Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Mad Movies
par Cédric Delelée
[...] ce formidable thriller très premier degré et bien plus dark que la moyenne, où l'émotion brute occupe une place aussi essentielle que la violence la plus sèche.
20 Minutes
par Caroline Vié
A travers ce polar nerveux, le réalisateur de « La Cabane dans les bois » brosse un tableau de l’Amérique actuelle.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
[...] un thriller efficace au dispositif proche de celui des "Huit salopards" de Tarantino.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Sale temps à l’hôtel El Royale brille à tous les niveaux : écriture, mise en scène, interprétation.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Franceinfo Culture
par Jules Boudier
Tarantino vous manque ? Drew Goddard est candidat à la relève ! Pour son deuxième long-métrage, le réalisateur a voulu frapper fort avec un thriller d'une violence assumée et d'une originalité surprenante.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Ecran Fantastique
par Véronique Trouillet
[...] loin d'être parfait [...], [le film] reste cependant imprévisible de bout en bout, multiplie les twists et les bonnes surprises, se joue sans cesse du spectateur et donne, au final, un thriller plus que captivant.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
La mise en scène de Drew Goddard installe, par les décors, la musique, le formalisme visuel et l’interprétation, un univers insolite et original, que ne désavoueraient pas les frères Coen.
Le Parisien
par Michel Valentin
Des idées insolites comme celle-ci, cet ovni cinématographique en regorge de la première à la dernière image, au rythme d’une bande-son millésimée qui rend hommage à la musique soul des années 1960 et 1970.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Voici
par Daniel Blois
Un jeu de massacre malin et captivant.
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Les rêves brisés de l’Amérique se cristallisent dans ce thriller qui pourrait bien être l’un des pires brûlots que Donald Trump ait jamais subi depuis son investiture.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce film noir, un peu bavard, se révèle très original et efficace dans sa capacité à installer le malaise
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Récit choral démonstratif et tarantinesque, le nouveau film de Drew Goddard se fait, en allant, la chronique pas si vaine du désenchantement des années Nixon.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Clément Mathieu
“Sale temps à l'hôtel El Royale” est un polar pulp très soigné, sauvé de ses longueurs et d'un goût de déjà-vu par une superbe distribution d'actrices et d'acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Frédéric Strauss
Dans une atmosphère qui mêle hommage au film noir, violence et comédie, le réalisateur Drew Goddard mène la partie avec un talent un peu ostentatoire. Il donne parfois l’impression de s’appliquer, avec une patience un peu complaisante. Mais la durée excessive de ce petit polar lui permet aussi d’y caser de vrais plaisirs de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Olivia Cooper-Hadjian
Foncièrement théorique, le scénario de Drew Goddard ne s’intéresse à la duplicité de ses personnages qu’en tant que concept, et file les métaphores cinématographiques développées dans son film précédent, sans réellement mettre à profit les vertus de l’artifice.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Il y avait là tous les ingrédients pour emballer un thriller amusant et décalé, voire même malin, avec un casting en or. Il y a au final un film interminable, tristement plat et téléphoné, auquel il manque beaucoup d'imagination et d'audace.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Nicolas Schaller
C'est du pulp sans jus, du thriller sans frisson, troussé à l'épate par un Goddard dont l'homonyme suisse a nettement plus de fantaisie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Un huis clos barré, avec une belle distribution, mais un peu trop bavard et insuffisamment récréatif à notre goût.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Thomas Sotinel
Accumulant les numéros d’acteurs divertissants dans l’espoir de tirer le portrait des Etats-Unis sous Richard Nixon, le film noir de Drew Goddard vacille sous son poids.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le projet n’était apparemment que de blaguer sur un format. Ça fera joli en version VHS à blister artificiellement vieilli, sur un présentoir Urban Outfitters. Mais de là à regarder le film…
Libération
par Marcos Uzal
Malgré les beaux efforts du chef opérateur et des acteurs, on finit vite par se lasser de ces mystères en carton-pâte, flash-back et coups de théâtre ne révélant qu’un déjà-vu finalement très conventionnel.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Un huis clos dégénéré qui marche sur les traces de Tarantino, l'inspiration en moins.
Positif
par Fabien Baumann
[...] exercice de style particulièrement inutile [...].
Le Figaro
par La Rédaction
Dans le genre huis clos avec des personnages bavards et des flash-back, Sale temps à l'hôtel El Royale ressemble à du Tarantino de Reservoir Dogs ou Les Huit Salopards. Mais du Tarantino sans jus, sans verve.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Sylvestre Picard
On attendait mieux du deuxième film du réalisateur de La cabane dans les bois que ce huis-clos prévisible et sanglant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Mad Movies
[...] ce formidable thriller très premier degré et bien plus dark que la moyenne, où l'émotion brute occupe une place aussi essentielle que la violence la plus sèche.
