Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Humanité
par Dominique Widemann
Un film très stylisé qui met en scène des histoires de femmes en recherche d’elles-mêmes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Tout est minimaliste : les décors, le nombre de personnages (quatre), les scènes. Structure complexe, images très soignées, illustration sonore très design, le film est un peu trop long, c'est son seul péché, vite effacé par le pouvoir de fascination de cette histoire étrange.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Subtil, mis en scène avec brio et porté par d'épatantes comédiennes, "Quién te cantara" est une réussite.
Positif
par Nicolas Bauche
L'intelligence de Vermut est de sortir du dispositif de soi à soi et de reconfigurer son film autour de l'imitation, du faux pour accoucher de l'art.
L'Express
par Antoine Le Fur
Dire que le long-métrage de Carlos Vermut est envoûtant serait un euphémisme. "Quién te cantará" est un film d'atmosphère dont le réalisateur a soigné l'image avec une précision d'orfèvre.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Carlos Vermut, le réalisateur, adoubé par Pedro Almodóvar, jouit en Espagne d’une réputation flatteuse depuis La Nina de fuego (2014), thriller psychologique alambiqué. Ce metteur en scène efficace et très doué, venu de la bande dessinée, ajoute au suspense de ses intrigues un soin formel qui renforce le plaisir de voir ses films.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Un mélodrame musical au féminin, intrigant, orchestré avec une subtile élégance malgré quelques longueurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Baigné d'une atmosphère onirique, ce drame espagnol dresse un double portrait dont le mystère et l'intensité ne nous parviennent pas tout à fait.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
L’auteur de BD Carlos Vermut signe ce beau mélo graphique sous influence almodovardienne sur l’identité, les faux-semblants et le sentiment d’imposture.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Frédéric Strauss
Le charme opère : Quién te cantará déroule un univers très séduisant, où le strass et la mélancolie s’allient parfaitement… Sur le trouble de la relation en miroir, le film convainc moins. Sa manière de brouiller les pistes pour entretenir le mystère peut sembler, comme certaines vedettes de la chanson, fabriquée de toutes pièces.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Thierry Chèze
La première partie de Quien te cantara confirme le talent intact de Vermut à créer une ambiance aussi trouble que troublante. Mais cette fois-ci, contrairement à La nina de la fuego, son récit peine à tenir sur la longueur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le film est hanté par des figures hiératiques creuses, dont le sort finit par indifférer.
L'Humanité
Un film très stylisé qui met en scène des histoires de femmes en recherche d’elles-mêmes.
L'Obs
Tout est minimaliste : les décors, le nombre de personnages (quatre), les scènes. Structure complexe, images très soignées, illustration sonore très design, le film est un peu trop long, c'est son seul péché, vite effacé par le pouvoir de fascination de cette histoire étrange.
Le Journal du Dimanche
Subtil, mis en scène avec brio et porté par d'épatantes comédiennes, "Quién te cantara" est une réussite.
Positif
L'intelligence de Vermut est de sortir du dispositif de soi à soi et de reconfigurer son film autour de l'imitation, du faux pour accoucher de l'art.
L'Express
Dire que le long-métrage de Carlos Vermut est envoûtant serait un euphémisme. "Quién te cantará" est un film d'atmosphère dont le réalisateur a soigné l'image avec une précision d'orfèvre.
La Croix
Carlos Vermut, le réalisateur, adoubé par Pedro Almodóvar, jouit en Espagne d’une réputation flatteuse depuis La Nina de fuego (2014), thriller psychologique alambiqué. Ce metteur en scène efficace et très doué, venu de la bande dessinée, ajoute au suspense de ses intrigues un soin formel qui renforce le plaisir de voir ses films.
Le Figaro
Un mélodrame musical au féminin, intrigant, orchestré avec une subtile élégance malgré quelques longueurs.
Les Fiches du Cinéma
Baigné d'une atmosphère onirique, ce drame espagnol dresse un double portrait dont le mystère et l'intensité ne nous parviennent pas tout à fait.
Paris Match
L’auteur de BD Carlos Vermut signe ce beau mélo graphique sous influence almodovardienne sur l’identité, les faux-semblants et le sentiment d’imposture.
Télérama
Le charme opère : Quién te cantará déroule un univers très séduisant, où le strass et la mélancolie s’allient parfaitement… Sur le trouble de la relation en miroir, le film convainc moins. Sa manière de brouiller les pistes pour entretenir le mystère peut sembler, comme certaines vedettes de la chanson, fabriquée de toutes pièces.
Première
La première partie de Quien te cantara confirme le talent intact de Vermut à créer une ambiance aussi trouble que troublante. Mais cette fois-ci, contrairement à La nina de la fuego, son récit peine à tenir sur la longueur.
Le Monde
Le film est hanté par des figures hiératiques creuses, dont le sort finit par indifférer.