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Cantet, qui n'oublie jamais le romanesque (personnages, péripéties...), filme droit et juste, ne juge pas, n'élude rien et décrypte ces glissements. La société est responsable, mais elle est ce qu'on en fait. Passionnant, effrayant.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Avec "L’Atelier", des coudées au-dessus d’"Entre les murs", car irrésolu, Cantet continue d’inventer un cinéma qui échappe à tout message, à toute thèse, et qui ne se laisse attraper par aucun filet idéologique. Un cinéma joyeusement politique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
La prestation de la comédienne n’est pas pour rien dans la réussite exceptionnelle de ce film qui, en évitant le didactisme, dresse l’un des plus passionnants portraits de la France contemporaine vus récemment sur les écrans.
(...) un magnifique portrait de groupe, ancré dans le réel, dessinant le tableau inquiet et pourtant lumineux d'une jeunesse confrontée à une vie déjà écrite et sans perspectives.
C’est l’une des choses les plus fortes de cet "Atelier", la sensibilité avec laquelle le récit déroule sa pelote de fil sans jamais esquiver ni le portrait de groupe, ni le portrait singulier, ni celui d’une France contemporaine et tiraillée par ses conflits actuels, ni la relation de tous avec Olivia, ni celle que la romancière a en particulier avec Antoine.
Ultra-intense, ce récit confronte un jeune en insertion à une femme écrivain en vogue dans le cadre d’un atelier d’écriture. Le soleil méditerranéen brûle. Les frustrations pèsent. Le déterminisme social plane. Et Laurent Cantet transcende ce récit naturaliste en une épopée intime et fulgurante.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Seule actrice professionnelle, Marina Foïs joue, avec aisance, une magnifique partition, sur le fil, affrontant, sans se laisser désarçonner, les assauts de cette brutale rhétorique, intégrant fêlures sociales et fragilité psychologique, et fixant un cadre.
Dans la veine d’“Entre les murs”, un second volet qu’actualise la question du glissement vers le radicalisme et qui en a l’authenticité, sinon tout à fait la force.
On est sidéré par la façon unique dont Laurent Cantet captive instantanément son auditoire grâce à la puissance de sa narration et à sa volonté farouche d'authenticité.
Film d’écriture à plus d’un titre, le dernier long métrage de Laurent Cantet porte sur le monde contemporain un regard qui nuance certaines visions binaires aujourd’hui trop répandues.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le film change alors de nature et, tout en restant un récit d’apprentissage, bifurque vers les relations troubles entre l’adolescent et cette femme qui découvre que la violence en lui. Le film y gagne en intensité dramatique, mais il perd en route un peu de ce qui faisait son projet initial.
Quelques très belles scènes ne suffisent pas à pallier ce déficit de romanesque et de sensualité (...). L’Atelier passera toutefois par un autre chemin pour ne pas nous laisser quitter la salle sur l’amer constat que rien, désormais, ne saurait réparer la fracture sociale, ni celle entre les hommes.
Une fois encore, entre inquiétude et bienveillance, Laurent Cantet réussit à exposer des problématiques complexes. "L’Atelier" est autant l’histoire singulière de ses personnages que la métaphore d’une société française en plein questionnement.
Le résultat est à peu près aussi bluffant de spontanéité et d’énergie, notamment lors des scènes de stage animé par Marina Foïs, excellent en romancière-éducatrice pénétrée de son importance. Le film est un peu plus convenu lorsqu’il s’aventure sur le terrain de la pure fiction et qu’il met en scène les états d’âme du jeune héros, formidablement interprété par Matthieu Lucci, une vraie révélation.
La critique complète est disponible sur le site Première
Femme Actuelle
Un film bouleversant et lumineux.
L'Express
Cantet, qui n'oublie jamais le romanesque (personnages, péripéties...), filme droit et juste, ne juge pas, n'élude rien et décrypte ces glissements. La société est responsable, mais elle est ce qu'on en fait. Passionnant, effrayant.
L'Humanité
Atelier ou laboratoire, confinement des solitudes ou horizons de mer, compte la farouche volonté de travailler en commun.
Libération
Avec "L’Atelier", des coudées au-dessus d’"Entre les murs", car irrésolu, Cantet continue d’inventer un cinéma qui échappe à tout message, à toute thèse, et qui ne se laisse attraper par aucun filet idéologique. Un cinéma joyeusement politique.
Marianne
La prestation de la comédienne n’est pas pour rien dans la réussite exceptionnelle de ce film qui, en évitant le didactisme, dresse l’un des plus passionnants portraits de la France contemporaine vus récemment sur les écrans.
Positif
(...) un magnifique portrait de groupe, ancré dans le réel, dessinant le tableau inquiet et pourtant lumineux d'une jeunesse confrontée à une vie déjà écrite et sans perspectives.
