Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Loin de tout cynisme, cette simplicité et cette tendresse nous font du bien.
Critikat.com
par Laetitia Scherier
Dustin Guy Defa arrive à s’émanciper de ses modèles et à transcender son matériau de base, la comédie chorale New-Yorkaise vue maintes fois au cinéma, en se concentrant sur les particularités de ses personnages pour faire ressortir un sentiment d’intimité qui s’installe dès les premières minutes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Réjouissant.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une mini-comédie humaine pleine de saveur dont l’immédiateté et la finesse font une des meilleures chroniques récentes de la vie new-yorkaise.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Tous vivent à Manhattan, qui fait le dénominateur commun d’un film où se connectent cinq histoires qui témoignent toutes de l’énergie de New York et du film qui en rend compte.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
par La Rédaction
Defa joue à être Dieu le temps d'un film choral. Évoque avec finesse les thèmes qui le préoccupent, comme la solitude, l'amitié et l'amour. Il procède par petites touches; images éclairées avec douceur, lumières solaires et bande-son jazzy agrémentent des dialogues qui sonnent souvent juste.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ouest France
par La Rédaction
Une chronique urbaine sensible.
Rolling Stone
par Jessica Saval
Si l’on peut déplorer quelques maladresses que l’on imputera à quelque envie de trop bien faire, "Manhattan Stories" parvient à condenser l’essence de tant de monuments du cinéma : le pouls erratique de New York City.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Culturopoing.com
par Miriem Méghaïzerou
Dans cette galerie, on rencontre un escroc, une présumée meurtrière, un dépressif et un journaliste peu scrupuleux. Mais le traitement, tout en légèreté, proche du ton des sitcoms, nous fait passer un agréable moment.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Si Manhattan stories n’échappe pas à certains tics du cinéma indépendant américain et se révèle inégal, il charme néanmoins par sa chronique tendre d’une journée émaillée de moments embarrassants et finalement d’événements marquants dans un New York automnal joliment filmé.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par La Rédaction
Une comédie légère et plaisante, pleine de dialogues savoureux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le film, plein de charme, se balade ainsi dans un New York rendu intemporel par la mise en scène, et contemporain par les thèmes abordés. Et fait perdurer la fascination qu’exerce la Grosse Pomme sur tous ses amoureux..
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par William Le Personnic
Ce récit erratique qui s'attache et se défait sur des personnages aux quotidiens tendrement futiles a tendance à s'éparpiller malgré une verve réjouissante.
Première
par Eric Vernay
Une vibe organique et spirituelle (belle BO gospel) qui doit aussi beaucoup à l’excellent casting – mention spéciale à Michael Cera, hilarant en plumitif amateur de heavy métal.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jérémie Couston
A cause de Michael Cera en apprenti Tintin, on pense à Woody Allen, époque Meurtre mystérieux à Manhattan. A John Cassavetes, aussi, parrain attitré de la mouvance mumblecore, ces films américains à petit budget, indépendants et bavards, tournés dans la rue et dans les chambres à coucher, auquel appartient ce premier long métrage attachant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par François Forestier
C'est léger (trop), décontracté (trop), sympathique (un peu) et inabouti. Le premier film de Dustin Guy Defa cherche à capter l'énergie de la ville : bonne idée, mais tout reste suspendu, sans qu'on s'attache vraiment aux personnages. Il y a là un essai qui ne demande qu'à être transformé.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Aucune de ces histoires ne tiendrait la distance d’un film. Cela donne une sorte de recueil de nouvelles, réunies dans un seul, bavard et marqué par la figure new-yorkaise de Woody Allen. Inégales et légères, souvent drôles ou tendres, parfois aussi sans grand intérêt.
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Un film choral sans cohérence narrative ou thématique, qui pâtit surtout d’un manque d’originalité et de pertinence.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Loin de tout cynisme, cette simplicité et cette tendresse nous font du bien.
Critikat.com
Dustin Guy Defa arrive à s’émanciper de ses modèles et à transcender son matériau de base, la comédie chorale New-Yorkaise vue maintes fois au cinéma, en se concentrant sur les particularités de ses personnages pour faire ressortir un sentiment d’intimité qui s’installe dès les premières minutes.
Femme Actuelle
Réjouissant.
L'Humanité
Une mini-comédie humaine pleine de saveur dont l’immédiateté et la finesse font une des meilleures chroniques récentes de la vie new-yorkaise.
Le Dauphiné Libéré
Tous vivent à Manhattan, qui fait le dénominateur commun d’un film où se connectent cinq histoires qui témoignent toutes de l’énergie de New York et du film qui en rend compte.
Le Figaro
Defa joue à être Dieu le temps d'un film choral. Évoque avec finesse les thèmes qui le préoccupent, comme la solitude, l'amitié et l'amour. Il procède par petites touches; images éclairées avec douceur, lumières solaires et bande-son jazzy agrémentent des dialogues qui sonnent souvent juste.
Ouest France
Une chronique urbaine sensible.
Rolling Stone
Si l’on peut déplorer quelques maladresses que l’on imputera à quelque envie de trop bien faire, "Manhattan Stories" parvient à condenser l’essence de tant de monuments du cinéma : le pouls erratique de New York City.
Culturopoing.com
Dans cette galerie, on rencontre un escroc, une présumée meurtrière, un dépressif et un journaliste peu scrupuleux. Mais le traitement, tout en légèreté, proche du ton des sitcoms, nous fait passer un agréable moment.
La Croix
Si Manhattan stories n’échappe pas à certains tics du cinéma indépendant américain et se révèle inégal, il charme néanmoins par sa chronique tendre d’une journée émaillée de moments embarrassants et finalement d’événements marquants dans un New York automnal joliment filmé.
Le Parisien
Une comédie légère et plaisante, pleine de dialogues savoureux.
Les Inrockuptibles
Le film, plein de charme, se balade ainsi dans un New York rendu intemporel par la mise en scène, et contemporain par les thèmes abordés. Et fait perdurer la fascination qu’exerce la Grosse Pomme sur tous ses amoureux..
Positif
Ce récit erratique qui s'attache et se défait sur des personnages aux quotidiens tendrement futiles a tendance à s'éparpiller malgré une verve réjouissante.
Première
Une vibe organique et spirituelle (belle BO gospel) qui doit aussi beaucoup à l’excellent casting – mention spéciale à Michael Cera, hilarant en plumitif amateur de heavy métal.
Télérama
A cause de Michael Cera en apprenti Tintin, on pense à Woody Allen, époque Meurtre mystérieux à Manhattan. A John Cassavetes, aussi, parrain attitré de la mouvance mumblecore, ces films américains à petit budget, indépendants et bavards, tournés dans la rue et dans les chambres à coucher, auquel appartient ce premier long métrage attachant.
L'Obs
C'est léger (trop), décontracté (trop), sympathique (un peu) et inabouti. Le premier film de Dustin Guy Defa cherche à capter l'énergie de la ville : bonne idée, mais tout reste suspendu, sans qu'on s'attache vraiment aux personnages. Il y a là un essai qui ne demande qu'à être transformé.
Le Journal du Dimanche
Aucune de ces histoires ne tiendrait la distance d’un film. Cela donne une sorte de recueil de nouvelles, réunies dans un seul, bavard et marqué par la figure new-yorkaise de Woody Allen. Inégales et légères, souvent drôles ou tendres, parfois aussi sans grand intérêt.
aVoir-aLire.com
Un film choral sans cohérence narrative ou thématique, qui pâtit surtout d’un manque d’originalité et de pertinence.