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Karin Viard joue la nounou et Leila Bekhti la mère de famille dans ce film qui devient un thriller avec une intensité d’autant plus hallucinante qu'on connaît la fin.
Angoissant, intelligent et incisif, "Chanson douce" de Lucie Borleteau est l’une des rares réussites françaises dans le registre du film de genre. En nounou dérangée, Karine Viard y est étincelante
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Un rôle glaçant qui casse l'image sympathique de Karin Viard et plonge le spectateur dans un drame oscillant entre thriller psychologique et chronique sociale.
La critique complète est disponible sur le site CNews
En plus d'être maîtrisé, le long-métrage dispose surtout de l'actrice idéale pour incarner Louise, la fameuse nourrice psychotique : Karin Viard, à l'origine même du projet du film, époustouflante.
La mise en scène enserre le récit autant que le spectateur d’un cadre inquiétant. Et le trio d’acteurs est impeccable, Karin Viard en particulier, inoubliable dans ce rôle d’ogresse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Parfois construite sur des silences, d'inquiétantes attitudes, ou des échanges de regards entre Karin Viard qui incarne la nounou et Leïla Bekhti dans le rôle de la mère, cette chronique d'un drame annoncé est terriblement fascinante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Si le scénario est intelligent et bien découpé, Chanson douce doit beaucoup à ses acteurs. D’abord, Karin Viard, très crédible dans le rôle de Louise, nounou parfaite, trop parfaite, au déséquilibre mental de plus en plus prégnant.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
La tragédie finale est brutale et très maîtrisée dans sa mise en scène. Elle oblige le spectateur à s’interroger sur cette personnalité complexe qu’incarne une Karin Viard parfaite, sous le vernis de son apparente banalité. Perturbant.
Après le beau Fidelio, l’odyssée d’Alice, Lucie Borleteau s’empare du roman de Leïla Slimani dans une honnête adaptation qui laisse néanmoins de côté une partie de ses subtilités.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Karin Viard porte cette adaptation du prix Goncourt 2016, qui tient plus de la chronique sociale que du thriller, en incarnant avec un mélange de candeur et de folie cette femme insaisissable.
Pas certain que cette approche satisfasse les fans hardcore du roman de Slimani, dont Borleteau sacrifie quelque peu la précision sociologique et psychologique, délaissant l'idée percutante du transfert de maternité au profit d'un traitement frôlant le thriller. Le film d'emprise, de paranoïa diabolique qui en résulte a d'autres modèles que l'étude de mœurs slimanienne : Servant de Losey ou [les films] de Jordan Peele.
Forcément déstabilisante, cette radiographie du microcosme familial moderne et de ses mangues n’évite pas toujours l’exercice de style. Mais Karin Viard, dans une partition difficile, donne une redoutable chair à ce monstre.
Mise en scène avec une sobre application et interprétée par des acteurs indiscutables – en premier lieu le duo Karin Viard (Louise) et Leïla Bekhti (Myriam) – cette adaptation, par ailleurs honorable, privilégie l’intimisme horrifique et suscite une inévitable frustration chez ceux qui ont apprécié le modèle littéraire.
L'écriture semble réduite à une seule fonction imposée par le récit : celle de doser les différents éléments qui permettront, à défaut d’expliquer l’inexplicable, de se tenir devant l’abîme de l’horreur, de sonder, peut-être, une partie du gouffre qui se creuse sans mot à dire à l’intérieur d’un petit foyer ordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Et pourtant, quelque chose ne fonctionne jamais tout à fait. Comme un vice originel de fabrication : un contresens sur celle qui incarne (pourtant impeccablement) cette nounou.
La critique complète est disponible sur le site Première
Si Karin Viard habite avec talent cette nounou vulnérable et dangereuse, le film souffre d’une écriture et une mise en scène qui se traînent en longueur, se perdent dans les académismes et se terminent en queue de poisson.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Convaincu de sonder la détresse d’une femme chez qui la raison largue peu à peu les amarres, le film donne plutôt l’impression de tracer le portrait sans équivoque d’une nourrice sociopathe, et tend souvent la joue au ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
Chanson douce se regarde comme un thriller psychologique précis et anxiogène, inéluctablement tragique.
Transfuge
Thriller hitchcocko-polanskien à la fois subtil et efficace, "Chanson douce" scanne certaines de nos angoisses contemporaines.
Télé Loisirs
Bousculant la chronologie du roman de Leïla Slimani, la réalisatrice signe un thriller psychologique glaçant.
20 Minutes
Karin Viard livre une interprétation magistrale.
BIBA
Karin Viard joue la nounou et Leila Bekhti la mère de famille dans ce film qui devient un thriller avec une intensité d’autant plus hallucinante qu'on connaît la fin.
Bande à part
Angoissant, intelligent et incisif, "Chanson douce" de Lucie Borleteau est l’une des rares réussites françaises dans le registre du film de genre. En nounou dérangée, Karine Viard y est étincelante
CNews
Un rôle glaçant qui casse l'image sympathique de Karin Viard et plonge le spectateur dans un drame oscillant entre thriller psychologique et chronique sociale.