Sud Ouest
C’est l’une des choses les plus fortes de cet "Atelier", la sensibilité avec laquelle le récit déroule sa pelote de fil sans jamais esquiver ni le portrait de groupe, ni le portrait singulier, ni celui d’une France contemporaine et tiraillée par ses conflits actuels, ni la relation de tous avec Olivia, ni celle que la romancière a en particulier avec Antoine.
Télérama
Une jeunesse qu’il va falloir écouter, sans la juger, à la manière de Laurent Cantet.
Voici
Un regard intelligent, sensible...
aVoir-aLire.com
Le portrait radical et subtil d’une génération perdue. Passionnant !
20 Minutes
Reconnaissons-le tout de go, Marina Foïs est parfaite, entre assurance et inquiétude.
Bande à part
Ultra-intense, ce récit confronte un jeune en insertion à une femme écrivain en vogue dans le cadre d’un atelier d’écriture. Le soleil méditerranéen brûle. Les frustrations pèsent. Le déterminisme social plane. Et Laurent Cantet transcende ce récit naturaliste en une épopée intime et fulgurante.
Franceinfo Culture
"L'Atelier", film d’apprentissage, d’initiation, rivalise avec les meilleurs du genre.
L'Obs
On reconnaît la patte de Robin Campillo, coscénariste de ce film d'une grande perspicacité politique.
La Croix
Seule actrice professionnelle, Marina Foïs joue, avec aisance, une magnifique partition, sur le fil, affrontant, sans se laisser désarçonner, les assauts de cette brutale rhétorique, intégrant fêlures sociales et fragilité psychologique, et fixant un cadre.
Le Dauphiné Libéré
Dans la veine d’“Entre les murs”, un second volet qu’actualise la question du glissement vers le radicalisme et qui en a l’authenticité, sinon tout à fait la force.
Le Figaro
Le metteur en scène suscite intelligemment la réflexion et évite le piège moralisateur.
Le Journal du Dimanche
On est sidéré par la façon unique dont Laurent Cantet captive instantanément son auditoire grâce à la puissance de sa narration et à sa volonté farouche d'authenticité.
Le Parisien
Marina Foïs y est impeccable.
Studio Ciné Live
(...) [Un] beau film social jamais grandiloquent. La jeunesse française a décidément un porte-parole de tout premier ordre.
Télé 2 semaines
Puissant, troublant.
Télé 7 Jours
(...) réflexion fine et passionnante sur la jeunesse française (...).
Critikat.com
"L’Atelier" s’inscrit en cohérence avec "Entre les murs", mais de façon beaucoup plus romanesque.
Culturopoing.com
Film d’écriture à plus d’un titre, le dernier long métrage de Laurent Cantet porte sur le monde contemporain un regard qui nuance certaines visions binaires aujourd’hui trop répandues.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le film change alors de nature et, tout en restant un récit d’apprentissage, bifurque vers les relations troubles entre l’adolescent et cette femme qui découvre que la violence en lui. Le film y gagne en intensité dramatique, mais il perd en route un peu de ce qui faisait son projet initial.
La Septième Obsession
"L’Atelier" fait de son huis clos à ciel ouvert un catalyseur de tensions narratives et cinématographiques d’une absolue pertinence.
La Voix du Nord
Ce faisant, l’auteur d’Entre les murs réactive son aspiration au collectif et tente une troublante percée dans le domaine du film noir.
Le Monde
Quelques très belles scènes ne suffisent pas à pallier ce déficit de romanesque et de sensualité (...). L’Atelier passera toutefois par un autre chemin pour ne pas nous laisser quitter la salle sur l’amer constat que rien, désormais, ne saurait réparer la fracture sociale, ni celle entre les hommes.
Les Inrockuptibles
Une fois encore, entre inquiétude et bienveillance, Laurent Cantet réussit à exposer des problématiques complexes. "L’Atelier" est autant l’histoire singulière de ses personnages que la métaphore d’une société française en plein questionnement.
Première
Le résultat est à peu près aussi bluffant de spontanéité et d’énergie, notamment lors des scènes de stage animé par Marina Foïs, excellent en romancière-éducatrice pénétrée de son importance. Le film est un peu plus convenu lorsqu’il s’aventure sur le terrain de la pure fiction et qu’il met en scène les états d’âme du jeune héros, formidablement interprété par Matthieu Lucci, une vraie révélation.
Cahiers du Cinéma
Laurent Cantet tente d’apporter sa pierre à une réflexion un peu éculée (du moins posée en ces termes) sur le vivre-ensemble.
Transfuge
Laurent Cantet, dans "L'Atelier", tente la radioscopie d'un jeune raciste. Et manque son film...