Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Un film unique et bouleversant.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Fort de ce pitch saugrenu, "Corps et âme" (Ours d'or à Berlin) tricote une singularité étonnante qui combine à merveille l'émotion pure et l'humour cocasse, mais où il est question de l'essentiel : notre condition d'humains paradoxaux.
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
"Corps et âme" aurait pu être balourd et niais, il enchante par sa gravité et son ironie légère, sa suggestion délicate d’une solidarité entre le monde animal et les êtres humains, sa célébration du rêve et de la magie comme moyen d’échapper à un quotidien sans âme.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Il y a quelque chose d'héroïque dans ce film, justement honoré d'un Ours d'or au dernier festival de Berlin, à parvenir à allier ce cinéma-là, aux allures d'études médicales, avec le romantisme échevelé et souvent triste des plus grands sentimentaux.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La réalisatrice Ildiko Enyedi privilégie le mystère, une magie du monde. L’on tombe sous le charme de ces deux êtres en mal d’amour, dans un film sensible onirique et touchant aux acteurs vibrants.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Vincent Ostria
On est saisi par ce mélange de froideur et de romantisme, agrémenté par un sens poétique du détail. Ou comment le rêve peut dynamiter un univers trop fonctionnel.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Film à strates, "Corps et Ame" plaira à tous ceux qui vont au cinéma pour cueillir d'ineffaçables souvenirs.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Défilant à une vitesse fulgurante malgré son tempo lent, ce sixième long métrage de la réalisatrice hongroise est tout simplement envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Frédéric Strauss
La Hongroise met l’intelligence de sa maturité dans cette réflexion sur le couple où rêve et psychanalyse font bon ménage. Elle ose le romantisme poétique comme le réalisme brutal. Elle célèbre la beauté d’une union possible sans cacher les blessures qui l’accompagnent. C’est ça, l’amour.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Une belle réussite.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Mathis Badin
Corps et âme laisse dans un premier temps présager du pire. (…) Mais les deux personnages principaux, l’affection silencieuse qu’ils se portent, parviennent à faire oublier la lourdeur de certains choix.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Surprenant parcours que celui d'Ildiko Enyedi (...) La grâce infinie de sa mise en scène ne méritait-elle pas mieux que ce scénario ténu de moyen-métrage ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Ce film hongrois, à l’architecture compliquée, séduit par sa sincérité.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Tout l’enjeu du film consistera à réchauffer la glaciation relationnelle urbaine et à saisir la cuisson lente du rapprochement entre ces deux âmes enfermées dans leurs névroses.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
Le mélange des genres et des formes provoque des ruptures de ton déroutantes qui achèvent de rendre Corps et Âme assez fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Inspirée dans ses moments de silence, cette douloureuse mise à nu des sentiments se révèle moins convaincante dès que ses personnages parlent.
Critikat.com
par Benoît Smith
L'étrangeté du film apparaît comme un principe préétabli, scénarisé et escompté par l'agencement des images, mais qui peine à découler de celles-ci et plus encore de captiver.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une curieuse histoire d’amour, enneigée et poétique, dont le postulat onirique, original, ne tient pas toutes ses promesses dans un développement névrotico-sexuel qui perd en route beaucoup de ce qui en faisait la grâce.
Libération
par Jérémy Piette
Le récit semble vouloir délacer les rapports sociaux et sentimentaux, ainsi que les fossés entre sexes opposés, mais reste bien loin des corps, sur une surface glacée et malaisante.
Paris Match
par Yannick Vely
(...) le film crie sa singularité à chaque plan, son audace à chaque dialogue surréaliste comme s'il était programmé à plaire à un public cinéphile qui trouvera dans le film matière à «analyser» le scénario.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Sophie Avon
Une mise en scène très appuyée pour un récit en forme de conte qui n'arrive jamais à faire oublier combien l'intrigue est artificielle.
Le Figaro
par La Rédaction
Passé ce postulat étrange, la romance de la réalisatrice hongroise Ildiko Enyedi s'avère assez conventionnelle. Pas de quoi bicher devant l'Ours d'or de la dernière Berlinale.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Femme Actuelle
Un film unique et bouleversant.
