Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Simon Gutman
Portrait à la fois brut et d’une belle ambition romanesque, doublé d’une dimension de fable morale, “A Ciambra” est une franche réussite.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Ce cinéma de pure incarnation, avançant cœur battant, nous permet d’échapper aux deux tendances – vitrines de nouveaux riches et tentation du radicalisme chic – qui ont dominé la production italienne depuis les années 2000.
L'Humanité
par Vincent Ostria
On retrouve pratiquement le même schéma narratif chez Carpignano, adoubé par le maestro Scorsese (coproducteur), mais en plus sophistiqué ; quelques séquences oniriques superfétatoires servent sans doute à donner au film une légitimité festivalière. Mais l’énergie folle de cette geste balaie ces réserves ponctuelles.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Si la mise en scène de Carpignano repose encore une fois sur une approche documentariste, son écriture scénariste a gagné en dramaturgie. Moins archétypaux, plus incarnés et ambigus, ses héros confèrent de l'humanisme et de l'émotion à cette fougueuse fiction sociétale.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Caméra à l’épaule, suivant cette boule de vie et de nerfs qu’est le jeune Pio Amato, le film de Jonas Carpignano, dans une ligne sociale qui fait penser aux frères Dardenne, fonctionne à l’énergie : on s’y laisse prendre.
Ouest France
par La Rédaction
Une plongée âpre et hyperréaliste.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Scorsese coproduit le film et on comprend pourquoi : c’est un drame solaire comme il les aime.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Dominique Martinez
(...) un récit résolument ancré dans la réalité. Les acteurs non-professionnels (...) jouent pratiquement leur propre rôle ; le traitement brut et vif de la caméra à l'épaule transmet un fort sentiment de réalisme.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Pio Amato est formidable en Rom qu’il est vraiment, donnant à cette fiction "documentée" fièvre et mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
"Les Affranchis" chez les Gitans, en quelque sorte. A Ciambra a d’ailleurs été soutenu par Martin Scorsese, grâce à un fonds d’aide aux cinéastes émergents. Un statut que Jonas Carpignano n’a vraiment pas volé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Puissant et assez désespérant.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Comment devenir un homme, dans un monde où l’on joue des coudes, où les aînés s’absentent, où exister, c’est parfois trahir. Carpignano emballe encore par sa maîtrise et sa vivacité, avec ce nouvel épisode de saga humaniste et sans fard.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Nicola Brarda
"A Ciambra" poursuit ainsi le parcours de Mediterranea, dont il explore le monde bigarré sous un nouvel angle.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
Jonas Carpignano puise dans le réel la matière d’un récit de fiction qui le donne à voir tout en le transformant. Alors que les comédiens amateurs nourrissent la narration de leurs expériences, le cinéaste leur offre la liberté du jeu.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Septième Obsession
par Séverine Danflous
Une mise en scène poignante.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Ce récit initiatique – un peu trop long, trop répétitif, certes – est coproduit par Martin Scorsese qui doit, probablement, s’en vouloir de ne plus tourner que des pièces montées boursouflées.
Le Figaro
par Nathalie Simon
Jonas Carpignano mêle savamment fiction et réalité, lorgnant par instants vers le documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Tout du long, le film est soulevé par l’énergie fougueuse et la hargne incendiaire de son jeune héros, qui ne fait jamais que chercher sa place.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
L’art du diptyque, ici élégamment exécuté, se double d’un art de l’immersion qui rappelle les Dardenne (…) feignant l’expérience quand c’est l’angoisse d’être au monde qui domine.
Libération
par Jérémy Piette
(...) on regrette que le cinéaste n’ait pas fait plus confiance à son avorton équivoque pour nous donner moins pesamment la dimension d’une initiation confuse. On se réjouit en revanche de voir Carpignano embrasser ici quelques bribes des rêveries de ses personnages (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Narbonne
Carpignano est moins à l’aise dans le registre de la pure fiction, notamment lorsqu’il s’agit de faire interagir Pio et un migrant africain qui veille sur lui. Mais l’essentiel est là, dans cette description brute d’une réalité complexe où la violence cohabite avec la tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Après le très beau Mediterranea, qui suivait des migrants débarqués en Italie, Carpignano poursuit sa quête aux confins du documentaire social et de la fiction chez des Roms hauts en couleur. Son jeune héros dégage un charme fou au fil de péripéties qui ne manquent pas de sel. Mais la caméra bouge trop, le récit patine, les personnages restent trop pittoresques face à des enjeux assez flous.
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Les premières minutes de ce film (...) donnent un sentiment de tourbillon qui perd de sa puissance au fil du récit. (...) Sauf dans la dernière ligne droite, où le choix qu'aura à faire ce gamin redonne de la tension à une intrigue trop ténue pour durer deux heures.
Les Fiches du Cinéma
Portrait à la fois brut et d’une belle ambition romanesque, doublé d’une dimension de fable morale, “A Ciambra” est une franche réussite.
