Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
Un séjour en Bulgarie qui saisit. Le western revisité. C’est fort et ample et ça raconte le monde. Valeska Grisebach transcende son récit naturaliste en une envolée mystérieuse et dense.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Maël Mubalegh
C’est bien cet abandon de la mise en scène à la danse un peu désaccordée du héros qui achève ici d’épaissir le mystère de ce "Western" sans cow-boy : Meinhard Neumann et Valeska Grisebach emportent avec eux, dans ses dernières inflexions contradictoires, le secret de leur film.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
Une remarquable aventure en Europe de l’Est.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Luc Chessel
Une brillante fable moderne qui dresse un constat amer de l’Europe.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
"Western" est un western dans la double et ambiguë dimension du genre. D'une part, en traduisant un mouvement impérialiste, une conquête territoriale, brutale, avide, coloniale (...). D'autre part, en accompagnant le mouvement par lequel, en se projetant vers un ailleurs, un homme espère s'arracher à son passé, à soi-même.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Il y a un an, Toni Erdmann de Maren Ade livrait l’analyse la plus précise et la satire la plus brillante de l’Europe (…) Un an après, Western saisit la balle au bond.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Un film qui puise dans le western avec finesse.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
La Croix
par Céline Rouden
Une réflexion puissante sur les frontières et une mise en garde contre les nationalismes qui peuvent encore à tout moment dégénérer en conflit.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Jérôme D’Estais
Le western permet à la réalisatrice de questionner de la manière la plus subtile qui soit, sans caricaturer, la parole raciste libérée, en Allemagne comme partout en Europe, et la question de ce qu’est être allemand à l’étranger, aujourd’hui et depuis 1945.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Valeska Grisebach en tire un saisissant portrait des hommes entre eux, doublé d’une étude précise du geste, de la mobilité masculine. Et qu’il faille une réalisatrice pour nous rappeler, aujourd’hui, qu’un amour des hommes est encore possible n’a évidemment rien d’anodin.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
En empruntant aux codes du western, V. Grisebach tisse une chronique languide et séduisante, tout entière articulée autour de la question du langage.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Ce film très physique, au plus près de certains atavismes de la nature humaine et du rapport compliqué à l'altérité radicale, revêt aussi, en filigrane, une belle dimension politique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
On y retrouve la qualité d'écriture, l'ambition d'intégrer des thématiques contemporaines (le rapport au travail, le sentiment de ne pas être à sa place dans la société, la question de l'identité culturelle européenne à l'heure du travail détaché) au cinéma de genre et cette manière de brosser le portrait d'un personnage en apparence peu sympathique, qui se livre peu, mais qui finit par nous toucher par sa profonde humanité.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Michaël Patin
Un fascinant western au coeur des montagnes bulgares.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Symbole de l’Europe d’aujourd’hui qui continue de préférer la suprématie de certains États à l’unification de tous, Western nous offre une belle leçon d’humanité et d’espoir malgré un déroulement légèrement lénifiant, heureusement compensé par un casting bluffant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Transfuge
par Léocadie Handke
Des plans souvent larges appellent à la durée. Mais la réalisatrice a préféré un montage plus morcelé, où d’une scène à l’autre on a parfois la sensation que beaucoup s’est passé sans que nous l’ayons vu. Le souffle du récit, qui n’a pas la dimension épique d’un western, en est un peu coupé.
L'Obs
par François Forestier
Cinéma de fort en thème, intéressant mais peu spectaculaire. Il y a des clients pour.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Le film, trop dans la retenue, endort toutefois un peu.
Bande à part
Un séjour en Bulgarie qui saisit. Le western revisité. C’est fort et ample et ça raconte le monde. Valeska Grisebach transcende son récit naturaliste en une envolée mystérieuse et dense.
Critikat.com
C’est bien cet abandon de la mise en scène à la danse un peu désaccordée du héros qui achève ici d’épaissir le mystère de ce "Western" sans cow-boy : Meinhard Neumann et Valeska Grisebach emportent avec eux, dans ses dernières inflexions contradictoires, le secret de leur film.
L'Humanité
Une remarquable aventure en Europe de l’Est.
Libération
Une brillante fable moderne qui dresse un constat amer de l’Europe.
Positif
"Western" est un western dans la double et ambiguë dimension du genre. D'une part, en traduisant un mouvement impérialiste, une conquête territoriale, brutale, avide, coloniale (...). D'autre part, en accompagnant le mouvement par lequel, en se projetant vers un ailleurs, un homme espère s'arracher à son passé, à soi-même.
Cahiers du Cinéma
Il y a un an, Toni Erdmann de Maren Ade livrait l’analyse la plus précise et la satire la plus brillante de l’Europe (…) Un an après, Western saisit la balle au bond.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un film qui puise dans le western avec finesse.
La Croix
Une réflexion puissante sur les frontières et une mise en garde contre les nationalismes qui peuvent encore à tout moment dégénérer en conflit.
La Septième Obsession
Le western permet à la réalisatrice de questionner de la manière la plus subtile qui soit, sans caricaturer, la parole raciste libérée, en Allemagne comme partout en Europe, et la question de ce qu’est être allemand à l’étranger, aujourd’hui et depuis 1945.
Le Monde
Valeska Grisebach en tire un saisissant portrait des hommes entre eux, doublé d’une étude précise du geste, de la mobilité masculine. Et qu’il faille une réalisatrice pour nous rappeler, aujourd’hui, qu’un amour des hommes est encore possible n’a évidemment rien d’anodin.
Les Fiches du Cinéma
En empruntant aux codes du western, V. Grisebach tisse une chronique languide et séduisante, tout entière articulée autour de la question du langage.
Les Inrockuptibles
Ce film très physique, au plus près de certains atavismes de la nature humaine et du rapport compliqué à l'altérité radicale, revêt aussi, en filigrane, une belle dimension politique.
Paris Match
On y retrouve la qualité d'écriture, l'ambition d'intégrer des thématiques contemporaines (le rapport au travail, le sentiment de ne pas être à sa place dans la société, la question de l'identité culturelle européenne à l'heure du travail détaché) au cinéma de genre et cette manière de brosser le portrait d'un personnage en apparence peu sympathique, qui se livre peu, mais qui finit par nous toucher par sa profonde humanité.
Première
Un fascinant western au coeur des montagnes bulgares.
aVoir-aLire.com
Symbole de l’Europe d’aujourd’hui qui continue de préférer la suprématie de certains États à l’unification de tous, Western nous offre une belle leçon d’humanité et d’espoir malgré un déroulement légèrement lénifiant, heureusement compensé par un casting bluffant.
Transfuge
Des plans souvent larges appellent à la durée. Mais la réalisatrice a préféré un montage plus morcelé, où d’une scène à l’autre on a parfois la sensation que beaucoup s’est passé sans que nous l’ayons vu. Le souffle du récit, qui n’a pas la dimension épique d’un western, en est un peu coupé.
L'Obs
Cinéma de fort en thème, intéressant mais peu spectaculaire. Il y a des clients pour.
Studio Ciné Live
Le film, trop dans la retenue, endort toutefois un peu.