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elbandito
349 abonnés
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3,0
Publiée le 20 juin 2018
Un petit air de Noah Baumbach ou Charles Lane plane sur "Person to person" qui a été traduit "Manhattan Stories" titre plus évocateur pour le public français. Le réalisateur a su capter des petits moments du quotidien de new-yorkais contemporains, en utilisant une pellicule en 4/3 et un rendu photographie granuleux qui suscite immédiatement une certaine mélancolie, tant on se croirait revenu dans les années quatre-vingt. Pour le meilleur et aussi le pire. Le meilleur, Bene Coopersmith, un acteur quinquagénaire collectionneur de vinyles en quête d’amour et d’amitié. Mais aussi la solaire Tavi Gevinson, sosie de Scarlett Johansson, jeune fille asociale, souvent en décalage avec ses amis et avec la réalité de la vie new-yorkaise, aux réflexions d’une maturité incroyable. Enfin, la bande son jazzy sélectionnée par Dustin Guy Defa est exceptionnelle. Le pire maintenant : le manque de sens précis donné à un scénario décousu dessert "Manhattan Stories", les histoires semblent parfois tellement surréalistes, que l’on peine à croire à celles des journalistes par exemple… Forcément des personnages intéressants auraient mérité un meilleur traitement de leur histoire. Une chose est sure, un jour j’irai à New-York !
J'ai bien apprécié cette comédie américaine bien traitée et bien vue. Cela se passe sur une seule journée à New York. Nous suivons plusieurs personnes qui, à un moment donné, auront un lien. C'est frais, agréable, amusant.
J'ai beaucoup aimé Manhattan Stories. Tout est frais et sympa. Les personnages sont très différents et originaux (une jeune fille plutôt associable, un homme collectioneur de vinyles, des journalistes un peu dépassés, etc.) On est plongés au coeur de Manhattan, avec de belles apperçues de la ville de New-york et de son ambiance. Après avoir vu le film, on a juste envie de prendre un billet d'avion direction la grosse pomme!
Un jour à New York. Unité de temps et de lieu et une multitude d'actions. Vignettes successives qui débouchent sur des intrigues mieux qu'esquissées mais qui manquent d'enjeu pour cause de dispersion, phénomène récurrent des films choraux. Très dialogué, Manhattan Stories, "traduction" paresseuse de Person to Person, évoque dans la splendeur automnale de la ville un certain romantisme à la manière de qui l'on sait y ajoutant une timide théâtralité de fait divers. Le mélange, sans être détonant, possède un certain charme avec une inclinaison pour des situations incongrues que vivent des personnages le plus souvent dans l'embarras. Le film se voit sans déplaisir, chronique plus tendre que rugueuse, compilant des histoires courtes dont aucune d'entre elles n'aurait suffisamment de substance pour faire un long-métrage. Comme un recueil de nouvelles dont les différents segments alterneraient dans la narration. Manhattan Stories est une pierre de plus dans le jardin du cinéma indépendant américain. Une contribution qui n'enthousiasme guère mais ne désole pas non plus. Anodine, en définitive.
Petit machin complètement anecdotique où on suit 5-6 personnages dans leur vie à Manhattan. C’est très gentillet, ça n’implique rien ni personne. C’est filmé avec un téléphone et pas du dernier cri (ou du moins ça en donne l’apoarence) et voilà.
L'histoire qui se déroule à New-York suit plusieurs personnes bien plus que ce que l'affiche montre. Parmi ceux présents sur l'affiche, il y a Ray qui se cache dans un appartement après avoir fait quelque chose de moche à sa copine, Wendy qui est une jeune femme réservée pas sûre d'elle et de son orientation sexuelle, Phil est un journaliste qui prend sous son aile Claire, Jimmy qui est un horloger et qui va être mêlé à une histoire étrange et enfin Bene qui est un fan de musique et dont une transaction va mal tourner. Certains des personnages se croisent et ont une histoire en commun et en plus de ça, on remarque que ça marche souvent par paires dans le sens où certains ont une sorte de pendant, mais un peu contraire comme Wendy avec Mélanie, Phil avec Claire ou Bene et Ray. Cela n'apporte pas toujours grand-chose, mais dans certains cas oui comme pour les premières citées. D'ailleurs, l'histoire de Wendy est peut-être la plus intéressante du moins celle où il y a le plus à développer. Le début m'a fait craindre le pire, car c'est un film très particulier au niveau du style, de la mise en scène et des intrigues, mais au plus ça avance au mieux ça va, car on s'y habite. Comme pour un film choral, tout ne se vaut pas surtout que les histoires sont très simples, mais l'ensemble se laisse finalement suivre tranquillement même s'il n'y a rien d'extraordinaire.
