Avis : Overlord - Page 6

Un film d'horreur parfait pour le samedi soir, à regarder peu avant minuit, au fond de son lit. La scène d'ouverture, précédent le D-Day est grandiose, les acteurs font le job, et l'ensemble tient plutôt la route. En fait, la bonne idée était d'utiliser la seconde guerre mondiale pour toile de fond, et les nazis en méchants et apprentis sorciers. Il ne restait plus qu'à faire prendre la mayonnaise. Mission réussie.

Overlord : effrayant par moment, marrant de temps en temps, divertissant tout le temps !!! Un film de guerre / horreur sympathique avec des créatures atypiques !!

La première demie heure envoie du pâté : un peu comme si le réalisateur avait voulu dire "regardez ce que je serais capable de faire sur un vrai film de guerre historique" , puis, l'atterrissage arrive dans tous les sens du terme et nous nous retrouvons dans une série B d'horreur avec les méchants nazis, impeccables dans leur uniformes, tenant de l'ordre, raffinés mais totalement mauvais et des gentils GI disparates, négligés, fan de chewgum et cools car même quand il n'aiment pas les enfants , en fait ils ont un cœur d'or. On passera sur le fait qu'ils tombent sur LA fille du village qui a fait ses études de veto à Londres (évidemment comme toutes les filles de ferme de l'époque ) et qui est trilingue en plus d'être sexy ainsi que sur d'autres facilités pour apprécier (ou pas) le coté gore de la suite qui n'a plus d'enjeu autre que de liquider un Max de salauds. Au final la super antenne se retrouvera tellement visible depuis la cote et à porté de canons de n'importe quel bâtiment de ligne (mais peut être n'y en avait il pas lors du débarquement :D ) : le scénario aura été paresseux jusque là. Caricatural et sympathique . Rock

Film très sympa à cheval entre le film de guerre et le film de morts vivants. La mise en scène et les effets spéciaux sont soignés, les acteurs convaincants. Un bon film divertissant

Un excellent mélange des genres film de guerre/film d'horreur, beaucoup d'action et des personnages bien campés

Ce film possède l'une des meilleures scènes d'introduction que j'ai jamais vu! Toute la scène de l'avion spoiler: jusqu'à la mort du sergent
est franchement assez extraordinaire et vaut réellement la peine d'être vue sur grand écran avec le gros son Dolby. Malheureusement, le film ne peut pas garder un tel rythme bien longtemps et le reste retombe rapidement dans une honnête série B qui se regarde avec plaisir mais sans enthousiasmer non plus. Les méchants sont méchants, la partie monstre est plutôt expédiée, les héros sont assez peu charismatiques, l'histoire tient en trois phrases, la réalisation est tout à fait standard, bref, rien de transcendant mais rien de désagréable non plus. Un film distrayant donc.

À mi-chemin entre Captain America First Avengers, avec un sérum de super soldat qui aurait raté et The Thing, un bon compromis, action/horreur.

Plus divertissant que terrifiant, Overlord souffre de quelques défauts il est vrai, mais n'en est pas moins une réussite. Le duo Julius Avery (réalisation), Jeffrey Jacob Abrams (production) fait des étincelles et apporte somme toute un vent de fraîcheur aux films de guerre horrifiques. Saupoudré d'un casting génial, dont une certaine Mathilde Ollivier vraiment divine, un Wyatt Russell très convaincant et même ce bon vieux Euron Greyjoy, euh Pilou Asbæk reconverti en allemand démoniaque. Ce qui marque instantanément dans ce long métrage c'est la photographie, c'est vraiment plaisant à regarder, on ne s'ennuie pas souvent, les décors, les effets spéciaux, on suit ça avec beaucoup de plaisir. Comme je l'ai dit plus haut, le film ne fait pas vraiment peur, ça fait partie de mes regrets, pas mal de caricatures hollywoodienne font que j'en suis un peu déçu, nous ne sommes jamais vraiment surpris, on sent comment ça va se terminer, le film n'est pas assez dur avec nous. On passe tout de même un bon moment, il est à voir malgré, à mon sens, un scénario plutôt mal exploité. Plus de suspense, de surprises, de terreur et moins de clichés en auraient fait une pépite du genre.

Il est dur de comprendre ce qui motiva Julius Avery à réaliser Overlord, dernière production de la société de J.J. Abrams, Bad Robot, drôle de délire sur la Seconde Gurre Mondiale à l'efficacité terrible lors de ses scènes de guerre, auxquelles sera ajouté une personnalité horrifique aux relents d'épidémie répugnante qui fait forcément penser au mode zombie de Call of Duty : Black Ops, les super-pouvoirs en plus. Et s'il fut vendu sur son aspect horrifique, nul doute qu'il déçut beaucoup de monde du fait de sa promotion désastreuse et mensongère.

