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À mi-chemin du Hunger de Steve McQueen et des grands Costa-Gavras des années 70-80, Compañeros met KO mais galvanise aussi, grâce à trois acteurs bouleversants d’humanité, trois gueules sublimes qui entrent instantanément au Panthéon du cinéma de combat.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ce qui porte le film, c’est la prestation d’Antonio de la Torre, de Chino Darín et d’Alfonso Tort, chacun amaigris d’une quinzaine de kilos et qui, sans jamais céder à la facilité du pathos, incarnent ce qu’est la survie.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Alvaro Brechner ressuscite ce combat entre réalité et folie, suivie et renoncement. La mise en scène, sèche et vertigineuse, bat au rythme de la seule question que se pose le cinéaste : "Que reste-t- il d’un homme lorsqu’on lui enlève tout ?"
Bien que Compañeros n’évite pas les travers de la fable patriotique dénonçant l’injustice dont furent victimes les trois hommes, le cinéaste a toutefois la justesse de s’en tenir le plus souvent à la dimension intime et sensible de ce chemin de croix politique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Des maladresses qui n'éclipsent toutefois ni la sincérité de la démarche du cinéaste ni le talent du trio de comédiens, irréprochables en prisonniers torturés.
Outre la reconstitution avisée des faits, d’ellipses en cicatrices, de prisons en prisons, le cinéaste parvient à nous faire ressentir l’égarement de ces détenus rompus par les jours impossibles à compter, comme leurs souffrances accumulées. Si ce n’est (dommage !) que quelques décisions formellement académiques viennent déjouer un peu ce trouble de l’orientation [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
En s'appuyant notamment sur la géométrie de l'espace carcéral, le récit décrit cet étirement du temps et son décompte, les privations de toutes sortes, l'égarement de la raison et des sens, et puis aussi les rares et précieux moments d'échanges et d'humanité.
Faute d’un point de vue original sur une réalité terrible qui, certes, mérite d’être racontée, la mise en scène s’est contentée, ici, d’accumuler des scènes comme on coche les jours sur un calendrier.
Le Journal du Dimanche
"Compañeros" est moins un brûlot spectaculaire digne des grands Costa-Gavras qu’un récit intimiste magnifiant la résistance humaine.
20 Minutes
Antonio de la Torre se montre aussi sobre que convaincant pour laisser la réflexion et l’émotion prendre le pas sur sa prestation.
CinemaTeaser
Un film courageux et puissant.
L'Humanité
Un film puissant.
L'Obs
Alvaro Brechner reconstitue cette ère de plomb avec talent et privilégie l'étincelle d'humanité qui subsiste dans la nuit la plus totale.
Le Dauphiné Libéré
Un film volontairement éprouvant, où la force minutieuse du récit crée une atmosphère oppressante.
Le Parisien
Un film déchirant et beau, qui nous apprend avant son générique que l’un des trois prisonniers est ensuite devenu président de l’Uruguay.
Le Point
Vertigineux.
Ouest France
Un vrai film coup de poing.
Paris Match
Le réalisateur uruguayen Alvaro Brechner signe un film essentiel sur la dictature militaire qui a sévi dans son pays dans les années 70 et 80.
Première
À mi-chemin du Hunger de Steve McQueen et des grands Costa-Gavras des années 70-80, Compañeros met KO mais galvanise aussi, grâce à trois acteurs bouleversants d’humanité, trois gueules sublimes qui entrent instantanément au Panthéon du cinéma de combat.
Rolling Stone
Ce qui porte le film, c’est la prestation d’Antonio de la Torre, de Chino Darín et d’Alfonso Tort, chacun amaigris d’une quinzaine de kilos et qui, sans jamais céder à la facilité du pathos, incarnent ce qu’est la survie.
Sud Ouest
Alvaro Brechner ressuscite ce combat entre réalité et folie, suivie et renoncement. La mise en scène, sèche et vertigineuse, bat au rythme de la seule question que se pose le cinéaste : "Que reste-t- il d’un homme lorsqu’on lui enlève tout ?"
Télérama
Un récit glaçant, mais plein d’espoir.
aVoir-aLire.com
Un hymne poignant, ambitieux et politique à tous ceux qui vont jusqu’au bout de leurs forces pour préserver leurs idéaux.
Critikat.com
Bien que Compañeros n’évite pas les travers de la fable patriotique dénonçant l’injustice dont furent victimes les trois hommes, le cinéaste a toutefois la justesse de s’en tenir le plus souvent à la dimension intime et sensible de ce chemin de croix politique.
L'Express
Des maladresses qui n'éclipsent toutefois ni la sincérité de la démarche du cinéaste ni le talent du trio de comédiens, irréprochables en prisonniers torturés.
Les Fiches du Cinéma
Un film qui s’envisage avant tout comme un hymne à la résistance de l’esprit humain, même aux heures les plus sombres de son existence.
Libération
Outre la reconstitution avisée des faits, d’ellipses en cicatrices, de prisons en prisons, le cinéaste parvient à nous faire ressentir l’égarement de ces détenus rompus par les jours impossibles à compter, comme leurs souffrances accumulées. Si ce n’est (dommage !) que quelques décisions formellement académiques viennent déjouer un peu ce trouble de l’orientation [...].
Positif
En s'appuyant notamment sur la géométrie de l'espace carcéral, le récit décrit cet étirement du temps et son décompte, les privations de toutes sortes, l'égarement de la raison et des sens, et puis aussi les rares et précieux moments d'échanges et d'humanité.
Cahiers du Cinéma
Faute d’un point de vue original sur une réalité terrible qui, certes, mérite d’être racontée, la mise en scène s’est contentée, ici, d’accumuler des scènes comme on coche les jours sur un calendrier.
La Croix
Le film d’Alvaro Brechner souffre d’une réalisation convenue qui échoue à retranscrire le calvaire vécu par ces prisonniers.