ressemble à une pub pour de la Budweiser mais c’est bien plus profond que ça : Clint Eastwood a mis au point une véritable apologie de la crétinerie.