« Manhattan Stories » est construit de façon à ce que cinq histoires se chevauchent plus ou moins dans les rues de Manhattan le temps d’une journée. Claire est une chroniqueuse judiciaire et est accompagnée de Phil, un journaliste d’investigation. Ensemble ils mettent en place des méthodes proche du paparazzi pour déceler la vérité sur la mort du mari d’une riche femme. Leurs actions vont les mener chez Jimmy, un horloger qui a peut-être les preuves d’un meurtre. A quelques rues d’ici, Benny est fan de vinyles et n’a qu’une obsession, récupérer un disque rare de Charlie Parker. Il vit en colocation avec Ray qui a posté des photos de nu de sa copine. Maintenant il regrette. Et puis il y a aussi Wendy une étudiante qui s’éternise dans des discussions avec sa meilleure amie Mélanie aux idéaux féministes mais aux pulsions sexuelles bien ancrées. L’ambiance générale nous rappelle les mises en scène de Woody Allen où la ville est aussi un personnage principal. Les comédiens, tous doués, savent imposer les histoires personnelles de leurs rôles. Pourtant le réalisme de chaque séance nous déroute par un manque de dynamisme cinématographique. A la fin de « Manhattan Stories » que s’est-il passé en fin de compte ? D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Chronique sans grande saveur d'une journée dans Manhattan à travers plusieurs personnages. En gros, on suit 3 histoires, une sans réel intérêt (l'ado), une moyenne car la pauvre intrigue policière est vraiment mal écrite mais les personnages sont attachants et une dernière correcte qui suit un collectionneur de vinyle. Et la réalisation ne brille pas par son originalité ni par la qualité de son image !
Une note radicale mais qui pourtant ne reflète pas ma déception. En effet, les attentes envers ce film ne sont pas grandiose. Le grain des images nous rappelle les films de Woody allen sans pourtant venir nous surprendre assez pour ne pas se rendre compte que le scénario est tout simplement plat. Les personnages sont les seules piliers d’une maison vintage.
Un petit film qui propose des bouts de vie d'une poignée d'habitants de Manhattan. Mais ce scénario n'offre véritablement aucun intérêt, aucune profondeur des personnages. Reste un sentiment de vide, de fadeur, d'une démarche fainéante car même la ville n'est pas mise en valeur!
Une petite chronique de la vie new yorkaise ou s'entrecroisent histoires et personnages. Sympa et sans prétention. Pas renversant non plus mais attachant.
journaliste, assassin, vendeur de vieilleries, escroc. tout se passe dans le quartier près de central Park , mais que veut dire le réalisateur? quel est son but final? on a d'abord l'impression que N Y est une ville morte , sans âme que la ville n'a pas évoluée qu'elle reste un petit village . c'est tres bavard et ne dit rien , ça se veut parodique sans être drôle ç est assez prétentieux en restant simplet. tout le film manque d'un intérêt principal : passer un bon moment.
« Manhattan Stories »….. film tendre qui nous fait partager la vie intime de personnages drôles, décalés, futiles, tendres, fantasques, perdus, en quête d’amour, d’identité, au cœur du quartier mythique de New York; le tout accompagné d’une musique jazzy entrainante qui donne dès le début du film l’envie de vite faire ses valises pour y retourner et retrouver « ce petit je ne sais quoi » unique et magique de là bas. Le disquaire …. Central Park …. les donuts…. les magasins de frippe vintage… et un dialogue qui pourrait devenir culte, sur la pureté avec laquelle il faut aimer la musique, les vinyls, les collectionner, les transmettre …. un pur régal !
Des histoires creusent qui sonne faux et déversent des leçons de morales niaises. Seul le grain en celluloïd et le morceau de Charlie Parker font rêver mais ca ne comble que deux minutes de films. Nullissime film choral... Même en v.o. aucun intérêt