Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Après l'histoire de sa famille dans "Nous trois ou rien" (2015), le trentenaire a dirigé des jeunes et des moins jeunes (Catherine Deneuve et André Dussollier) dans une nouvelle comédie très réussie.
CNews
par La rédaction
Avec ce deuxième film au message fort, qui jongle entre humour et gravité sans jamais tomber dans le pathos, Kheiron confirme l’étendue de son talent, aussi à l’aise et brillant en acteur-réalisateur qu’en humoriste.
Elle
par F.T.
On rit beaucoup devant ce petit bijou de comédie citoyenne [...].
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un vrai coup de coeur.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Dans "Mauvaises herbes", deuxième long-métrage écrit au cordeau, très drôle mais encore plus tendre, [Kheiron] raconte ses années d'éducateur chargé d'enfants en décrochage.
Télé 2 semaines
par Gwénola Trouillard
Un petit miracle !
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le cinéma manque d’imagination, pas Kheiron. Après son premier long-métrage, très autobiographique, l’humoriste a puisé encore dans sa vie en banlieue parisienne. Il s’est souvenu du temps où il était éducateur, pas acteur, et où il s’occupait de mômes en difficulté.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Express
par Christophe Carrière
Le film est là, joyeusement humaniste malgré la violence du monde et l'iniquité de la société, que Kheiron n'occulte pas, au contraire.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Une comédie hilarantre, brillamment écrite et interprétée.
Marianne
par Olivier de Bruyn
Bonne nouvelle : cette comédie sociale ignore la surenchère démago, mais n'oublie jamais l'empathie pour les personnages mal en point, l'humour absurde et un amour fervent pour la langue française, honorée à grand renfort de dialogues épatants.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Kheiron revient avec une nouvelle comédie dont l’efficacité repose sur un juste dosage entre humour et situations déchirantes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Après Nous trois ou rien, Kheiron confirme son talent à signer des films généreux où il célèbre avec humour et sensibilité le savoir-vivre ensemble.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Bref, Mauvaises Herbes est un film attachant qui a bon fond, mais qui en manque aussi, un peu.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Les flashbacks émouvants sur l’enfance au Liban, tout comme la justesse du discours pédagogique, font oublier les maladresses scénaristiques de ce joli conte.
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Kheiron parle du monde des banlieues avec sincérité et générosité. Non moralisateur, ce film pédagogique est une comédie naïve et réjouissante.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Ça se regarde sans désagrément mais sans passion.
Positif
par Grégory Valens
Des flash-back sursignifiants alourdissent considérablement le propos, en dépit du casting réussi des lycéens, qui parviennent à conférer de la justesse à leurs personnages sans verser dans le cliché.
Télérama
par Guillemette Odicino
Avec Nous trois ou rien, Kheiron réussissait une tragi-comédie inattendue. Cette fois, la greffe entre farce et mélodrame sur l’enfance blessée hier et aujourd’hui est plus maladroite. Mais l’humoriste a toujours autant de verve en petit arnaqueur qui se découvre beaucoup d’humanité dans un petit emploi, bénévole et forcé, d’animateur d’un centre pour adolescents à problèmes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Vincent Cocquebert
Une oeuvre attachante mais un brin trop touffue.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Malgré ses bonnes intentions, ce côté "feel good movie" est au final maladroit. Un sentiment renforcé par le jeu d’une Catherine Deneuve peu convaincante et d’un André Dussollier mal casté.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Kheiron, qui vise la fable édifiante, s'empêtre dans une sous-intrigue et des flash-back sur l'enfance de son personnage, orphelin rescapé d'un pays en guerre du Moyen-Orient.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Christophe Narbonne
Tout ce qui marchait dans Nous trois ou rien fonctionne ici de travers : le côté vachard et bienveillant à la fois apparaît surtout mielleux ; le délicat parfum rétro sent la naphtaline -ouille, les flashbacks lourdauds au Moyen-Orient sur la jeunesse volée du héros.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Une fable pleine de bons sentiments, signée Kheiron, ponctuée de malice et de moments de grâce. Dommage qu’elle vire à la démonstration, incapable de dépasser son programme de philanthropie sympathique.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Le Figaro
par Nathalie Simon
Pour son second long-métrage, l'humoriste s'est de nouveau inspiré de sa famille. Trop naïf.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Avec son humanisme franchement niais, ses vannes pas drôles voire carrément craignos à base d’homophobie et de grossophobie ordinaires, "Mauvaises herbes" ressemble à un interminable sketch.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
Après l'histoire de sa famille dans "Nous trois ou rien" (2015), le trentenaire a dirigé des jeunes et des moins jeunes (Catherine Deneuve et André Dussollier) dans une nouvelle comédie très réussie.
