Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Sur ce canevas tendu, Benoît Jacquot livre une réflexion magistrale et complexe sur la puissance du désir.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Fabien Baumann
Une réussite indéniable qui en dit beaucoup sur la fin d'un siècle comme un écho à notre époque.
Transfuge
par Damien Aubel
Avec "Dernier Amour", Benoît Jacquot rend un hommage élégiaque à Casanova en adaptant un épisode de défaite érotique et sentimentale.
20 Minutes
par Caroline Vié
L’émotion profonde qui se dégage de cette réflexion sur le désir emporte le public par sa pudeur dénuée de pudibonderie.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Jo Fishley
Et voilà que Vincent Lindon est le nouveau et le dernier Casanova du cinéma. Ce Casanova ? L'amoureux fou (il le fut !) d'une putain. L'acteur le joue au bord des gouffres, damné et possédé, dans un désespoir chuchoté d'une passion mortifère. Que c'est séduisant !
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Au-delà de la psychologie des personnages, Benoît Jacquot s’est attardé sur la reconstitution d’une époque aux mœurs libérées.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Tout en bagues, bas, dentelles, perruqué et apprêté, Casanova est fou d’amour. Et Vincent Lindon, acteur d’un drame crépusculaire.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Elle
par Françoise Delbecq
Un beau drame sentimental.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Benoît Jacquot fait encore preuve de l’élégance qui caractérise sa mise en scène à chaque film. La sobre beauté de sa reconstitution historique encadre la peinture des personnages, nourris d’un texte ciselé, tous acteurs d’une progression des sentiments.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Dominique Widemann
Tout le film résonne de beauté visuelle comme éthique du propos. La mémoire est un leurre qui s’obstine à prendre vie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Vincent Lindon compose un Casanova captivant dans le film de Benoît Jacquot Dernier Amour, qui raconte un échec amoureux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Mathilde Cesbron
Contrairement au Casanova de Fellini, qui dépeint une bête grotesqueet vulgaire, Benoît Jacquot évacue le mythe pour rendre son humanité au personnage dans un film intimiste, d’une sobre élégance.
Libération
par Marcos Uzal
Même si le film n'est pas dénué de défauts, il y a longtemps que Jacquot ne nous avait pas autant convaincus.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier de Bruyn
Le film séduit grâce à son atmosphère envoûtante, à sa mise en scène élégante et à l'interprétation de Vincent Lindon.
Ouest France
par Thierry Chèze
Le film devient parfois trop cérébral, Jacquot empêchant trop souvent les coeurs et les corps d'exulter. Ces défauts sont corrigés par l'interprétation en nuances de Vincent Lindon.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Benoît Jacquot dessine ainsi un beau portrait d’homme qui consent à la douleur et découvre le chagrin amoureux.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Samuel Douhaire
POUR : La photographie aux teintes de ténèbres de Christophe Beaucarne renforce la dimension crépusculaire du récit, dans une reconstitution historique qui n’étouffe jamais la vivacité de la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
L'histoire est mince, mais elle tient grâce au jeu des comédiens et au traitement de l'image.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Pour évoquer sa surprenante soumission à un jeu qui lui échappe, Jacquot recourt un peu trop fréquemment à l'allégorie du labyrinthe, mais l'interprétation, solide et fragile à la fois, de Vincent Lindon saisit par son intensité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Ce portrait d’un Casanova pris à son propre piège est délicat et maîtrisé, mais sans doute trop retenu, pour nous en faire partager les tourments.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Celle qui va ainsi piéger Casanova, c’est La Charpillon, péripatéticienne manipulatrice et frondeuse, mais dégageant un indicible parfum d’innocence. Un rôle en or pour Stacy Martin. Elle est une source de rayonnement dans cet univers résolument funèbre.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Malgré sa large carrure et une image assez loin du Casanova idéal, Vincent Lindon se glisse, avec un beau mélange de virilité et de délicatesse bourgeoise, dans l’intimité de l’aventurier vénitien. On regrette que la jolie Stacy Martin manque, quant à elle, d’une réelle épaisseur dans cette guerre des sexes un peu trop languissante, qui prend le parti de montrer la douleur de l’attente plus que la satisfaction du plaisir.
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Cet homme qui était l’inconstance même […] est soudain frappé de paralysie. Jacquot y voit, lui, une parfaite parabole sur la vieillesse. Ce qu’il montre est la disparition d’un mouvement, un ralentissement, la vie soudain pétrifiée […].
