Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Critikat.com
par Ferhat Abbas
Dans la manière de relier le militantisme à l’acte de création, Tom Of Finland rend un bel hommage à cette figure passionante et encore trop méconnue de l’histoire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un biopic intéressant (...).
Les Fiches du Cinéma
par Alexis Duval
Courageux, ce biopic aborde l’homophobie latente, la maladie et l’intolérance à la différence. Par sa frontalité, il évite avec bonheur l’écueil de l’hagiographie, ainsi que bon nombre de clichés.
Télérama
par Louis Guichard
Le film distille d'abord une ambiance années 1940 proche des romans de Christopher Isherwood, tout en ambiguïtés et frustrations. Le passage à la Californie seventies, vouée aux plaisirs sexuels, digne du Boogie Nights de Paul Thomas Anderson, n'en est que plus spectaculaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Un biopic militant et nécessaire sur l’une des figures les plus emblématiques de la culture gay mondiale, une machine à fantasmes qui a su dépasser les époques pour trouver sa place dans l’histoire du XXe siècle.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Pierre Charpilloz
Interprété à la perfection par Pekka Strang, qui restera à jamais Tom of Finland dans nos mémoires de cinéphiles, ce personnage, héros presque sans s’en rendre compte, est la grande réussite du film.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Alex Masson
L'histoire, forte et sobre, d’un homme qui en a décomplexé d’autres perd à se diluer ainsi dans celle, pétaradante, d’une communauté.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Obs
par François Forestier
Le film est respectueux, assez pudique, et a le mérite de mettre en lumière un artiste souvent méconnu.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Du placard à la lumière, de la honte de soi à l’affirmation fétichiste, son œuvre fut une catharsis libératrice pour ces hommes qui, d’un coup, se sentirent moins isolés et moins honteux de leurs désirs parfois extrêmes.
Le Figaro
par La Rédaction
Les amours et la carrière de Touko Laaksonen, peintre et photographe finlandais homosexuel appelé Tom of Finland (1920-1991). Pekka Strang, en héros de la Seconde Guerre mondiale qui tente de vivre selon ses convictions, est prodigieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Le destin de Tom of Finland, illustrateur le plus influent d’une culture gay amatrice de moustaches et de cuir, valait bien un film. (...) Concentré sur ses années sombres, ce film épouse son combat avec assez de tact et de joie dans l’adversité pour captiver sans déranger.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
S’en tenant à une forme mineure, Dome Karukoski n’en restitue que mieux le pouvoir de sidération, les qualités artistiques et la charge érotique intacte des œuvres de Tom of Finland, car ses dessins sont autant d’ouvertures vers le sublime et le généreux qui parsèment un film un peu terne et insatisfaisant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Jérémy Piette
Dome Karukoski dessine la vie et le trait homoérotique de l’artiste dans un film chic mais un peu timide.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Bernard Génin
Le film de Dome Karukoski retrace classiquement ce parcours, ajoutant ainsi une page à l’histoire de la permissivité envers les homosexuels.
Première
par Anouk Brissac
Malgré son ADN "hot", le film reste un biopic plutôt lambda qui peine à l’allumage (...). Mais ce bémol narratif est vite compensé par l’intérêt du sujet et la satisfaction de mettre un nom, un sens et une origine sur une iconographie qui influença des générations de créateurs, de Helmut Lang à Pierre&Gilles en passant par Robert Mapplethorpe.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
par Vincent Ostria
On ne retient qu’une chose : la difficulté de vivre son homosexualité avant les années 1970. Quant à la petite entreprise de porno-gay de Tom of Finland, en soi, elle n’est pas passionnante.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Isabelle Regnier
Ce biopic ne rend pas justice au dessinateur finlandais Tom Holland.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Critikat.com
Dans la manière de relier le militantisme à l’acte de création, Tom Of Finland rend un bel hommage à cette figure passionante et encore trop méconnue de l’histoire.
Le Dauphiné Libéré
Un biopic intéressant (...).
Les Fiches du Cinéma
Courageux, ce biopic aborde l’homophobie latente, la maladie et l’intolérance à la différence. Par sa frontalité, il évite avec bonheur l’écueil de l’hagiographie, ainsi que bon nombre de clichés.
Télérama
Le film distille d'abord une ambiance années 1940 proche des romans de Christopher Isherwood, tout en ambiguïtés et frustrations. Le passage à la Californie seventies, vouée aux plaisirs sexuels, digne du Boogie Nights de Paul Thomas Anderson, n'en est que plus spectaculaire.
aVoir-aLire.com
Un biopic militant et nécessaire sur l’une des figures les plus emblématiques de la culture gay mondiale, une machine à fantasmes qui a su dépasser les époques pour trouver sa place dans l’histoire du XXe siècle.
Bande à part
Interprété à la perfection par Pekka Strang, qui restera à jamais Tom of Finland dans nos mémoires de cinéphiles, ce personnage, héros presque sans s’en rendre compte, est la grande réussite du film.
CinemaTeaser
L'histoire, forte et sobre, d’un homme qui en a décomplexé d’autres perd à se diluer ainsi dans celle, pétaradante, d’une communauté.
L'Obs
Le film est respectueux, assez pudique, et a le mérite de mettre en lumière un artiste souvent méconnu.
La Septième Obsession
Du placard à la lumière, de la honte de soi à l’affirmation fétichiste, son œuvre fut une catharsis libératrice pour ces hommes qui, d’un coup, se sentirent moins isolés et moins honteux de leurs désirs parfois extrêmes.
Le Figaro
Les amours et la carrière de Touko Laaksonen, peintre et photographe finlandais homosexuel appelé Tom of Finland (1920-1991). Pekka Strang, en héros de la Seconde Guerre mondiale qui tente de vivre selon ses convictions, est prodigieux.
Le Journal du Dimanche
Le destin de Tom of Finland, illustrateur le plus influent d’une culture gay amatrice de moustaches et de cuir, valait bien un film. (...) Concentré sur ses années sombres, ce film épouse son combat avec assez de tact et de joie dans l’adversité pour captiver sans déranger.
Les Inrockuptibles
S’en tenant à une forme mineure, Dome Karukoski n’en restitue que mieux le pouvoir de sidération, les qualités artistiques et la charge érotique intacte des œuvres de Tom of Finland, car ses dessins sont autant d’ouvertures vers le sublime et le généreux qui parsèment un film un peu terne et insatisfaisant.
Libération
Dome Karukoski dessine la vie et le trait homoérotique de l’artiste dans un film chic mais un peu timide.
Positif
Le film de Dome Karukoski retrace classiquement ce parcours, ajoutant ainsi une page à l’histoire de la permissivité envers les homosexuels.
Première
Malgré son ADN "hot", le film reste un biopic plutôt lambda qui peine à l’allumage (...). Mais ce bémol narratif est vite compensé par l’intérêt du sujet et la satisfaction de mettre un nom, un sens et une origine sur une iconographie qui influença des générations de créateurs, de Helmut Lang à Pierre&Gilles en passant par Robert Mapplethorpe.
L'Humanité
On ne retient qu’une chose : la difficulté de vivre son homosexualité avant les années 1970. Quant à la petite entreprise de porno-gay de Tom of Finland, en soi, elle n’est pas passionnante.
Le Monde
Ce biopic ne rend pas justice au dessinateur finlandais Tom Holland.