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Lui, Bertrand (Gaspard Ulliel, à chaque film meilleur), est un dramaturge à la mode et à succès, que tous s’arrachent tant il est beau, jeune et talentueux. Mais, dès les premières séquences — magnifiques, empreintes d’une sensualité vénéneuse —, on l’aura vu, gigolo pas très doué, s’emparer du manuscrit inédit d’un pauvre vieux (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Isabelle Huppert est impeccable dans ce rôle de femme fatale, plutôt à contre-emploi. (...) Gaspard Ulliel ne dépare pas et ce couple détonnant sur le papier s’étoffe à l’écran et nous séduit même si on a du mal à sentir une fatale attraction entre eux. Et c’est dommage car c’est là tout le propos de l’histoire.
Benoît Jacquot s’attaque à un classique de la Série noire pour livrer un film au scénario poussif, mais traversé par la présence d’Isabelle Huppert. Dans le rôle autrefois tenu par Jeanne Moreau, elle livre une performance subtile qui, à elle seule, justifie le déplacement.
En mars, Isabelle Huppert voit triple. On la découvre en prostituée glaciale et énigmatique dans Eva, de Benoît Jacquot, un film étonnant, loin d'être le meilleur de l'auteur des Adieux à la reine.
La théâtralité des rapports entre les personnages suscite parfois la caricature, certaines failles rythmiques se font sentir, et on peut décrocher, très facilement. Un peu dommage pour ce film qui a le mérite de prendre la province pour décor d’un drame qui n’en est pas vraiment un, et qui flirte avec le format thriller sans jamais l’épouser réellement.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Benoït Jacquot retrouve son actrice fétiche, mais son film souffre d'arriver après le sulfureux "Elle", auquel il ne manquera pas d'être comparé, à ses dépens.
(...) un thriller mental tortueux avec Gaspard Ulliel, parfait en ex-gigolo aux pulsions meurtrières. Hélas, Isabelle Huppert paraît un poil désincarnée en glacial objet du désir.
Un nouveau rôle vénéneux pour Isabelle Huppert qui retrouve l’école de la chair, à l’occasion d’un suspense séduisant, autour de cet obscur objet du désir. Au-delà de quelques errances scénaristiques, le cinéaste Benoit Jacquot se prête plutôt bien aux codes du polar ténébreux, quoique déroutant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La distance imposée par la réalisation et le manque d’empathie pour des personnages aussi détestables l’un que l’autre, transforment le film en un thriller glaçant et sans âme.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
[Benoît Jacquot] laisse son film partir à la dérive : montage miné par des fondus au noir totalement immotivés, ralentis grotesques, brusques éruptions de violence qui sonnent complètement faux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Pourquoi ce jeune écrivain imposteur s’amourache-t-il de cette call-girl manipulatrice ? Rien dans le film, d’une raideur protestante, ne justifie une telle obsession, sinon le port de la cravache pour elle (fantasme un peu éculé) et une profonde culpabilité pour lui (qui lui ôterait tout sens commun).
La critique complète est disponible sur le site Première
Femme Actuelle
Servi par des plans magnifiques, ce thriller psychologique offre un épatant face-a-face entre Isabelle Huppert et Gaspard Ulliel
Elle
Un thriller psychologique déroutant à souhait.
Le Parisien
Isabelle Huppert est magnifique en bourgeoise de province obligée de se prostituer, et Gaspard Ulliel construit une partition à l'unisson.
Positif
(...) cette variation française [d'"Eva" de Joseph Losey] tient ses promesses obsessionnelles (...).
Transfuge
(...) un thriller joliment vertigineux.
Télérama
Lui, Bertrand (Gaspard Ulliel, à chaque film meilleur), est un dramaturge à la mode et à succès, que tous s’arrachent tant il est beau, jeune et talentueux. Mais, dès les premières séquences — magnifiques, empreintes d’une sensualité vénéneuse —, on l’aura vu, gigolo pas très doué, s’emparer du manuscrit inédit d’un pauvre vieux (...).