Car Overlord, loin du survival horrifique annoncé, présente une montée progressive dans le drame historique, développe ses personnages encore plus que son background expérimental en choisissant des personnages caricaturaux mais suffisamment bien interprétés pour avoir tous une personnalité propre, et réussit de façon surprenante ses scènes de combat à l'arme entre alliés infiltrés et allemands tortionnaires, affreux et cruels.

Si l'on savait qu'Overlord serait un film fantaisiste, il était dur de s'attendre à une telle réécriture de l'histoire : brisant l'idée selon laquelle les allemands auraient été plus proches des automates conscients que des démons en uniforme (ceux là correspondraient plus aux américains en pleines exactions), il tente d'américaniser le soldat allemand en le rendant vulgaire (il crache sur des cadavres, mâche des chewing-gum la bouche ouverte), suffisamment vicieux et intéressé pour piller, violer, terroriser la population (les fameuses exactions moins présentes du côté de l'Allemagne que de l'Amérique, malheureusement), alors que le soldat américain, beau et propre sur lui (au contraire de l'allemand, à la dégaine sale et laissez-aller), défendra la veuve et l'orphelin en faisant preuve d'une classe héroïque propre au cinéma de propagande.

Si l'on omet cette réécriture de l'histoire, le reste demeure un bon divertissement : que l'on pense au premier plan-séquence, absolument incroyable et d'une efficacité redoutable, ou aux missions remarquables des commandos séparés dans la ville, le spectateur venu pour être divertit en ultra-violence avec supplément explosions ne sera jamais déçu, à part, peut-être, s'il s'attend à un film d'horreur brut et bourré de jumpscares.

Ce qui intéresse, visiblement, Avery dans Overlord tient plus du drame de la petite histoire que de l'intrigue glauque qu'il nous raconte, et qu'il passe rapidement en revue en laissant du mystère pour nous laisser interpréter comme on veut les origines du délire, et partir alors sur l'annihilation des hommes de guerre, protagonistes comme antagonistes qui connaîtront tous un destin particulier.

En ce sens plus proche de la dimension psychologique des grands films de zombies de George A. Romero (on songe coup sur coup à La Nuit des Morts-Vivants pour le personnage principal ainsi qu'à la violence du Jour des Morts-Vivants) que des excès spectaculaires actuels, on y retrouve aussi le glauque et le gore de la vague de films de morts-vivants italiens des années 70-80, notamment du Lucio Fulci.

Overlord est jouissif en cela qu'il s'inspire de la première génération du cinéma de zombies pour le mêler aux techniques horrifiques actuelles (les jumpscares, heureusement discrets, restent agaçants), qui consistent souvent à mélanger afin de faire ce qu'on a du mal à faire actuellement dans le cinéma de divertissement grand public, innover. Ainsi, mêler le délire d'Il faut sauver le soldat Ryan à aux horreurs visuelles de Fulci tient plus du fantasme de fan de cinéma que de l'amateur de Call of Duty.

Assurément cinéphile, Julius Avery met en oeuvre, sur un scénario de Billy Ray et Mark L. Smith une descente aux enfers passionnante toute sa première heure, dans laquelle il affiche une efficacité de guerre rare à voir de nos jours, clairement imagée en suivant l'esthétique des jeux vidéos d'horreur (c'est en fait plus proche des Wolfenstein), couleurs pétaradantes à la Gardiens de la Galaxie et explosions à tout va ultra-présentes.

Du reste, on retiendra une équipe de soldats américains attachante bien qu'ultra-stéréotypée, entre un Jovan Adepo à l'évolution prévisible mais impressionnante et le fils de Kurt Russell, Wyat Russell, qui tient là un rôle important bien que secondaire, et propice à étaler tout son charisme au côté de la grande gueule du film, Pilou Asbaek en officier allemand absolument immonde et génial hommage aux méchants clichés et cruels des films surnaturels à tendance naziesque. Hystérique, il incarne le mal avec un plaisir visible, surjouant sans jamais être ridicule, tout en restant suffisamment dans l'excès pour assoir le côté série b sincère à cet Overlord, petite surprise à mi-chemin entre le film d'horreur et le film de guerre.

Si l'on aurait préféré deux films différents, l'un purement de guerre l'autre d'horreur (peut-être un Overlord en deux parties bien disctinctes d'une heure trente chacune, finalement), il reste certain qu'Overlord est un bon film bien violent et très généreux, jouissif de bout en bout jusqu'à son affrontement final explosif et bien stéréotypé, ultime baroud d'honneur placé en guise de dernier moment de bravoure intense.

