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Votre avis sur Première année ?
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Autant j’avais apprécié la finesse de l’analyse entre internes et faisant-fonction étrangers sous le poids du système hospitalier dans « Hippocrate » (4 sur 5) et à un degré moindre « Médecin de campagne » (2,5 sur 5) car plus classique de Thomas Lili, je n’ai pas du tout aimé son dernier film médical « Première année ». Certes on a une idée de l’horreur et du concours du PACES bien résumé par la formule « Le bottin : un élève de classe préparatoire dira pourquoi et un étudiant de PACES pour quand ? » et in fine de l’inadéquation (admise par tous) de ce concours à sélectionner de futurs bons médecins puisqu’effectivement le classement se joue au dixième de point mais on ne voit pas rien de la vie réelle des étudiants sauf une accumulation invraisemblable de polycopiés, de livres, de post-it avec moult séquences où on dit qu’il faut apprendre par cœur sans comprendre, « de façon reptilienne ».
L’histoire réelle est en fait celle invraisemblable entre Antoine (Vincent Lacoste), un étudiant défavorisé, habitant en banlieue et ayant la chance de pouvoir tripler sa première année (ayant été le premier recalé à son premier concours) mais qui a réellement la volonté de devenir médecin, et Benjamin (William Lebghil), fils d’un chirurgien et d’une historienne, vivant dans une petite chambre mais face à la tour Eiffel, un peu balourd, plus intéressé par la bouffe et qui fait médecine pour faire plaisir à son père. Les étudiants qui sont rencontrés par hasard le premier jour et ils vont curieusement travailler ensemble au moins jusqu’à la première session d’examen de janvier puisqu’Antoine va péter un câble pour finalement pouvoir assez miraculeusement se reprendre pour la deuxième session … avec un épilogue digne d’un mauvais roman photo. Qu’on ne me vienne pas parler de belle amitié ou d’empathie car la décision de Benjamin n’est issue que de la prise de conscience face à son père avec lequel les rapports sont tendus et qui n’est même pas venu pas le féliciter de sa réussite au concours !
Un petit peu de brouhaha lors du premier cours, quelques bassesses des carrés face au primo-étudiants, une paillarde pour faire « carabin » … mais c’est tout il n’y a aucune analyse psychologique des 2 personnages et la narration est très linéaire, simpliste et souvent répétitive, avec des scènes de style interview et des scènes inutiles (la voisine asiatique) ou caricaturales comme celle de la valve mitrale, du ventricule gauche, de la valve aortique et de l’aorte.
La bande annonce est trompeuse et ce n’est même pas un bon documentaire sur ce concours du PACES … à fuir.
L’histoire réelle est en fait celle invraisemblable entre Antoine (Vincent Lacoste), un étudiant défavorisé, habitant en banlieue et ayant la chance de pouvoir tripler sa première année (ayant été le premier recalé à son premier concours) mais qui a réellement la volonté de devenir médecin, et Benjamin (William Lebghil), fils d’un chirurgien et d’une historienne, vivant dans une petite chambre mais face à la tour Eiffel, un peu balourd, plus intéressé par la bouffe et qui fait médecine pour faire plaisir à son père. Les étudiants qui sont rencontrés par hasard le premier jour et ils vont curieusement travailler ensemble au moins jusqu’à la première session d’examen de janvier puisqu’Antoine va péter un câble pour finalement pouvoir assez miraculeusement se reprendre pour la deuxième session … avec un épilogue digne d’un mauvais roman photo. Qu’on ne me vienne pas parler de belle amitié ou d’empathie car la décision de Benjamin n’est issue que de la prise de conscience face à son père avec lequel les rapports sont tendus et qui n’est même pas venu pas le féliciter de sa réussite au concours !
