Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Par sa sobriété et sa sincérité brute, Christophe Honoré convoque avec justesse les fantômes qui l'ont construit pour leur rendre le plus bel hommage qui soit : la découverte d'un artiste comme une histoire d'amour peut bouleverser une vie à jamais.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Entre objets exigeants, tenants d’une certaine radicalité, et projets susceptibles de toucher le grand public cinéphile, Christophe Honoré a toujours oscillé. "Plaire, aimer et courir vite" nous paraît fusionner ces deux veines et s’impose d’emblée comme sa réussite la plus achevée depuis "Les Chansons d’amour".
Christophe Honoré n’a jamais saisi avec une telle intensité les hésitations amoureuses, la certitude de l’éphémère et l’intrigante osmose entre la douceur du sexe et sa crudité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Après une décennie d'explorations, d'expérimentations et d'errances cinématographiques, Christophe Honoré revient au plus près de ce qui fait la grandeur de son cinéma et livre son film le plus personnel, le plus fort, et surtout le plus abouti. Son chef-d’œuvre, tout simplement.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
À chaque fois que Lacoste apparaît à l’écran, le film s’illumine. Son jeu nonchalant trouve avec les mots d’Honoré une drôlerie et une émotion juvénile renversantes. Il est la vie même.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Autobiographique, l’objet fait très plaisir tant on n’attendait plus Christophe Honoré sur de tels sujets. On espère que l’auteur continuera dans cette veine. Un film à voir et à retenir.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'impudeur du film naît d'ailleurs moins des étreintes qu'il met en scène que de la frontalité des joutes verbales. Quand les corps nus se rapprochent, c'est, à une exception près, pour appeler au réconfort, à une tendresse qui ramène à l'enfance. Au temps où l'on jouait à conjurer la mort.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Christophe Honoré signe son film le plus cinématographique. Un film générationnel, les références sont nombreuses et composent discrètement le décor du film, mais aussi littéraire - les dialogues composent une partition jouissive.
En suivant ces deux personnages qui sont un peu le miroir de sa vie, Christophe Honoré signe avant tout un film très personnel, bourré de citations culturelles et de clins d’œil à une époque dont il semble inconsolable. C’est aussi une belle histoire d’amour, émouvante mais sans pathos malgré son issue incertaine.
Le réalisateur des "Chansons d’amour" reste dans son univers coloré et pop mais la maturité le porte vers un cinéma plein de légèreté et de fureur, débarrassé de ses figures de style qui alourdissaient parfois ses précédents films.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Certains spectateurs seront séduits par les citations littéraires et la mise en scène. Ce ne fut pas notre cas. La patine bleue s'avère une gaze drapée sur de la sentimentalité.
Culturopoing.com
Par sa sobriété et sa sincérité brute, Christophe Honoré convoque avec justesse les fantômes qui l'ont construit pour leur rendre le plus bel hommage qui soit : la découverte d'un artiste comme une histoire d'amour peut bouleverser une vie à jamais.
Les Inrockuptibles
Entre objets exigeants, tenants d’une certaine radicalité, et projets susceptibles de toucher le grand public cinéphile, Christophe Honoré a toujours oscillé. "Plaire, aimer et courir vite" nous paraît fusionner ces deux veines et s’impose d’emblée comme sa réussite la plus achevée depuis "Les Chansons d’amour".
Transfuge
(...) petit miracle de film sans cesse à cheval entre le déversement et l’endiguement.
Télé Loisirs
Une chronique solaire d'un premier et d'un dernier amour (...) . Bouleversant.
Télérama
Christophe Honoré n’a jamais saisi avec une telle intensité les hésitations amoureuses, la certitude de l’éphémère et l’intrigante osmose entre la douceur du sexe et sa crudité.
aVoir-aLire.com
Après une décennie d'explorations, d'expérimentations et d'errances cinématographiques, Christophe Honoré revient au plus près de ce qui fait la grandeur de son cinéma et livre son film le plus personnel, le plus fort, et surtout le plus abouti. Son chef-d’œuvre, tout simplement.
Bande à part
Il y a de la grâce dans l'écriture de Christophe Honoré et ses personnages, idéalement interprétés, touchent au coeur.
CinemaTeaser
À chaque fois que Lacoste apparaît à l’écran, le film s’illumine. Son jeu nonchalant trouve avec les mots d’Honoré une drôlerie et une émotion juvénile renversantes. Il est la vie même.
Ecran Large
Autobiographique, l’objet fait très plaisir tant on n’attendait plus Christophe Honoré sur de tels sujets. On espère que l’auteur continuera dans cette veine. Un film à voir et à retenir.
Femme Actuelle
Pierre Deladonchamps va vous bouleverser dans ce film choc.
Franceinfo Culture
Un trio d’exception au service de l’élégance de Christophe Honoré : émouvant.
L'Obs
L'impudeur du film naît d'ailleurs moins des étreintes qu'il met en scène que de la frontalité des joutes verbales. Quand les corps nus se rapprochent, c'est, à une exception près, pour appeler au réconfort, à une tendresse qui ramène à l'enfance. Au temps où l'on jouait à conjurer la mort.
La Septième Obsession
Christophe Honoré signe son film le plus cinématographique. Un film générationnel, les références sont nombreuses et composent discrètement le décor du film, mais aussi littéraire - les dialogues composent une partition jouissive.
La Voix du Nord
Deux mois après Call Me By Your Name, on retrouve une douceur similaire dans cette bouleversante passion entre deux être fragiles.
Le Figaro
Avec Plaire, aimer et courir vite, Christophe Honoré signe son plus beau film.
Le Journal du Dimanche
En suivant ces deux personnages qui sont un peu le miroir de sa vie, Christophe Honoré signe avant tout un film très personnel, bourré de citations culturelles et de clins d’œil à une époque dont il semble inconsolable. C’est aussi une belle histoire d’amour, émouvante mais sans pathos malgré son issue incertaine.
Libération
"Plaire, aimer et courir vite" croise avec grâce une initiation sentimentale et un dernier amour à l’heure des "années sida".
Paris Match
Le réalisateur des "Chansons d’amour" reste dans son univers coloré et pop mais la maturité le porte vers un cinéma plein de légèreté et de fureur, débarrassé de ses figures de style qui alourdissaient parfois ses précédents films.
Critikat.com
(...) cet art du contre-pied donne au film une certaine roublardise.
Positif
Certains spectateurs seront séduits par les citations littéraires et la mise en scène. Ce ne fut pas notre cas. La patine bleue s'avère une gaze drapée sur de la sentimentalité.