Grâce à sa violence bien esthétisée couplée à l'efficacité d'une mise en scène qui gère avec maîtrise sa tension et les frissons qu'elle transmet (notamment grâce à ses maquillages très réussis, à la fluidité de son montage ainsi qu'à la présence bien dosée de sa bonne bande-son), Overlord se place comme un petit bijou d'ultra-violence et de générosité d'action dégueulasse, jouant aussi bien sur l'intimité de son manque de budget (les scènes dans la baraque avec le gosse sont charmantes) que sur le grand n'importe quoi visuel de sa proposition d'intrigue, vecteur fantastique de séquences d'action jouissives et de poursuites haletantes.

Un excellent divertissement qui ne déçoit pas une seconde. Il aurait pu être écrit de manière plus fine, mais en aurait surement perdu son aura adorable de série b entièrement assumée. Un plaisir !

Un bon mélange d'actions et de gore !! Un bon divertissement qui est bien rythmés avec certaines scènes assez réussies

Eh bien dans le genre, j'ai eu une boule au ventre tout du long et de beaux moments de sursauts. Terriblement efficace, immersif, bien mené, rythmé et bien joué. Un petit cocktail de genres dont on ne sait jamais exactement dans quelle direction il va partir, ça fait du bien!

Un bon mélange des genres ! Un bon film que l'on attendait pas à ce niveau là. Ingénieux dans le fond mais un peu maladroit dans la forme, ce film de guerre aux allures de fin du monde zombie nazis est tout simplement déjanté. C'est gore, sérieux, hilarant, jouissif, excessif, naïf, mais une fois accepté le fait que c'est du second degré on prend clairement son pied ! À la fois débridé et décalé, ce mélange des genres n'est pas très représenté au cinéma et c'est pour cela que ça étonne et que ça détonne ! Pour ceux qui connaisse, je dirai que le film est une représentation du mode zombie du célèbre jeux vidéo "call of duty". Un gros "kiff" à regarder entre potes.

Au départ attirer parce qu'il était produit par Abrams et mêlant les genres guerre et horreur, j'en était encore attirer quand j'ai vu le logo de la Paramount sur l'affiche. spoiler: Un nouveau ou presque film sur le débarquement, avec un départ canon aussi bien avec son titre rendant hommage aux vieux films du genre et l'attaque aérienne nazi avec son lot d'effets sonore ahurissant. Une toute petite baisse de régime entre les retrouvailles des personnages dans la foret et dans le village français, mais très vite rattraper par cette atmosphère macabre et stressante que font vivre les nazis.
Une interprétation géante ou aucun excès n'est franchit pour nous offrir que du vrai. Une touche charmante avec cette jeune française qui se lie d'amitié avec le soldat noir et dont imagine facilement l'avenir. spoiler: Un face à face comme on les aime entre l'officier nazi et cette femme lorsqu'il lui demande quelques infos et s'apprête à commettre la connerie ultime.
Comme on les aime car cette situation montre à quel point le nazis pouvaient se montrer efficace et borner dans le domaine. Une mission après qui est au départ censée être du gâteau mais qui va très vite se transformer en vrai cauchemars spoiler: avec ce labo ennemie ou tous les prisonniers se font torturer et changer en super soldat du Reich. Plus des zombies surhumains qu'autre chose.
On comprend surtout avec çà, que l'ennemie était près à toute les horreurs pour parvenir à ses fins, limite s'ils ne voulaient se tuer eux-mêmes pour plaire à leur souverain. Quant à la technique, bah les moyens y sont, des effets digitaux du tonnerre pour des décors, effets-sonores et une ambiance horrifique géniale. Abrams aura donc superbement apporter son financement au projet, la Paramount en aura bien rajouter une couche. Mais c'est bien là qu'on distingue une production avec les bonnes personnes, qu'avec celles produites par les moins bonnes. Le résultat est pas du tout le même. Je tiens à saluer le jeu et le visuel sur les scènes ou l'on voit en premier l'effet du sérum sur l'un des soldats américain, ainsi que celle ou le principal soldat et l'officier nazi s'affronte. Un magnifique mélange de guerre et d'horreur parfaitement huiler.

Film de guerre , action avec des parachutistes la veille du débarquement en Normandie.
objectif détruire une antenne Nazie dans un village.
le hic , en pénétrant dans ce repère , les soldats se rendent comptent qu'ils sont tombés dans un site secret où des expériences , sont faites sur des prisonniers où villageois , afin de créer le soldat Arhien du 3 Millénaire.

Un film qui démarre fort en immersion totale au cœur de la guerre avec de super plans , puis bascule dans l’horreur comme on pouvait s’y attendre ! Le film ne déçoit pas , bonne ambiance bon atmosphère , bon acteurs , bon rythme ! Si vous aimez l’action , la guerre et l’horreur alors foncez pour ce film bourré d’énergie 14/20