Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
L'Express
par Antoine Le Fur
Le film d'Ali Soozandeh est édifiant et on ne sait jamais si ces situations d'un autre âge sont révoltantes ou grotesques -la rotoscopie apporte en l'occurrence une distance troublante et bienvenue.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
VSD
par Bernard Achour
Poignant, poétique, choquant : depuis Valse avec Bachir, on n’avait jamais vu ça.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Ali Soozandeh regarde son pays natal droit dans les yeux. Pour un fantasme au réalisme cru et à la poésie étouffée. Tout cela dans un premier long-métrage aux couleurs vives.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Adrien Mitterrand
Soozandeh fait de son "Téhéran tabou" bien plus qu’une peinture sociale de l’Iran contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
Si le film est marqué par une extrême noirceur - étonnante au sein du genre de l’animation - son réalisateur ménage aussi certaines respirations au spectateur, des moments de légèreté et d’humour.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Figaro
par La Rédaction
Sexe, mensonge et religion à Téhéran. À travers le destin de trois femmes et un musicien, Ali Soozandeh brocarde une théocratie hypocrite et schizophrène. Un film tourné en rotoscopie (de vrais acteurs jouent les personnages retravaillés en animation)
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
Le résultat se révèle très beau et incroyable de réalisme. Au point qu'on en oublie presque qu'il s'agit de dessins.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Téhéran tabou vaut non pas seulement par son scénario remarquable, qui dit les choses sans « vouloir dire », mais aussi par son esthétique d’animation réaliste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Un grand film, politique et intime à la fois.
Télérama
par Jérémie Couston
Téhéran Tabou, film choral à la noirceur implacable, n’élude rien. Derrière ses choix esthétiques affleure, toujours, la véracité d’un documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Présenté à la Semaine de la Critique du dernier Festival de Cannes, Téhéran Tabou se fait une place parmi ces films rares et cependant de plus en répandus qui luttent et militent ouvertement pour la brisure des tabous. En témoigne le titre de ce long-métrage d’animation, audacieux aussi bien sur la forme que le fond.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
La frontalité du pamphlet est atténuée par la forme flottante du film, tourné en rotoscopie. De même qu'intervient le regard décalé du fils de la prostituée, témoin muet et précoce de ce quotidien obscène qu'il poétise à sa manière.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Sandrine Marques
Le réalisateur donne à ses images une chair et une texture étonnantes.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Filmé en rotoscopie (acteurs sur fond vert, redessinés ensuite), ce précis de solitude plonge dans le magma d’une société hypocrite et schizophrène perclue de tabous. Le tout dessiné et animé par un Iranien réfugié en Allemagne.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ali Soozandeh, Iranien immigré en Allemagne, souligne les contradictions de son pays natal et les tabous (sexualité, corruption, religion, maltraitance, suicide) volent en éclats. Un récit d’émancipation contestataire.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Delphine Cazus
Malgré sa fragilité, la justesse et l’honnêteté qui se dégagent du film en font un témoignage percutant
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Bernard Génin
Loin de la finesse d'analyse d'un Asghar Farhadi, Ali Soozandeh préfère le pamphlet implacable.
Première
par Gael Golhen
Le résultat est moins théorique et moins spectaculaire que le cinéma d’Ari Folman ou de Satoshi Kon, mais on retrouve cette manière de tremper son regard social dans un univers bariolé, irréel, où les personnages crèvent de solitude et de frustration.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
L’accumulation des scènes chocs et des images sensationnelles parfois outrancières finit par plomber le film, qui sombre dans la démonstration sociologique et nous détache des personnages.
L'Humanité
par Vincent Ostria
L’effet, saisissant, permet une grande latitude par rapport au réel. Mais, bien que s’inspirant de situations plausibles, le cinéaste a tendance à charger la barque, à s’appesantir systématiquement sur le sexe ou la drogue.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le réalisateur iranien exilé en Allemagne transforme trois femmes iraniennes (une prostituée, une fiancée, une jeune épouse) en images dessinées grâce à la technique de la rotoscopie. Mais cette énumération ne parvient pas à devenir la fiction romanesque à laquelle l’auteur aspire.
