Avis : Overlord - Page 5

" Overlord " est une série b horrifique de bonne facture. En effet malgré des comédiens un peu agaçant à cause de leur rôle stéréotype et maladresse scenaristique, l'histoire m'a tenu en haleine, le réalisateur mélange habillement genre de guerre et horrifique avec un final haletant.

Je ressors de ce film assez dépitée.
Les 2/3 du film sont vraiment bien et puis patatras le dernier 1/3 fout tout en l'air avec ces zombies et cette violence épouvantable.
Le bon potentiel de départ du film est complètement gâché par cette dernière demi-heure complètement ridicule.

Je n'avais pas noté de film ici depuis une éternité mais là, je me sentais honnêtement obligé de mettre un bon gros zéro étoile à ce nanar. Quand je vois les critiques "professionnel" qui n'en disent rien de bon pour donner 2 étoiles, je pensais que seuls les films français bourrés de "fils et de filles de" étaient protégés (je ne réponds plus aux appels des films français pour cette même raison), et bien non ! Encore un fils de (Wyatt Russell, fils de Kurt et Goldie Hawn) qui a fait semblant de rater sa carrière ailleurs pour venir perpétuer une dynastie. Et n'est pas papa qui veut...
Pour le film, c'est le néant, aussitôt vu aussitôt oublié... rien à ajouter.

La première partie est super : Effets spéciaux crédibles et histoire qui tient la route. Ensuite quand les "Zombies" arrivent, c'est du grand n'importe quoi !

Un film d'horreur à l'époque du dossier, le réalisme est saisissant, on s'y croirait. Le résultat est efficace, on passe un bon moment.

Un film de seconde zone, sorti en catimini, la faute à une interdiction au moins de 16 ans assez méritée. Overlord est un mélange des genres guerre/horreur dont le scénario ne nous fait pas trop réfléchir. ça pétarade, ça se castagne et ça gicle dans tous les sens, même si le film reste trop gentillet et lissé pour pleinement nous convaincre. Une relecture historique déjà vue (les nazis qui font des expériences dans un labo secret) mais dont la réalisation apporte un léger vent de fraîcheur.

Voilà un bon petit mélange entre les films de guerre sur la seconde guerre mondiale et le mode zombie de Call Of.
Le film est frais, bien réalisé et punchy avec des personnages attachants.
L'histoire n'est pas dingue mais suffisante. Je regrette juste qu'ils n'aient pas plus poussé la folie allemande.
Un bon petit film ! Et rien que ça ça fait du bien !

En dehors de la caricature et des espèces de zombies crados, le film a un scénario de base suffisant, de bons effets et une bonne ambiance. On se sent bien dans la seconde guerre mondiale, en France. Mais les allemands sont mal fichus et l'histoire du laboratoire fait peu crédible dans le petit village. Supprimez les scènes de zombie, le film devient potable !

Quelques heures avant le Débarquement de Normandie, des parachutistes américains sont chargés de détruire une installation radio allemande. La poignée d'hommes arrivant sur place découvre alors que le 3èe Reich mène de sinistres expériences... "Overlord" présente un mélange de guerre et de fantastique que l'on trouve fréquemment dans le jeu vidéo, mais qui demeure finalement assez rare au cinéma. C'est là l'originalité de ce film, qui propose du coup une ambiance glauque et sanglante intéressante pour un fond de Seconde Guerre Mondiale. Par ailleurs, les visuels sont plutôt réussis (qu'ils s'agisse des créatures ou de la technologie rétro-futuriste), et les scènes d'action sympathiques. Certes, le scénario ne va pas chercher très loin, mais ce n'est pas le but du film, qui n'a d'autre objectif que de divertir simplement. D'autant plus que les acteurs donnent le change et que l'intrigue tient son rythme, et c'est tout ce que l'on demande pour ce film de genre amusant.

C'est assez dommage d'avoir rajouter des éléments surréalistes car la trame historique se suffisait à elle même. Après cela m'a fait un peu rire de voir spoiler: un super nazi
, mais ce n'était pas nécessaire. Car ce film arrive à installé une ambiance de par sa réalisation, notamment la séquence d'intro, très prenante. Alors certes il y a quelques cliché par ci par la, mais le tout se tient bien.

Action, héroïsme, horreur .....on ne s’ennuie pas une minute. Âmes sensibles s’abstenir car il y a des scènes très violentes et sanglantes.

Cette série B remplit correctement son cahier des charges, l'histoire mêlant, guerre, savant fou, et épouvante fonctionne plutôt bien, même si on a droit a quelques clichés, comme les allemands qui ont dû mal à viser juste. Il est dommage que la scène clé soit entachée de deux belles erreurs : le gradé allemand spoiler: veut sauter la fille, l'intérêt de la fille est donc de jouer le jeu ! Ben non, elle fait sa mijaurée malgré les risques encourus. Pire le GI black intervient inutilement puisque que la fille n'est pas encore en danger.
La dernière partie possède les défauts de ce genre de situation, on a du mal à suivre le cheminement des protagonistes, mais ce n'est pas grave, le spectacle est assuré et le propos sous-jacent est loin d'être idiot.

