Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Enfin un film russe qui sort des rengaines actuelles sur la bourgeoisie poutinienne, la corruption, la décadence culturelle… Cinéaste à suivre de près, absolument.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Le film est souvent époustouflant par ce vaste et profond travail de transfiguration qu’il accomplit, prélevant dans la bibliothèque des sensations vives la matière translucide et vibrante qui s’insinue en chaque scène, et dont on peut avoir le sentiment qu’à peine vaporisée tel un élixir de jouvence, on la voit aussitôt s’assécher et retomber en poussière sur des personnages statufiés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Dominique Martinez
S'il est vrai que complimenter une oeuvre en ajoutant "...pour un premier film" n'a guère de sens, alors que tant de grands cinéastes ont débuté par un coup d'éclat, force est de constater que peu de premiers longs métrages conjuguent comme celui-ci la fougue de la jeunesse avec l'absolue maîtrise formelle.
Télérama
par Guillemette Odicino
Après Faute d’amour, d’Andreï Zviaguintsev, et Une femme douce, de Sergei Loznitsa, voilà qu’un tout nouveau réalisateur virtuose filme son pays déchiré entre traditions et violences. Et une femme y cherchant, tragiquement, un avenir. Celui de la Russie ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Le drame intime et familial prend le dessus sur une vision plus ample, éteignant une puissance d’abstraction cantonnée à cette idée d’enfermement. Mais parce qu’elle se laisse malgré tout pressentir, le film reste prometteur.
Critikat.com
par Thomas Choury
Ce qui frappe ici, c’est le contraste entre le terrain social exacerbé, le récit explosif, la mise en scène très voyante [...] et le ton général qui se dégage de Tesnota, tout en bruissements apeurés ou murmurés.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
La révélation d’un cinéaste avec lequel il faudra compter.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Balagov filme les tensions familiales et claniques au format carré avec un sens du cadre, de la couleur et de l'atmosphère claustrophobe digne d'un James Gray underground du Caucase. Un cinéaste est né.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Ce film est assurément une pépite.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un pays noir et violent, dans un film qui ne l’est pas moins.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Brillamment interprétés, ses personnages complexes évoluent dans une atmosphère sombre, où tout est claustration, que l'habileté du réalisateur rend presque palpable.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Kantemir Balagov filme ces existences recroquevillées avec un art du cadre et des présences remarquables.
Les Fiches du Cinéma
par Gaëlle B. Lerays
Sur fond de Guerre de Tchétchénie et sous tension – familiale, inter et intracommunautaire -, Kantemir Balagov signe un premier film maîtrisé et d’une sidérante beauté.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Michaël Patin
La grande force du film tient dans son choix de dévier du fait divers pour suivre un personnage secondaire : la sœur rebelle et intense du kidnappé, dont l’envie de respirer devient la nôtre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Kantemir Balagov nous balade sans jamais faire le malin, d'une mise en scène sûre, percée d'ellipses et de couleurs franches.
Voici
par La Rédaction
Une tragédie au climat claustrophobe et à l'interprétation d'une rare intensité.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un coup d’essai qui se révèle un coup de maître. (...) Tesnota s’inscrit dans la mouvance des derniers films qui, du Disciple à Faute d’amour, ont abordé les névroses d’une société russe gangrenée par l’individualisme, la corruption et l’intolérance.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Pour ses débuts, Kantemir Balagov affirme déjà des intentions et des ambitions solides.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Figaro
par Etienne Sorin
Tragédie familiale, thriller, chronique sociale, portrait de femme… Balagov, élève d'Alexandre Sokourov, signe un film passionnant. Hollywood n'a pas le monopole des héroïnes belles et rebelles.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
Enfin un film russe qui sort des rengaines actuelles sur la bourgeoisie poutinienne, la corruption, la décadence culturelle… Cinéaste à suivre de près, absolument.
Libération
Le film est souvent époustouflant par ce vaste et profond travail de transfiguration qu’il accomplit, prélevant dans la bibliothèque des sensations vives la matière translucide et vibrante qui s’insinue en chaque scène, et dont on peut avoir le sentiment qu’à peine vaporisée tel un élixir de jouvence, on la voit aussitôt s’assécher et retomber en poussière sur des personnages statufiés.
Positif
S'il est vrai que complimenter une oeuvre en ajoutant "...pour un premier film" n'a guère de sens, alors que tant de grands cinéastes ont débuté par un coup d'éclat, force est de constater que peu de premiers longs métrages conjuguent comme celui-ci la fougue de la jeunesse avec l'absolue maîtrise formelle.
Télérama
Après Faute d’amour, d’Andreï Zviaguintsev, et Une femme douce, de Sergei Loznitsa, voilà qu’un tout nouveau réalisateur virtuose filme son pays déchiré entre traditions et violences. Et une femme y cherchant, tragiquement, un avenir. Celui de la Russie ?
Cahiers du Cinéma
Le drame intime et familial prend le dessus sur une vision plus ample, éteignant une puissance d’abstraction cantonnée à cette idée d’enfermement. Mais parce qu’elle se laisse malgré tout pressentir, le film reste prometteur.
Critikat.com
Ce qui frappe ici, c’est le contraste entre le terrain social exacerbé, le récit explosif, la mise en scène très voyante [...] et le ton général qui se dégage de Tesnota, tout en bruissements apeurés ou murmurés.
L'Humanité
La révélation d’un cinéaste avec lequel il faudra compter.
L'Obs
Balagov filme les tensions familiales et claniques au format carré avec un sens du cadre, de la couleur et de l'atmosphère claustrophobe digne d'un James Gray underground du Caucase. Un cinéaste est né.
La Croix
Ce film est assurément une pépite.
Le Dauphiné Libéré
Un pays noir et violent, dans un film qui ne l’est pas moins.
Le Journal du Dimanche
Brillamment interprétés, ses personnages complexes évoluent dans une atmosphère sombre, où tout est claustration, que l'habileté du réalisateur rend presque palpable.
Le Monde
Kantemir Balagov filme ces existences recroquevillées avec un art du cadre et des présences remarquables.
Les Fiches du Cinéma
Sur fond de Guerre de Tchétchénie et sous tension – familiale, inter et intracommunautaire -, Kantemir Balagov signe un premier film maîtrisé et d’une sidérante beauté.
Première
La grande force du film tient dans son choix de dévier du fait divers pour suivre un personnage secondaire : la sœur rebelle et intense du kidnappé, dont l’envie de respirer devient la nôtre.
Sud Ouest
Kantemir Balagov nous balade sans jamais faire le malin, d'une mise en scène sûre, percée d'ellipses et de couleurs franches.
Voici
Une tragédie au climat claustrophobe et à l'interprétation d'une rare intensité.
aVoir-aLire.com
Un coup d’essai qui se révèle un coup de maître. (...) Tesnota s’inscrit dans la mouvance des derniers films qui, du Disciple à Faute d’amour, ont abordé les névroses d’une société russe gangrenée par l’individualisme, la corruption et l’intolérance.
CinemaTeaser
Pour ses débuts, Kantemir Balagov affirme déjà des intentions et des ambitions solides.
Le Figaro
Tragédie familiale, thriller, chronique sociale, portrait de femme… Balagov, élève d'Alexandre Sokourov, signe un film passionnant. Hollywood n'a pas le monopole des héroïnes belles et rebelles.