Un petit peu de brouhaha lors du premier cours, quelques bassesses des carrés face au primo-étudiants, une paillarde pour faire « carabin » … mais c’est tout il n’y a aucune analyse psychologique des 2 personnages et la narration est très linéaire, simpliste et souvent répétitive, avec des scènes de style interview et des scènes inutiles (la voisine asiatique) ou caricaturales comme celle de la valve mitrale, du ventricule gauche, de la valve aortique et de l’aorte.
La bande annonce est trompeuse et ce n’est même pas un bon documentaire sur ce concours du PACES … à fuir.
Et oui la première année il y en a qui bosse d'autres qui découvrent la liberté loin des parents, alors il y a ceux qui en veulent et ceux qui en veulent moins mais surement pas de quoi en faire un film ou rien ne se passe en dehors des révisions des fatigues et des déprimes. Le sujet ressemble à un documentaire qui frôle juste un peu l'ambiance des amphi de fac. Rien à dire coté interprétation mais payer pour voir un sujet digne d'un téléfilm ou d'un documentaire non, le cinéma est devenu un luxe auquel ce film n'appartient pas.
velocio
4ème long métrage de Thomas Lilti. "Les yeux bandés", le premier, pas vu ; "Hippocrate", excellent ; "Médecin de campagne", légère baisse de régime, mais très bon quand même : "Première année", rien ne va plus, la mayonnaise fiction / documentaire ne prend plus du tout. En fait, Thomas Lilti aurait pu, aurait dû se contenter de faire un documentaire sur cette année de folie qu'est, apparemment, la première année de médecine, un docu dans le genre de celui que Claire Simon a brillamment réalisé l'année dernière sur "Le concours" de la Femis. Malheureusement, il a cru bon de greffer une histoire fictionnelle ennuyeuse avec deux personnages principaux absolument pas représentatifs de la nombreuse "population" qui se présente sur la ligne de départ et dont seulement un faible pourcentage pourra poursuivre ses études de médecine : un triplant et un "bizuth" doué mais pas si motivé que cela. Deux personnages qui, en plus, n'ont pas trouvé des interprètes à la hauteur : Vincent Lacoste, qui était bien entré dans la carrière mais que je trouve de plus en plus décevant ; William Lebghil, pas du tout à son affaire dans un rôle vraiment pas fait pour lui. En résumé, il serait peut-être temps que Thomas Lilti s'écarte de la médecine pour son prochain film.
Cet "oeuvre" d'un vide. C'est un film creux, mou, lent sans aucun intérêt mise à part intéresser éventuellement des anciens étudiants frustrés de devenir pharmacien. Grosse déception. Film pas drôle. Aucune intrigue, rien de "prenant" ... on s'ennuie tellement. Une caméra mollassonne qui suit des étudiants. Plusieurs personnes ont quitté la salle & du coup j'ai du mal à comprendre les très et trop bonnes critiques.
Exemple parfait de film qui ne sert strictement mais alors strictement à rien : scénario balisé, situations convenues dont la plupart ont déjà été traitées au journal de 20h, réalisation sans aucune aspérité et sans la moindre hauteur de vue sur le sujet, musique quasi permanente et trop envahissante, absence totale d'empathie avec les personnages d'où un jeu sans aucune saveur ou nuances de William Lebghil et Vincent Lacoste et un final moraliste, improbable totalement racoleur. Un ratage total qui distille un ennui grandissant.
mise à part le fait que c'est bien joué et que c'est sans doute relativement fidèle à la réalité, le film est plat, l'intrigue cousue de fil blanc. Plus un docu-fiction qu'une comédie dramatique. Dommage également que l'on reste quasiment exclusivement sur l'aspect travail alors qu'il doit avoir moyen d'en dire beaucoup plus. Ni on ne rigole ni on pleure.
Situations et dialogues insipides.
Perso
Pour les quarantenaires nostalgiques des amphis et de l'ambiance djeunes, pourquoi pas.
Ils seront contents au demeurant : parfois, on a droit à des moments pipi-caca et même une chanson qui parle de sexualité grossièrement.
Quelle bouleversante et profonde subversion !
Quelle envergure ce film !