Suite à son intéressant « Son Of A Gun », Julius Avery revisite un épisode historique de la Seconde Guerre Mondiale, donnant le nom de l’opération du débarquement à son œuvre. D’abord issu d’un spin-off de la saga Cloverfield de J.J. Abrams, ce film abandonne ce statut pour une exploitation de genre et de série Z, à notre grande surprise. Oui, sur le papier, le film de guerre était une évidence, mais ce qui donnera un peu plus de corps à cette nuit horrifique se trouvera dans un revirement de situation qui change la donne, posant ainsi un filtre d’hémoglobines sur l’écran. Et ce changement distinct prouve que le mariage de genre n’est pas totalement assumé et le réalisateur préfère se rabattre sur une mise en scène de proximité avec les personnages, constamment isolés du monde extérieur.

D’entrée, de l’action sans modération et filmé avec adrénaline. Nous sommes parachutés sur les côtes normandes avec violence et crédibilité, sachant la nature de cette opération stratégique nocturne, à savoir couper les communications des occupants Allemands vers les lignes arrière. Et là où on prend des libertés, c’est dans le personnage noir de Boyce (Jovan Adepo) dans l’armée américaine. Sa condition en fait une cible idéale pour l’auditoire nazi qui l’attend sur place, mais il saura nous convaincre que la nature de l’Homme peut préserver une once d’humanité dans cet affrontement historique. On nous immerge à ses côtés, tel un jeu vidéo et cette comparaison n’est pas anodine, si on considère le deuxième acte comme le thriller horrifique dont on avait besoin afin de booster le mini commando de fortune.

La caricature n’est jamais loin afin d’illustrer la violence physique et morale des nazis, mais du côté des alliés, on trouve également un développement nuancé, notamment auprès du caporal Ford (Wyatt Russell), responsable de l’unité. Et à l’exact opposé, nous avons l’officier Wafner (Pilou Asbæk) qui enchaîne crime sur crime. La confrontation entre ces deux visions sauvages, l’une pour sa fierté et l’autre pour le pouvoir, n’est cependant pas toujours pertinente et n’est jamais justifiée. Ce serait induit par leur position dans le conflit et tout le mystère qui entoure leur passé, mais rien ne nous permettrait de s’attacher aux enjeux qu’ils créeront dans un dénouement qui décante trop rapidement son potentiel. Et voilà les limites et la faiblesse de cette narration, car si la mise en scène peut en effrayer certains, l’ensemble est prévisible et joue sur un visuel gore pour toucher notre sensibilité.

Le divertissement est acceptable à la vue de « Overlord », mais aurait mérité que campagne plus discrète concernant le point de pivot du récit. L’intrigue ralentit ainsi très peu et suggère un rythme qui nous étire cette nuit en une opération de survie cruciale. Mais ce second acte n’est pas assez exploité, de même dans l’action qui en découle. Peut-être était-ce trop superflu par manque de temps, mais au niveau des personnages secondaires, il y a de bonnes intentions. L’unique personnage féminin est affiché comme indépendante, forte mentalement, mais dont la conscience dépend encore de son intégrité et sa participation pour la Résistance. Mais ce personnage est négligé et maladroitement étudié pour des besoins scénaristiques qui pouvaient donner plus de saveur à l’esprit violent et sadique de l’œuvre. Ne sachant pas où se placer dans le genre, Avery a frôlé la surprise générale, mais devra encore faire mieux pour graver une identité concrète et pertinente dans l’horreur et les vices de l’Homme.

Mélanger le genre guerre- historique avec l'épouvante-horreur pourquoi pas ?En tout cas j'ai trouvé la première partie du film très intéressante avec le parachutage en ligne ennemie et la découverte du village et de la fameuse église des horreurs.Ensuite la deuxième partie part un peu dans tous les sens,il y a du bon et du moins bon on frôle parfois le grotesque dans les réactions de certains personnages ou autres stéréotypes ainsi que certaines facilités scénaristiques regrettables.L’esthétique du film est quand à elle très belle et participe parfaitement à cette ambiance malsaine qui émane du film.Le gore est lui aussi au rendez vous et on ne peut pas dire que le film se bride de ce coté la,ni sur son rythme très soutenu.Au final je dirais qu'Overlord est un bon divertissement souffrant d'un tas d’imperfections avec une ambiance particulière qui est son point fort pour ma part, mais qui tombe dans des facilités et clichés désagréables.Je recommande quand même de le voir au moins une fois pour se faire une idée,ça reste sympa!.3/5

Sur le papier : un film de guerre avec des Zombies nazis, produit par JJAbrams, soit un nanar survitaminé. Je signe. Dans les faits, une super série B tant la réalisation et le changement de tons sont assurés. La scène d'ouverture est dantesque. Suit un film de guerre qui prend un virage à mi-parcours pour s'intéresser à des expériences par un savant dans une forteresse tenue par les Bosch. C'est sérieux, rempli de clichés, gore, bien interprété et fun. Une bonne petite surprise.