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Le film souffre d’une construction scolaire et d’un souffle passionnel étouffé par trop de cérébralité. Mais il a aussi les qualités de ses défauts. En particulier cette volonté (aboutie) de capter l’intime et non le spectaculaire fastueux d’une époque libertine.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un film trop sibyllin pour délivrer la moindre note d’émotion et dont le principal intérêt réside dans la description de la société libertine du 18ème siècle.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Antoine Le Fur
Trop cérébrale et manquant singulièrement de romanesque, l'histoire peine à captiver. En outre, difficile de croire à l'alchimie sexuelle entre Vincent Lindon et Stacy Martin, dont la relation fait plus penser à celle d'un père et sa fille qu'à celle de deux amants sulfureux.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Mais, tout occupé à apporter cette véracité, il (Vincent Lindon) réduit l’homme déçu et joué par celle qu’il cherche à conquérir à une sorte de victime quasi consentante, sans réactions, subissant ce qui lui arrive de manière résignée. Ce qui donne à l’ensemble du film le côté un peu lourd et lent d’une aventure amoureuse sans piquant et sans nerf.
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Vincent Lindon incarne le séducteur dans un film dénué de sensualité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Loin du cran de son modèle, Jacquot filme les rituels de la séduction de manière distante et presque mécanique. (…) On se souvient de l’effroi produit par les automates dans le Casanova de Fellini qui lui opposait la force vitale du grotesque. Chez Jacquot, les robots ont gagné.
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Une œuvre désincarnée et mortifère, figée par une construction narrative maladroite articulant passé et présent.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Parisien
par Catherine Balle
Un film empesé, amidonné et fort ennuyeux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Cet épisode anecdotique de la vie du séducteur vénitien a tout de la reconstitution empaillée. Pire : Vincent Lindon est aussi crédible en Casanova qu’il l’était en syndicaliste dans les derniers Brizé.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Hélène Marzolf
CONTRE : Dernier Amour reste avant tout académique, amidonné.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
Sur ce canevas tendu, Benoît Jacquot livre une réflexion magistrale et complexe sur la puissance du désir.
Positif
Une réussite indéniable qui en dit beaucoup sur la fin d'un siècle comme un écho à notre époque.
Transfuge
Avec "Dernier Amour", Benoît Jacquot rend un hommage élégiaque à Casanova en adaptant un épisode de défaite érotique et sentimentale.
20 Minutes
L’émotion profonde qui se dégage de cette réflexion sur le désir emporte le public par sa pudeur dénuée de pudibonderie.
Bande à part
Et voilà que Vincent Lindon est le nouveau et le dernier Casanova du cinéma. Ce Casanova ? L'amoureux fou (il le fut !) d'une putain. L'acteur le joue au bord des gouffres, damné et possédé, dans un désespoir chuchoté d'une passion mortifère. Que c'est séduisant !
CNews
Au-delà de la psychologie des personnages, Benoît Jacquot s’est attardé sur la reconstitution d’une époque aux mœurs libérées.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Tout en bagues, bas, dentelles, perruqué et apprêté, Casanova est fou d’amour. Et Vincent Lindon, acteur d’un drame crépusculaire.
Elle
Un beau drame sentimental.
Franceinfo Culture
Benoît Jacquot fait encore preuve de l’élégance qui caractérise sa mise en scène à chaque film. La sobre beauté de sa reconstitution historique encadre la peinture des personnages, nourris d’un texte ciselé, tous acteurs d’une progression des sentiments.
L'Humanité
Tout le film résonne de beauté visuelle comme éthique du propos. La mémoire est un leurre qui s’obstine à prendre vie.
Le Figaro
Vincent Lindon compose un Casanova captivant dans le film de Benoît Jacquot Dernier Amour, qui raconte un échec amoureux.
Le Point
Contrairement au Casanova de Fellini, qui dépeint une bête grotesqueet vulgaire, Benoît Jacquot évacue le mythe pour rendre son humanité au personnage dans un film intimiste, d’une sobre élégance.
Libération
Même si le film n'est pas dénué de défauts, il y a longtemps que Jacquot ne nous avait pas autant convaincus.
Marianne
Le film séduit grâce à son atmosphère envoûtante, à sa mise en scène élégante et à l'interprétation de Vincent Lindon.