Le Journal du Dimanche
Fort de ce pitch saugrenu, "Corps et âme" (Ours d'or à Berlin) tricote une singularité étonnante qui combine à merveille l'émotion pure et l'humour cocasse, mais où il est question de l'essentiel : notre condition d'humains paradoxaux.
Positif
"Corps et âme" aurait pu être balourd et niais, il enchante par sa gravité et son ironie légère, sa suggestion délicate d’une solidarité entre le monde animal et les êtres humains, sa célébration du rêve et de la magie comme moyen d’échapper à un quotidien sans âme.
Transfuge
Il y a quelque chose d'héroïque dans ce film, justement honoré d'un Ours d'or au dernier festival de Berlin, à parvenir à allier ce cinéma-là, aux allures d'études médicales, avec le romantisme échevelé et souvent triste des plus grands sentimentaux.
Franceinfo Culture
La réalisatrice Ildiko Enyedi privilégie le mystère, une magie du monde. L’on tombe sous le charme de ces deux êtres en mal d’amour, dans un film sensible onirique et touchant aux acteurs vibrants.
L'Humanité
On est saisi par ce mélange de froideur et de romantisme, agrémenté par un sens poétique du détail. Ou comment le rêve peut dynamiter un univers trop fonctionnel.
Le Parisien
Film à strates, "Corps et Ame" plaira à tous ceux qui vont au cinéma pour cueillir d'ineffaçables souvenirs.
Les Fiches du Cinéma
Défilant à une vitesse fulgurante malgré son tempo lent, ce sixième long métrage de la réalisatrice hongroise est tout simplement envoûtant.
Télérama
La Hongroise met l’intelligence de sa maturité dans cette réflexion sur le couple où rêve et psychanalyse font bon ménage. Elle ose le romantisme poétique comme le réalisme brutal. Elle célèbre la beauté d’une union possible sans cacher les blessures qui l’accompagnent. C’est ça, l’amour.
aVoir-aLire.com
Une belle réussite.
Cahiers du Cinéma
Corps et âme laisse dans un premier temps présager du pire. (…) Mais les deux personnages principaux, l’affection silencieuse qu’ils se portent, parviennent à faire oublier la lourdeur de certains choix.
L'Obs
Surprenant parcours que celui d'Ildiko Enyedi (...) La grâce infinie de sa mise en scène ne méritait-elle pas mieux que ce scénario ténu de moyen-métrage ?
Le Monde
Ce film hongrois, à l’architecture compliquée, séduit par sa sincérité.
Les Inrockuptibles
Tout l’enjeu du film consistera à réchauffer la glaciation relationnelle urbaine et à saisir la cuisson lente du rapprochement entre ces deux âmes enfermées dans leurs névroses.
Première
Le mélange des genres et des formes provoque des ruptures de ton déroutantes qui achèvent de rendre Corps et Âme assez fascinant.
Studio Ciné Live
Inspirée dans ses moments de silence, cette douloureuse mise à nu des sentiments se révèle moins convaincante dès que ses personnages parlent.
Critikat.com
L'étrangeté du film apparaît comme un principe préétabli, scénarisé et escompté par l'agencement des images, mais qui peine à découler de celles-ci et plus encore de captiver.
Le Dauphiné Libéré
Une curieuse histoire d’amour, enneigée et poétique, dont le postulat onirique, original, ne tient pas toutes ses promesses dans un développement névrotico-sexuel qui perd en route beaucoup de ce qui en faisait la grâce.
Libération
Le récit semble vouloir délacer les rapports sociaux et sentimentaux, ainsi que les fossés entre sexes opposés, mais reste bien loin des corps, sur une surface glacée et malaisante.
Paris Match
(...) le film crie sa singularité à chaque plan, son audace à chaque dialogue surréaliste comme s'il était programmé à plaire à un public cinéphile qui trouvera dans le film matière à «analyser» le scénario.
Sud Ouest
Une mise en scène très appuyée pour un récit en forme de conte qui n'arrive jamais à faire oublier combien l'intrigue est artificielle.
Le Figaro
Passé ce postulat étrange, la romance de la réalisatrice hongroise Ildiko Enyedi s'avère assez conventionnelle. Pas de quoi bicher devant l'Ours d'or de la dernière Berlinale.