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Le récit d’un fait divers authentique, traité avec un réalisme froid, qui s’attache à l’observation stricte et approfondie des faits et des personnages, et qui en apparaît d’autant plus cruel.
Un film fort qui en dit peu sur les motivations de ses auteurs, mais constitue un témoignage pertinent de cet épisode marquant de l’Histoire contemporaine.
Le film est de forme très classique, extrêmement clair dans son récit, haletant dans sa narration, jouant sur des différences de rythmes (des scènes plutôt douces et calmes contrastent notamment avec une scène de mariage et de danse traditionnelle très enlevée).
Entre inconscience et responsabilité, entre courage et caprice, entre jeunesse et immaturité, Rezo Gigineishvili n’a pas besoin de trancher. Il ne magnifie rien, ne maquille ni l’échec en héroïsme, ni les coupables en victimes. Il raconte, dur, factuel mais jamais neutre, attaché à créer une mise en scène qui capte les regards de ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dominé par des couleurs froides comme la mort, ce thriller en forme de tragédie intime et politique est filmé avec fièvre, au plus près des corps d'une jeunesse sacrifiée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) malgré le charisme des acteurs, le film pèche par sa forme à la fois impersonnelle et tape-à-l’œil, tendant de façon décevante vers le thriller politique calibré pour Hollywood, si bien que l’on pourrait soupçonner le cinéaste de rêver lui aussi un peu trop de l’Occident.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Rezo Gigineishvili semble ignorer le paradoxe au coeur de son propre film : pourquoi sont-ce des enfants de la nomenklatura de Tbilissi, choyés par le système, qui ont eu la folie suicidaire de flinguer ainsi leur vie et celle de quelques innocents ?
Le Dauphiné Libéré
Le récit d’un fait divers authentique, traité avec un réalisme froid, qui s’attache à l’observation stricte et approfondie des faits et des personnages, et qui en apparaît d’autant plus cruel.
Les Fiches du Cinéma
Un film fort qui en dit peu sur les motivations de ses auteurs, mais constitue un témoignage pertinent de cet épisode marquant de l’Histoire contemporaine.
Rolling Stone
Un film poignant et juste, révélateur du talent de la nouvelle scène géorgienne.
Les Inrockuptibles
Le film est de forme très classique, extrêmement clair dans son récit, haletant dans sa narration, jouant sur des différences de rythmes (des scènes plutôt douces et calmes contrastent notamment avec une scène de mariage et de danse traditionnelle très enlevée).
Première
Entre inconscience et responsabilité, entre courage et caprice, entre jeunesse et immaturité, Rezo Gigineishvili n’a pas besoin de trancher. Il ne magnifie rien, ne maquille ni l’échec en héroïsme, ni les coupables en victimes. Il raconte, dur, factuel mais jamais neutre, attaché à créer une mise en scène qui capte les regards de ses personnages.
Télérama
Dominé par des couleurs froides comme la mort, ce thriller en forme de tragédie intime et politique est filmé avec fièvre, au plus près des corps d'une jeunesse sacrifiée.
Le Figaro
Une histoire incroyable et vraie, mise en scène de façon trop linéaire et sans véritable point de vue.
Le Journal du Dimanche
Les scènes d’action sont longues et pesantes, la psychologie des personnages n’est pas assez fouillée.
Le Monde
Cette évocation d’un détournement d’avion en Géorgie, quelques années avant la chute de l’URSS, est à la fois lacunaire et fascinante.
Libération
(...) malgré le charisme des acteurs, le film pèche par sa forme à la fois impersonnelle et tape-à-l’œil, tendant de façon décevante vers le thriller politique calibré pour Hollywood, si bien que l’on pourrait soupçonner le cinéaste de rêver lui aussi un peu trop de l’Occident.
Positif
Rezo Gigineishvili semble ignorer le paradoxe au coeur de son propre film : pourquoi sont-ce des enfants de la nomenklatura de Tbilissi, choyés par le système, qui ont eu la folie suicidaire de flinguer ainsi leur vie et celle de quelques innocents ?