L'Express
Le film d'Ali Soozandeh est édifiant et on ne sait jamais si ces situations d'un autre âge sont révoltantes ou grotesques -la rotoscopie apporte en l'occurrence une distance troublante et bienvenue.
VSD
Poignant, poétique, choquant : depuis Valse avec Bachir, on n’avait jamais vu ça.
Bande à part
Ali Soozandeh regarde son pays natal droit dans les yeux. Pour un fantasme au réalisme cru et à la poésie étouffée. Tout cela dans un premier long-métrage aux couleurs vives.
Critikat.com
Soozandeh fait de son "Téhéran tabou" bien plus qu’une peinture sociale de l’Iran contemporain.
Culturopoing.com
Si le film est marqué par une extrême noirceur - étonnante au sein du genre de l’animation - son réalisateur ménage aussi certaines respirations au spectateur, des moments de légèreté et d’humour.
Le Figaro
Sexe, mensonge et religion à Téhéran. À travers le destin de trois femmes et un musicien, Ali Soozandeh brocarde une théocratie hypocrite et schizophrène. Un film tourné en rotoscopie (de vrais acteurs jouent les personnages retravaillés en animation)
Le Parisien
Le résultat se révèle très beau et incroyable de réalisme. Au point qu'on en oublie presque qu'il s'agit de dessins.
Les Inrockuptibles
Téhéran tabou vaut non pas seulement par son scénario remarquable, qui dit les choses sans « vouloir dire », mais aussi par son esthétique d’animation réaliste.
Studio Ciné Live
Un grand film, politique et intime à la fois.
Télérama
Téhéran Tabou, film choral à la noirceur implacable, n’élude rien. Derrière ses choix esthétiques affleure, toujours, la véracité d’un documentaire.
aVoir-aLire.com
Présenté à la Semaine de la Critique du dernier Festival de Cannes, Téhéran Tabou se fait une place parmi ces films rares et cependant de plus en répandus qui luttent et militent ouvertement pour la brisure des tabous. En témoigne le titre de ce long-métrage d’animation, audacieux aussi bien sur la forme que le fond.
L'Obs
La frontalité du pamphlet est atténuée par la forme flottante du film, tourné en rotoscopie. De même qu'intervient le regard décalé du fils de la prostituée, témoin muet et précoce de ce quotidien obscène qu'il poétise à sa manière.
La Septième Obsession
Le réalisateur donne à ses images une chair et une texture étonnantes.
La Voix du Nord
Filmé en rotoscopie (acteurs sur fond vert, redessinés ensuite), ce précis de solitude plonge dans le magma d’une société hypocrite et schizophrène perclue de tabous. Le tout dessiné et animé par un Iranien réfugié en Allemagne.
Le Journal du Dimanche
Ali Soozandeh, Iranien immigré en Allemagne, souligne les contradictions de son pays natal et les tabous (sexualité, corruption, religion, maltraitance, suicide) volent en éclats. Un récit d’émancipation contestataire.
Les Fiches du Cinéma
Malgré sa fragilité, la justesse et l’honnêteté qui se dégagent du film en font un témoignage percutant
Positif
Loin de la finesse d'analyse d'un Asghar Farhadi, Ali Soozandeh préfère le pamphlet implacable.
Première
Le résultat est moins théorique et moins spectaculaire que le cinéma d’Ari Folman ou de Satoshi Kon, mais on retrouve cette manière de tremper son regard social dans un univers bariolé, irréel, où les personnages crèvent de solitude et de frustration.
Cahiers du Cinéma
L’accumulation des scènes chocs et des images sensationnelles parfois outrancières finit par plomber le film, qui sombre dans la démonstration sociologique et nous détache des personnages.
L'Humanité
L’effet, saisissant, permet une grande latitude par rapport au réel. Mais, bien que s’inspirant de situations plausibles, le cinéaste a tendance à charger la barque, à s’appesantir systématiquement sur le sexe ou la drogue.
Le Monde
Le réalisateur iranien exilé en Allemagne transforme trois femmes iraniennes (une prostituée, une fiancée, une jeune épouse) en images dessinées grâce à la technique de la rotoscopie. Mais cette énumération ne parvient pas à devenir la fiction romanesque à laquelle l’auteur aspire.