Ouest France
Le film devient parfois trop cérébral, Jacquot empêchant trop souvent les coeurs et les corps d'exulter. Ces défauts sont corrigés par l'interprétation en nuances de Vincent Lindon.
Sud Ouest
Benoît Jacquot dessine ainsi un beau portrait d’homme qui consent à la douleur et découvre le chagrin amoureux.
Télérama
POUR : La photographie aux teintes de ténèbres de Christophe Beaucarne renforce la dimension crépusculaire du récit, dans une reconstitution historique qui n’étouffe jamais la vivacité de la mise en scène.
Femme Actuelle
L'histoire est mince, mais elle tient grâce au jeu des comédiens et au traitement de l'image.
L'Obs
Pour évoquer sa surprenante soumission à un jeu qui lui échappe, Jacquot recourt un peu trop fréquemment à l'allégorie du labyrinthe, mais l'interprétation, solide et fragile à la fois, de Vincent Lindon saisit par son intensité.
La Croix
Ce portrait d’un Casanova pris à son propre piège est délicat et maîtrisé, mais sans doute trop retenu, pour nous en faire partager les tourments.
La Voix du Nord
Celle qui va ainsi piéger Casanova, c’est La Charpillon, péripatéticienne manipulatrice et frondeuse, mais dégageant un indicible parfum d’innocence. Un rôle en or pour Stacy Martin. Elle est une source de rayonnement dans cet univers résolument funèbre.
Le Journal du Dimanche
Malgré sa large carrure et une image assez loin du Casanova idéal, Vincent Lindon se glisse, avec un beau mélange de virilité et de délicatesse bourgeoise, dans l’intimité de l’aventurier vénitien. On regrette que la jolie Stacy Martin manque, quant à elle, d’une réelle épaisseur dans cette guerre des sexes un peu trop languissante, qui prend le parti de montrer la douleur de l’attente plus que la satisfaction du plaisir.
Les Inrockuptibles
Cet homme qui était l’inconstance même […] est soudain frappé de paralysie. Jacquot y voit, lui, une parfaite parabole sur la vieillesse. Ce qu’il montre est la disparition d’un mouvement, un ralentissement, la vie soudain pétrifiée […].
Première
Le film souffre d’une construction scolaire et d’un souffle passionnel étouffé par trop de cérébralité. Mais il a aussi les qualités de ses défauts. En particulier cette volonté (aboutie) de capter l’intime et non le spectaculaire fastueux d’une époque libertine.
aVoir-aLire.com
Un film trop sibyllin pour délivrer la moindre note d’émotion et dont le principal intérêt réside dans la description de la société libertine du 18ème siècle.
L'Express
Trop cérébrale et manquant singulièrement de romanesque, l'histoire peine à captiver. En outre, difficile de croire à l'alchimie sexuelle entre Vincent Lindon et Stacy Martin, dont la relation fait plus penser à celle d'un père et sa fille qu'à celle de deux amants sulfureux.
Le Dauphiné Libéré
Mais, tout occupé à apporter cette véracité, il (Vincent Lindon) réduit l’homme déçu et joué par celle qu’il cherche à conquérir à une sorte de victime quasi consentante, sans réactions, subissant ce qui lui arrive de manière résignée. Ce qui donne à l’ensemble du film le côté un peu lourd et lent d’une aventure amoureuse sans piquant et sans nerf.
Le Monde
Vincent Lindon incarne le séducteur dans un film dénué de sensualité.
Cahiers du Cinéma
Loin du cran de son modèle, Jacquot filme les rituels de la séduction de manière distante et presque mécanique. (…) On se souvient de l’effroi produit par les automates dans le Casanova de Fellini qui lui opposait la force vitale du grotesque. Chez Jacquot, les robots ont gagné.
Culturopoing.com
Une œuvre désincarnée et mortifère, figée par une construction narrative maladroite articulant passé et présent.
Le Parisien
Un film empesé, amidonné et fort ennuyeux.
Paris Match
Cet épisode anecdotique de la vie du séducteur vénitien a tout de la reconstitution empaillée. Pire : Vincent Lindon est aussi crédible en Casanova qu’il l’était en syndicaliste dans les derniers Brizé.
Télérama
CONTRE : Dernier Amour reste avant tout académique, amidonné.