Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
La mise en scène de Stéphane Brizé est fine, le spectateur est à la fois au coeur des manifs et des discussions. On est dans le cinéma vérité, glaçant, dérangeant. Juste tout simplement.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Christophe Carrière
Stéphane Brizé raconte tout en disséquant. Sans caricaturer. Sans pointer personne du doigt. Juste accuser un état de fait, constater un drame humain. Et avec le talent inouï de faire du cinéma avec la réalité sans jamais trahir celle-ci.
LCI
par Jérôme Vermelin
Une fiction puissante, qui gagne en épaisseur et en gravité au fil des minutes pour mieux terrasser le spectateur lors d’un épilogue qui plonge la salle dans un état de stupéfaction rare.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Une œuvre saisissante, percutante, magistrale.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Stéphane Brizé, s'éloignant du documentaire et défiant le simplisme idéologique toujours en embuscade, décuple la force d'une mise en scène qui certes ne s'embarrasse pas de doutes. Jusqu'à un épilogue choc qui, lui, n'a pas fini de faire parler.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un drame d’une puissance émotionnelle inouïe, qui repose sur une narration en temps réel, des dialogues percutants et des plans séquences vertigineux.
Le Parisien
par La Rédaction
Tout est performance dans ce film uppercut : la réalisation, entre documentaire et reportage à vif, le travail des non-acteurs dans des rôles qu’ils ont bien connu dans la vraie vie, et la puissance de tir de Vincent Lindon, porté par une inextinguible colère.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marianne
par Olivier de Bruyn
Un grand film social et politique.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Parfois, on reproche au cinéma français d'avoir du mal à regarder la réalité sociale. Après La Loi du marché, Stéphane Brizé prouve le contraire. Brillamment.
Positif
par Philippe Rouyer
C'est la force de sa mise en scène de nous faire croire à tout ce qu'on voit alors que tout a été préparé en amont.
Télérama
par Cécile Mury
Ni « documenteur » ni brûlot romanesque, le film trouve son équilibre et sa puissance dans un entre-deux passionnant, dans une capacité à distinguer et à resserrer les enjeux dramatiques, à en souligner les enchaînements et la complexité, à en incarner toute la dimension humaine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Olivier Bombarda
Stéphane Brizé signe un film coup de poing, engagé, rageur, et interprété par des comédiens épatants de vérité.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Au plus près de ces hommes et ces femmes en lutte, le naturalisme rivé à l’image, Stéphane Brizé dégraisse un cinéma à la Ken Loach de tout sentimentalisme et arrache une fiction au réel, grâce à un jeu puissant, impeccable, de ses comédiens et une intelligence admirable du montage – jusqu’à l’épilogue, moins convaincant.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Un film coup de poing d'une brûlante actualité.
L'Obs
par François Forestier
Vincent Lindon, entièrement habité par le personnage d'Amédéo, allume la mèche, à chaque scène. Il est à la fois au diapason des autres et unique dans sa révolte. Cette marge entre la fiction et la flamme, on appelle ça le talent.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Dans la même veine que “La Loi du marché”, mais dans un contexte différent, Stéphane Brizé et Vincent Lindon trouvent le ton juste et fort pour dire la brutalité d’un système qui engendre une violence de guerre sociale.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Dans la même veine que “La Loi du marché”, mais dans un contexte différent, Stéphane Brizé et Vincent Lindon trouvent le ton juste et fort pour dire la brutalité d’un système qui engendre une violence de guerre sociale.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) la montée à Paris, les coups d’éclat, bientôt présentés comme des actes de vandalisme, fissures et éclatement du front syndical. Sans jamais briser le rythme inexorable du film, Brizé déploie ces situations, met en évidence les blessures qu’elles provoquent, les cicatrices qu’elles laissent, y compris chez l’adversaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Par sa mise en scène immersive, Brizé nous fait éprouver presque physiquement cette guerre harassante.
Télé Loisirs
par Claire Picard
Chahutée, vibrante, la caméra immergée de Stéphane Brizé traduit avec un incroyable réalisme ce combat et ses douleurs. Les acteurs -Vincent Lindon en tête- sont extraordinaires.