Cahiers du Cinéma
Ce cinéma de pure incarnation, avançant cœur battant, nous permet d’échapper aux deux tendances – vitrines de nouveaux riches et tentation du radicalisme chic – qui ont dominé la production italienne depuis les années 2000.
L'Humanité
On retrouve pratiquement le même schéma narratif chez Carpignano, adoubé par le maestro Scorsese (coproducteur), mais en plus sophistiqué ; quelques séquences oniriques superfétatoires servent sans doute à donner au film une légitimité festivalière. Mais l’énergie folle de cette geste balaie ces réserves ponctuelles.
L'Obs
Si la mise en scène de Carpignano repose encore une fois sur une approche documentariste, son écriture scénariste a gagné en dramaturgie. Moins archétypaux, plus incarnés et ambigus, ses héros confèrent de l'humanisme et de l'émotion à cette fougueuse fiction sociétale.
Le Dauphiné Libéré
Caméra à l’épaule, suivant cette boule de vie et de nerfs qu’est le jeune Pio Amato, le film de Jonas Carpignano, dans une ligne sociale qui fait penser aux frères Dardenne, fonctionne à l’énergie : on s’y laisse prendre.
Ouest France
Une plongée âpre et hyperréaliste.
Paris Match
Scorsese coproduit le film et on comprend pourquoi : c’est un drame solaire comme il les aime.
Positif
(...) un récit résolument ancré dans la réalité. Les acteurs non-professionnels (...) jouent pratiquement leur propre rôle ; le traitement brut et vif de la caméra à l'épaule transmet un fort sentiment de réalisme.
Sud Ouest
Pio Amato est formidable en Rom qu’il est vraiment, donnant à cette fiction "documentée" fièvre et mélancolie.
Télérama
"Les Affranchis" chez les Gitans, en quelque sorte. A Ciambra a d’ailleurs été soutenu par Martin Scorsese, grâce à un fonds d’aide aux cinéastes émergents. Un statut que Jonas Carpignano n’a vraiment pas volé.
Voici
Puissant et assez désespérant.
Bande à part
Comment devenir un homme, dans un monde où l’on joue des coudes, où les aînés s’absentent, où exister, c’est parfois trahir. Carpignano emballe encore par sa maîtrise et sa vivacité, avec ce nouvel épisode de saga humaniste et sans fard.
Critikat.com
"A Ciambra" poursuit ainsi le parcours de Mediterranea, dont il explore le monde bigarré sous un nouvel angle.
Culturopoing.com
Jonas Carpignano puise dans le réel la matière d’un récit de fiction qui le donne à voir tout en le transformant. Alors que les comédiens amateurs nourrissent la narration de leurs expériences, le cinéaste leur offre la liberté du jeu.
La Septième Obsession
Une mise en scène poignante.
La Voix du Nord
Ce récit initiatique – un peu trop long, trop répétitif, certes – est coproduit par Martin Scorsese qui doit, probablement, s’en vouloir de ne plus tourner que des pièces montées boursouflées.
Le Figaro
Jonas Carpignano mêle savamment fiction et réalité, lorgnant par instants vers le documentaire.
Le Monde
Tout du long, le film est soulevé par l’énergie fougueuse et la hargne incendiaire de son jeune héros, qui ne fait jamais que chercher sa place.
Les Inrockuptibles
L’art du diptyque, ici élégamment exécuté, se double d’un art de l’immersion qui rappelle les Dardenne (…) feignant l’expérience quand c’est l’angoisse d’être au monde qui domine.
Libération
(...) on regrette que le cinéaste n’ait pas fait plus confiance à son avorton équivoque pour nous donner moins pesamment la dimension d’une initiation confuse. On se réjouit en revanche de voir Carpignano embrasser ici quelques bribes des rêveries de ses personnages (...).
Première
Carpignano est moins à l’aise dans le registre de la pure fiction, notamment lorsqu’il s’agit de faire interagir Pio et un migrant africain qui veille sur lui. Mais l’essentiel est là, dans cette description brute d’une réalité complexe où la violence cohabite avec la tendresse.
Le Journal du Dimanche
Après le très beau Mediterranea, qui suivait des migrants débarqués en Italie, Carpignano poursuit sa quête aux confins du documentaire social et de la fiction chez des Roms hauts en couleur. Son jeune héros dégage un charme fou au fil de péripéties qui ne manquent pas de sel. Mais la caméra bouge trop, le récit patine, les personnages restent trop pittoresques face à des enjeux assez flous.
Studio Ciné Live
Les premières minutes de ce film (...) donnent un sentiment de tourbillon qui perd de sa puissance au fil du récit. (...) Sauf dans la dernière ligne droite, où le choix qu'aura à faire ce gamin redonne de la tension à une intrigue trop ténue pour durer deux heures.