20 Minutes
A travers ce polar nerveux, le réalisateur de « La Cabane dans les bois » brosse un tableau de l’Amérique actuelle.
CNews
[...] un thriller efficace au dispositif proche de celui des "Huit salopards" de Tarantino.
CinemaTeaser
Sale temps à l’hôtel El Royale brille à tous les niveaux : écriture, mise en scène, interprétation.
Franceinfo Culture
Tarantino vous manque ? Drew Goddard est candidat à la relève ! Pour son deuxième long-métrage, le réalisateur a voulu frapper fort avec un thriller d'une violence assumée et d'une originalité surprenante.
L'Ecran Fantastique
[...] loin d'être parfait [...], [le film] reste cependant imprévisible de bout en bout, multiplie les twists et les bonnes surprises, se joue sans cesse du spectateur et donne, au final, un thriller plus que captivant.
Le Dauphiné Libéré
La mise en scène de Drew Goddard installe, par les décors, la musique, le formalisme visuel et l’interprétation, un univers insolite et original, que ne désavoueraient pas les frères Coen.
Le Parisien
Des idées insolites comme celle-ci, cet ovni cinématographique en regorge de la première à la dernière image, au rythme d’une bande-son millésimée qui rend hommage à la musique soul des années 1960 et 1970.
Voici
Un jeu de massacre malin et captivant.
aVoir-aLire.com
Les rêves brisés de l’Amérique se cristallisent dans ce thriller qui pourrait bien être l’un des pires brûlots que Donald Trump ait jamais subi depuis son investiture.
Le Journal du Dimanche
Ce film noir, un peu bavard, se révèle très original et efficace dans sa capacité à installer le malaise
Les Fiches du Cinéma
Récit choral démonstratif et tarantinesque, le nouveau film de Drew Goddard se fait, en allant, la chronique pas si vaine du désenchantement des années Nixon.
Paris Match
“Sale temps à l'hôtel El Royale” est un polar pulp très soigné, sauvé de ses longueurs et d'un goût de déjà-vu par une superbe distribution d'actrices et d'acteurs.
Télérama
Dans une atmosphère qui mêle hommage au film noir, violence et comédie, le réalisateur Drew Goddard mène la partie avec un talent un peu ostentatoire. Il donne parfois l’impression de s’appliquer, avec une patience un peu complaisante. Mais la durée excessive de ce petit polar lui permet aussi d’y caser de vrais plaisirs de cinéma.
Critikat.com
Foncièrement théorique, le scénario de Drew Goddard ne s’intéresse à la duplicité de ses personnages qu’en tant que concept, et file les métaphores cinématographiques développées dans son film précédent, sans réellement mettre à profit les vertus de l’artifice.
Ecran Large
Il y avait là tous les ingrédients pour emballer un thriller amusant et décalé, voire même malin, avec un casting en or. Il y a au final un film interminable, tristement plat et téléphoné, auquel il manque beaucoup d'imagination et d'audace.
L'Obs
C'est du pulp sans jus, du thriller sans frisson, troussé à l'épate par un Goddard dont l'homonyme suisse a nettement plus de fantaisie.
La Voix du Nord
Un huis clos barré, avec une belle distribution, mais un peu trop bavard et insuffisamment récréatif à notre goût.
Le Monde
Accumulant les numéros d’acteurs divertissants dans l’espoir de tirer le portrait des Etats-Unis sous Richard Nixon, le film noir de Drew Goddard vacille sous son poids.
Les Inrockuptibles
Le projet n’était apparemment que de blaguer sur un format. Ça fera joli en version VHS à blister artificiellement vieilli, sur un présentoir Urban Outfitters. Mais de là à regarder le film…
Libération
Malgré les beaux efforts du chef opérateur et des acteurs, on finit vite par se lasser de ces mystères en carton-pâte, flash-back et coups de théâtre ne révélant qu’un déjà-vu finalement très conventionnel.
Ouest France
Un huis clos dégénéré qui marche sur les traces de Tarantino, l'inspiration en moins.
Positif
[...] exercice de style particulièrement inutile [...].
Le Figaro
Dans le genre huis clos avec des personnages bavards et des flash-back, Sale temps à l'hôtel El Royale ressemble à du Tarantino de Reservoir Dogs ou Les Huit Salopards. Mais du Tarantino sans jus, sans verve.
Première
On attendait mieux du deuxième film du réalisateur de La cabane dans les bois que ce huis-clos prévisible et sanglant.