Heureusement qu'on y est parfois grossier, ça peut éventuellement réveiller un tout petit peu le spectateur, endormi devant le quotidien ennuyeux de jeunes abrutis immatures et dénués de personnalité.
Le hiatus entre le contenu abscons des cours délivrés aux étudiants et la bêtise crasse de ces personnages superficiels constitue peut-être le seul élément sur lequel le spectateur sera en possibilité de s'interroger.
Tourner un film s'attachant à l'univers des études de médecine confine surtout à tourner en rond autour des clichés qui y sont donc associés : les étudiants travaillent beaucoup, c'est dur de travailler, mais heureusement, de temps en temps, on entonne une petite chanson de cul.
Si vous êtes insomniaque, excellent film.
Perso
Pour les quarantenaires nostalgiques des amphis et de l'ambiance djeunes, pourquoi pas.
Ils seront contents au demeurant : parfois, on a droit à des moments pipi-caca et même une chanson qui parle de sexualité grossièrement.
Quelle bouleversante et profonde subversion !
Quelle envergure ce film !
Heureusement qu'on y est parfois grossier, ça peut éventuellement réveiller un tout petit peu le spectateur, endormi devant le quotidien ennuyeux de jeunes abrutis immatures et dénués de personnalité.
Le hiatus entre le contenu abscons des cours délivrés aux étudiants et la bêtise crasse de ces personnages superficiels constitue peut-être le seul élément sur lequel le spectateur sera en possibilité de s'interroger.
Tourner un film s'attachant à l'univers des études de médecine confine surtout à tourner en rond autour des clichés qui y sont donc associés : les étudiants travaillent beaucoup, c'est dur de travailler, mais heureusement, de temps en temps, on entonne une petite chanson de cul.
Si vous êtes insomniaque, excellent film.
Ce film m'a totalement ennuyé et je ne me suis pas senti concerné une seule seconde.Alors si on a fait médecine peut être qu'on peut aimer par nostalgie, mais sinon aucun intérêt!les deux personnages principaux ne m'ont absolument pas touchés et voir leurs révisions, incompréhensible bien sur pour le commun des mortels, ne m'a pas plus passionné. Non vraiment je déconseille à part à ceux qui ont connus les années de fac de médecine,les autres ça fera l'effet de quelques xanax.1/5
Ce n'est pas une thématique qui me touche. Je suis restée froide à ce type d'humour. Du coup je me suis ennuyée.
Je ne sais pas pourquoi mais ce Première année m'a frotté dans le mauvais sens. Pourtant c'est un voyage assez bien fait, très bien joué par ses acteurs et très réaliste dans la première année d'école de médecine à Paris. Mais je le trouve aussi intéressant et divertissant que de regarder la peinture sécher. Peut-être un film qui pourrait intéresser ceux qui sont dans la même situation mais pas moi...
pas d humour, pas d'amour, pas d'action rien ....un film pour les parents qui ont des enfants en médecine ou des futurs étudiants. film sans intérêt sinon.
Moi qui cherchait un film divertissant, je le retrouve face à un Vincent Lacoste à son plus mauvais niveau mais un William Leghbil qui arrive à se démarquer. On voit dans ce film le grotesque du cinéma français à l'état pur... Quelques plans intéressants refont surgir le duo Lacoste-Leghbil mais sans les ovationner non plus.
1h40 de ma vie perdue à tout jamais!
Scénario : 2 potes en première année de médecine qui se préparent pour le concours hyper sélectif. L'un est nouveau, l autre triple son année. Pas d action, pas de romance, pas de suspense. Ah si, le seul qui est passé est le second...de justesse.
Désolé pour le spoiler mais vous me remercierez
Scénario : 2 potes en première année de médecine qui se préparent pour le concours hyper sélectif. L'un est nouveau, l autre triple son année. Pas d action, pas de romance, pas de suspense. Ah si, le seul qui est passé est le second...de justesse.
Désolé pour le spoiler mais vous me remercierez
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