Femme Actuelle
Un grand moment dans la carrière de Karin Viard.
L'Express
En plus d'être maîtrisé, le long-métrage dispose surtout de l'actrice idéale pour incarner Louise, la fameuse nourrice psychotique : Karin Viard, à l'origine même du projet du film, époustouflante.
L'Obs
La mise en scène enserre le récit autant que le spectateur d’un cadre inquiétant. Et le trio d’acteurs est impeccable, Karin Viard en particulier, inoubliable dans ce rôle d’ogresse.
Le Figaro
Karin Viard excelle dans ses habits de psychopathe tranquille.
Le Parisien
Parfois construite sur des silences, d'inquiétantes attitudes, ou des échanges de regards entre Karin Viard qui incarne la nounou et Leïla Bekhti dans le rôle de la mère, cette chronique d'un drame annoncé est terriblement fascinante.
Le Point
Horrifique et brillant à la fois.
Ouest France
Karin Viard parvient idéalement à trahir la tension qui s'empare d'elle.
Rolling Stone
Si le scénario est intelligent et bien découpé, Chanson douce doit beaucoup à ses acteurs. D’abord, Karin Viard, très crédible dans le rôle de Louise, nounou parfaite, trop parfaite, au déséquilibre mental de plus en plus prégnant.
Franceinfo Culture
La tragédie finale est brutale et très maîtrisée dans sa mise en scène. Elle oblige le spectateur à s’interroger sur cette personnalité complexe qu’incarne une Karin Viard parfaite, sous le vernis de son apparente banalité. Perturbant.
La Croix
Après le beau Fidelio, l’odyssée d’Alice, Lucie Borleteau s’empare du roman de Leïla Slimani dans une honnête adaptation qui laisse néanmoins de côté une partie de ses subtilités.
Le Dauphiné Libéré
Karin Viard est un ogre parfait. Flippant.
Le Journal du Dimanche
Karin Viard porte cette adaptation du prix Goncourt 2016, qui tient plus de la chronique sociale que du thriller, en incarnant avec un mélange de candeur et de folie cette femme insaisissable.
Les Inrockuptibles
Pas certain que cette approche satisfasse les fans hardcore du roman de Slimani, dont Borleteau sacrifie quelque peu la précision sociologique et psychologique, délaissant l'idée percutante du transfert de maternité au profit d'un traitement frôlant le thriller. Le film d'emprise, de paranoïa diabolique qui en résulte a d'autres modèles que l'étude de mœurs slimanienne : Servant de Losey ou [les films] de Jordan Peele.
Paris Match
Forcément déstabilisante, cette radiographie du microcosme familial moderne et de ses mangues n’évite pas toujours l’exercice de style. Mais Karin Viard, dans une partition difficile, donne une redoutable chair à ce monstre.
Positif
Mise en scène avec une sobre application et interprétée par des acteurs indiscutables – en premier lieu le duo Karin Viard (Louise) et Leïla Bekhti (Myriam) – cette adaptation, par ailleurs honorable, privilégie l’intimisme horrifique et suscite une inévitable frustration chez ceux qui ont apprécié le modèle littéraire.
Voici
Karin Viard fait monter la tension. Mais il manque au film la richesse et la complexité du roman.
Cahiers du Cinéma
Le film a bien une forme d’efficacité, mais si mécanique qu’elle n’empêche pas l’ennui.
Critikat.com
L'écriture semble réduite à une seule fonction imposée par le récit : celle de doser les différents éléments qui permettront, à défaut d’expliquer l’inexplicable, de se tenir devant l’abîme de l’horreur, de sonder, peut-être, une partie du gouffre qui se creuse sans mot à dire à l’intérieur d’un petit foyer ordinaire.
La Voix du Nord
Malgré l’engagement de Karin Viard, le film peine émouvoir, horrifier, ou édifier.
Les Fiches du Cinéma
Lucie Borleteau adapte sans se l’approprier le best-seller de Leïla Slimani, dans un film qui joue sur le malaise sans travailler sur le trouble.
Première
Et pourtant, quelque chose ne fonctionne jamais tout à fait. Comme un vice originel de fabrication : un contresens sur celle qui incarne (pourtant impeccablement) cette nounou.
Sud Ouest
L’interprétation fine des acteurs ne parvient pas à compenser la déception d’une adaptation très en deça de son modèle.
aVoir-aLire.com
Si Karin Viard habite avec talent cette nounou vulnérable et dangereuse, le film souffre d’une écriture et une mise en scène qui se traînent en longueur, se perdent dans les académismes et se terminent en queue de poisson.
Le Monde
La réalisatrice Lucie Borleteau livre une adaptation trop lisse du roman à succès de Leïla Slimani.
Libération
Convaincu de sonder la détresse d’une femme chez qui la raison largue peu à peu les amarres, le film donne plutôt l’impression de tracer le portrait sans équivoque d’une nourrice sociopathe, et tend souvent la joue au ridicule.
Télérama
Une adaptation sans nuances du Goncourt 2016.