La Voix du Nord
Isabelle Huppert est impeccable dans ce rôle de femme fatale, plutôt à contre-emploi. (...) Gaspard Ulliel ne dépare pas et ce couple détonnant sur le papier s’étoffe à l’écran et nous séduit même si on a du mal à sentir une fatale attraction entre eux. Et c’est dommage car c’est là tout le propos de l’histoire.
Les Fiches du Cinéma
Benoît Jacquot s’attaque à un classique de la Série noire pour livrer un film au scénario poussif, mais traversé par la présence d’Isabelle Huppert. Dans le rôle autrefois tenu par Jeanne Moreau, elle livre une performance subtile qui, à elle seule, justifie le déplacement.
Marianne
En mars, Isabelle Huppert voit triple. On la découvre en prostituée glaciale et énigmatique dans Eva, de Benoît Jacquot, un film étonnant, loin d'être le meilleur de l'auteur des Adieux à la reine.
Rolling Stone
La théâtralité des rapports entre les personnages suscite parfois la caricature, certaines failles rythmiques se font sentir, et on peut décrocher, très facilement. Un peu dommage pour ce film qui a le mérite de prendre la province pour décor d’un drame qui n’en est pas vraiment un, et qui flirte avec le format thriller sans jamais l’épouser réellement.
Télé 7 Jours
Benoït Jacquot retrouve son actrice fétiche, mais son film souffre d'arriver après le sulfureux "Elle", auquel il ne manquera pas d'être comparé, à ses dépens.
Télé Loisirs
(...) un thriller mental tortueux avec Gaspard Ulliel, parfait en ex-gigolo aux pulsions meurtrières. Hélas, Isabelle Huppert paraît un poil désincarnée en glacial objet du désir.
aVoir-aLire.com
Un nouveau rôle vénéneux pour Isabelle Huppert qui retrouve l’école de la chair, à l’occasion d’un suspense séduisant, autour de cet obscur objet du désir. Au-delà de quelques errances scénaristiques, le cinéaste Benoit Jacquot se prête plutôt bien aux codes du polar ténébreux, quoique déroutant.
L'Obs
Un jeu de masques qui se voudrait troublant, mais qui finit par sonner creux à cause d'un trop-plein d'invraisemblances et de clichés.
La Croix
La distance imposée par la réalisation et le manque d’empathie pour des personnages aussi détestables l’un que l’autre, transforment le film en un thriller glaçant et sans âme.
Le Journal du Dimanche
L’intrigue nébuleuse s’étire, la faute à la répétition des situations, et manque de tension.
Le Monde
Après Joseph Losey, Benoît Jacquot offre une pâle adaptation du roman de James Hadley Chase.
Libération
Il en résulte un film théoriquement intéressant mais finalement congelé par son manque d’audace.
Voici
Une adaptation dans laquelle les motivations de personnages froids restent obscures.
Cahiers du Cinéma
Une mise en scène plate, en pilote automatique, qui donne à Eva l’allure d’un téléfilm.
Critikat.com
[Benoît Jacquot] laisse son film partir à la dérive : montage miné par des fondus au noir totalement immotivés, ralentis grotesques, brusques éruptions de violence qui sonnent complètement faux.
La Septième Obsession
Le cinéma de Benoît Jacquot se dévitalise de plus en plus avec les années.
Le Figaro
Remake inutile du film de Joseph Losey.
Les Inrockuptibles
"Eva" souffre parfois d’un déficit de croyance, oeuvre théorique en équilibre précaire entre comédie involontaire et somptueux film noir.
Première
Pourquoi ce jeune écrivain imposteur s’amourache-t-il de cette call-girl manipulatrice ? Rien dans le film, d’une raideur protestante, ne justifie une telle obsession, sinon le port de la cravache pour elle (fantasme un peu éculé) et une profonde culpabilité pour lui (qui lui ôterait tout sens commun).