Voici
par La Rédaction
Impressionnant et épuisant.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Conçu comme une vision documentaire des luttes antagonistes qui s’entrechoquent au sein de notre société capitaliste, le deuxième épisode du diptyque social de Stéphane Brizé et Vincent Lindon interpelle par sa radicalité et offre matière au débat. Comme si, le vrai combat ici était de tester notre résistance et notre résignation de (télé)spectateurs passifs.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
On peut voir dans En guerre une variation sur « la loi du marché » après le film du même titre (…). Mais on peut le voir aussi comme un film assez différent, et rendre justice à Stéphane Brizé de faire varier son dispositif autant que son propos, dut-il se cogner contre de semblables apories.
Ecran Large
par Simon Riaux
Excellemment raconté, "En guerre" voit son hyperréalisme artificiel et l'iconisation délirante de Vincent Lindon saboter ses intentions premières.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Figaro
par Etienne Sorin
Dommage que le film souffre de quelques longueurs et d'effets répétitifs (les manifestations en images muettes mais avec musique tonitruante). Mais, une fois de plus, Vincent Lindon emporte le morceau par son engagement, sa conviction, son intensité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Le plus grand tour de force du film est de parvenir à fusionner réel et fiction, crédibilité de la représentation et récit à suspense, sans rien céder d’un côté ou de l’autre, comme dans les meilleurs films sociaux américains.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Une œuvre forte, même si, parfois, le propos appuyé peut presque devenir contre-productif.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Christophe Narbonne
Stéphane Brizé et Vincent Lindon reforme le duo gagnant de La Loi du Marché pour un nouveau film de crise qui résonne avec l’actualité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Josué Morel
(...) le film ne va pas au-delà de ce travail d’exposition des interactions du monde social (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Julien Gester
(...) à l’inverse du grand bain d’humanité meurtrie par l’étau de brutalité capitaliste que semble promettre l’implacable démonstration du couple Brizé-Lindon, on croirait à s’y méprendre que cette histoire nous est contée par le seul prisme d’un regard comptable de DRH, soucieux seulement d’une sorte d’insoutenable politique du chiffre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Frédéric Mercier
(...) Brizé le réaliste est d’abord un maniériste, et "En Guerre", un film de mimes plutôt que d’action.
Culturopoing.com
par Pierre Audebert
"En guerre", le placebo des salariés résignés et des retraités essorés...
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
La mise en scène de Stéphane Brizé est fine, le spectateur est à la fois au coeur des manifs et des discussions. On est dans le cinéma vérité, glaçant, dérangeant. Juste tout simplement.
L'Express
Stéphane Brizé raconte tout en disséquant. Sans caricaturer. Sans pointer personne du doigt. Juste accuser un état de fait, constater un drame humain. Et avec le talent inouï de faire du cinéma avec la réalité sans jamais trahir celle-ci.
LCI
Une fiction puissante, qui gagne en épaisseur et en gravité au fil des minutes pour mieux terrasser le spectateur lors d’un épilogue qui plonge la salle dans un état de stupéfaction rare.
La Croix
Une œuvre saisissante, percutante, magistrale.
La Voix du Nord
Stéphane Brizé, s'éloignant du documentaire et défiant le simplisme idéologique toujours en embuscade, décuple la force d'une mise en scène qui certes ne s'embarrasse pas de doutes. Jusqu'à un épilogue choc qui, lui, n'a pas fini de faire parler.
Le Journal du Dimanche
Un drame d’une puissance émotionnelle inouïe, qui repose sur une narration en temps réel, des dialogues percutants et des plans séquences vertigineux.
Le Parisien
Tout est performance dans ce film uppercut : la réalisation, entre documentaire et reportage à vif, le travail des non-acteurs dans des rôles qu’ils ont bien connu dans la vraie vie, et la puissance de tir de Vincent Lindon, porté par une inextinguible colère.
Marianne
Un grand film social et politique.
Ouest France
Parfois, on reproche au cinéma français d'avoir du mal à regarder la réalité sociale. Après La Loi du marché, Stéphane Brizé prouve le contraire. Brillamment.
Positif
C'est la force de sa mise en scène de nous faire croire à tout ce qu'on voit alors que tout a été préparé en amont.
Télérama
Ni « documenteur » ni brûlot romanesque, le film trouve son équilibre et sa puissance dans un entre-deux passionnant, dans une capacité à distinguer et à resserrer les enjeux dramatiques, à en souligner les enchaînements et la complexité, à en incarner toute la dimension humaine.