CNews
Avec ce deuxième film au message fort, qui jongle entre humour et gravité sans jamais tomber dans le pathos, Kheiron confirme l’étendue de son talent, aussi à l’aise et brillant en acteur-réalisateur qu’en humoriste.
Elle
On rit beaucoup devant ce petit bijou de comédie citoyenne [...].
Femme Actuelle
Un vrai coup de coeur.
Paris Match
Dans "Mauvaises herbes", deuxième long-métrage écrit au cordeau, très drôle mais encore plus tendre, [Kheiron] raconte ses années d'éducateur chargé d'enfants en décrochage.
Télé 2 semaines
Un petit miracle !
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le cinéma manque d’imagination, pas Kheiron. Après son premier long-métrage, très autobiographique, l’humoriste a puisé encore dans sa vie en banlieue parisienne. Il s’est souvenu du temps où il était éducateur, pas acteur, et où il s’occupait de mômes en difficulté.
L'Express
Le film est là, joyeusement humaniste malgré la violence du monde et l'iniquité de la société, que Kheiron n'occulte pas, au contraire.
Le Dauphiné Libéré
Une comédie hilarantre, brillamment écrite et interprétée.
Marianne
Bonne nouvelle : cette comédie sociale ignore la surenchère démago, mais n'oublie jamais l'empathie pour les personnages mal en point, l'humour absurde et un amour fervent pour la langue française, honorée à grand renfort de dialogues épatants.
aVoir-aLire.com
Kheiron revient avec une nouvelle comédie dont l’efficacité repose sur un juste dosage entre humour et situations déchirantes.
La Croix
Après Nous trois ou rien, Kheiron confirme son talent à signer des films généreux où il célèbre avec humour et sensibilité le savoir-vivre ensemble.
La Voix du Nord
Bref, Mauvaises Herbes est un film attachant qui a bon fond, mais qui en manque aussi, un peu.
Le Journal du Dimanche
Les flashbacks émouvants sur l’enfance au Liban, tout comme la justesse du discours pédagogique, font oublier les maladresses scénaristiques de ce joli conte.
Les Fiches du Cinéma
Kheiron parle du monde des banlieues avec sincérité et générosité. Non moralisateur, ce film pédagogique est une comédie naïve et réjouissante.
Ouest France
Ça se regarde sans désagrément mais sans passion.
Positif
Des flash-back sursignifiants alourdissent considérablement le propos, en dépit du casting réussi des lycéens, qui parviennent à conférer de la justesse à leurs personnages sans verser dans le cliché.
Télérama
Avec Nous trois ou rien, Kheiron réussissait une tragi-comédie inattendue. Cette fois, la greffe entre farce et mélodrame sur l’enfance blessée hier et aujourd’hui est plus maladroite. Mais l’humoriste a toujours autant de verve en petit arnaqueur qui se découvre beaucoup d’humanité dans un petit emploi, bénévole et forcé, d’animateur d’un centre pour adolescents à problèmes.
Voici
Une oeuvre attachante mais un brin trop touffue.
Franceinfo Culture
Malgré ses bonnes intentions, ce côté "feel good movie" est au final maladroit. Un sentiment renforcé par le jeu d’une Catherine Deneuve peu convaincante et d’un André Dussollier mal casté.
L'Obs
Kheiron, qui vise la fable édifiante, s'empêtre dans une sous-intrigue et des flash-back sur l'enfance de son personnage, orphelin rescapé d'un pays en guerre du Moyen-Orient.
Première
Tout ce qui marchait dans Nous trois ou rien fonctionne ici de travers : le côté vachard et bienveillant à la fois apparaît surtout mielleux ; le délicat parfum rétro sent la naphtaline -ouille, les flashbacks lourdauds au Moyen-Orient sur la jeunesse volée du héros.
Sud Ouest
Une fable pleine de bons sentiments, signée Kheiron, ponctuée de malice et de moments de grâce. Dommage qu’elle vire à la démonstration, incapable de dépasser son programme de philanthropie sympathique.
Le Figaro
Pour son second long-métrage, l'humoriste s'est de nouveau inspiré de sa famille. Trop naïf.
Les Inrockuptibles
Avec son humanisme franchement niais, ses vannes pas drôles voire carrément craignos à base d’homophobie et de grossophobie ordinaires, "Mauvaises herbes" ressemble à un interminable sketch.