Bande à part
Stéphane Brizé signe un film coup de poing, engagé, rageur, et interprété par des comédiens épatants de vérité.
CinemaTeaser
Au plus près de ces hommes et ces femmes en lutte, le naturalisme rivé à l’image, Stéphane Brizé dégraisse un cinéma à la Ken Loach de tout sentimentalisme et arrache une fiction au réel, grâce à un jeu puissant, impeccable, de ses comédiens et une intelligence admirable du montage – jusqu’à l’épilogue, moins convaincant.
Femme Actuelle
Un film coup de poing d'une brûlante actualité.
L'Obs
Vincent Lindon, entièrement habité par le personnage d'Amédéo, allume la mèche, à chaque scène. Il est à la fois au diapason des autres et unique dans sa révolte. Cette marge entre la fiction et la flamme, on appelle ça le talent.
Le Dauphiné Libéré
Dans la même veine que “La Loi du marché”, mais dans un contexte différent, Stéphane Brizé et Vincent Lindon trouvent le ton juste et fort pour dire la brutalité d’un système qui engendre une violence de guerre sociale.
Le Dauphiné Libéré
Dans la même veine que “La Loi du marché”, mais dans un contexte différent, Stéphane Brizé et Vincent Lindon trouvent le ton juste et fort pour dire la brutalité d’un système qui engendre une violence de guerre sociale.
Le Monde
(...) la montée à Paris, les coups d’éclat, bientôt présentés comme des actes de vandalisme, fissures et éclatement du front syndical. Sans jamais briser le rythme inexorable du film, Brizé déploie ces situations, met en évidence les blessures qu’elles provoquent, les cicatrices qu’elles laissent, y compris chez l’adversaire.
Télé 7 Jours
Par sa mise en scène immersive, Brizé nous fait éprouver presque physiquement cette guerre harassante.
Télé Loisirs
Chahutée, vibrante, la caméra immergée de Stéphane Brizé traduit avec un incroyable réalisme ce combat et ses douleurs. Les acteurs -Vincent Lindon en tête- sont extraordinaires.
Voici
Impressionnant et épuisant.
aVoir-aLire.com
Conçu comme une vision documentaire des luttes antagonistes qui s’entrechoquent au sein de notre société capitaliste, le deuxième épisode du diptyque social de Stéphane Brizé et Vincent Lindon interpelle par sa radicalité et offre matière au débat. Comme si, le vrai combat ici était de tester notre résistance et notre résignation de (télé)spectateurs passifs.
Cahiers du Cinéma
On peut voir dans En guerre une variation sur « la loi du marché » après le film du même titre (…). Mais on peut le voir aussi comme un film assez différent, et rendre justice à Stéphane Brizé de faire varier son dispositif autant que son propos, dut-il se cogner contre de semblables apories.
Ecran Large
Excellemment raconté, "En guerre" voit son hyperréalisme artificiel et l'iconisation délirante de Vincent Lindon saboter ses intentions premières.
Le Figaro
Dommage que le film souffre de quelques longueurs et d'effets répétitifs (les manifestations en images muettes mais avec musique tonitruante). Mais, une fois de plus, Vincent Lindon emporte le morceau par son engagement, sa conviction, son intensité.
Les Inrockuptibles
Le plus grand tour de force du film est de parvenir à fusionner réel et fiction, crédibilité de la représentation et récit à suspense, sans rien céder d’un côté ou de l’autre, comme dans les meilleurs films sociaux américains.
Paris Match
Une œuvre forte, même si, parfois, le propos appuyé peut presque devenir contre-productif.
Première
Stéphane Brizé et Vincent Lindon reforme le duo gagnant de La Loi du Marché pour un nouveau film de crise qui résonne avec l’actualité.
Critikat.com
(...) le film ne va pas au-delà de ce travail d’exposition des interactions du monde social (...).
Libération
(...) à l’inverse du grand bain d’humanité meurtrie par l’étau de brutalité capitaliste que semble promettre l’implacable démonstration du couple Brizé-Lindon, on croirait à s’y méprendre que cette histoire nous est contée par le seul prisme d’un regard comptable de DRH, soucieux seulement d’une sorte d’insoutenable politique du chiffre.
Transfuge
(...) Brizé le réaliste est d’abord un maniériste, et "En Guerre", un film de mimes plutôt que d’action.
Culturopoing.com
"En guerre", le placebo des salariés résignés et des retraités essorés...