Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un film magnifique qui aborde avec subtilité un sujet fort.
20 Minutes
par Caroline Vié
Récompensé à Sundance et présenté au Champs-Elysées Film Festival, Come as You Are fait partie de ces films dont on sort à la fois sidéré et galvanisé !
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
La réalisatrice Desiree Akhavan chronique le malaise adolescent avec bienveillance et sans jamais détourner le regard de l’apprentissage identitaire ou sexuel – c’est le cahier des charges du cinéma indépendant américain, bardé de réalisme, jusque dans son image terne, et sulfureux juste ce qu’il faut.
Culturopoing.com
par Xanaé Bove
Un vivifiant plaidoyer pour la différence, nous embarquant sur un chemin de croix quand on préfère gambader hors des sentiers battus.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
LCI
par Jérôme Vermelin et David Verhaeghe
C’est un film fort, autant par son traitement que par son sujet.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Figaro
par La Rédaction
À travers son héroïne, magnifiquement interprétée par Chloë Grace Moretz, la cinéaste offre un hymne à la liberté et à l'identité, en maniant à merveille l'ironie contre les conventions.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Irradié par le doux visage juvénile et la sensualité de Chloë Grace Moretz, « Come as you are » met la lumière sur ces établissements religieux et archaïques qui existent toujours aujourd’hui aux Etats-Unis. Il aborde avec subtilité la question de la découverte, par des adolescents, de leur homosexualité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Voici
par Daniel Blois
Ce drame militant contre les "thérapies" de conversion vise juste.
Ecran Large
par Geoffrey Crété
"Come as You Are" manque de profondeur, survole le sujet et les personnages. Mais grâce à ses acteurs et notamment Chloë Grace Moretz et Sasha Lane, le film trouve un peu de beauté et force au passage.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Nicolas Schaller
Loin des clichés, le film reste sur les rails d'un cinéma indépendant américain qui tient sur ses acteurs plus que sur ses intuitions de mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Le festival de Sundance a salué cette immersion suffocante et réaliste dans un centre de conversion sexuelle pour homos. Finement écrites, jamais manichéennes, les mésaventures de la jeune Cameron donnent à voir une facette méconnue de l’Amérique.
Positif
par Bernard Génin
Film salubre donc, mais qui manque un peu de punch.
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Que l'arrivée de Cameron au centre constitue pour elle une menace autant que l'occasion paradoxale de son développement, c'est ce que le film tente d'établir, avec assez de finesse. Mais il se trouve aussi un peu étouffé par son sujet, auquel se trouvent raccordées toutes les situations, et qui serre d'un peu trop près la représentation de cette petite communaute
L'Humanité
par Vincent Ostria
Sujet à la mode pour un film schématique, tant sur le plan du récit en pointillés qu’en ce qui concerne les personnages, peu expressifs. Notamment l’héroïne assez mutique incarnée par Chloé Grace Moretz, ou sa condisciple, jouée par Sasha Lane, aux antipodes de la flamboyance de son personnage mémorable d’“American honey”.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Murielle Joudet
S’il aborde un sujet assez original, le film ne parvient pas à dépasser le stade du teen movie plaisant frôlant parfois la mièvrerie.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Un tel sujet aurait mérité une vision moins simpliste.
Ouest France
par La Rédaction
Malgré la prestation de touchante de Chloë Grace Moretz, le film ne parvient pas à convaincre.
Première
par Thierry Chèze
Desiree Akhavan réussit à installer le cadre de son récit sans mièvrerie et ne circonscrit jamais ses différents personnages à de simples figures archétypales. Seulement une fois passée une entrée en matière convaincante, son film peine à changer de braquet : les situations ont tendance à se répéter et l’action à faire du surplace.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Desiree Akhavan a trouvé un sujet troublant : les centres dans lesquels les jeunes homosexuels américains apprennent à "rentrer dans l’ordre". Pourtant son film n’ose jamais pointer du doigt le caractère déshumanisant de ces lieux, symboles d’un puritanisme abject.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un sujet intéressant mais gâché par une mise en scène sans personnalité, une intrigue cousue de fil blanc et des personnages archétypaux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Anne Diatkine
Ce n’est pas très bon signe, quand, regardant un film, on passe son temps à se demander ce qu’il faudrait faire pour l’améliorer. C’est malheureusement ce qui (nous) arrive lors de la projection de Come as You Are
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Frédéric Strauss
Soucieuse d’envoyer un message rassurant aux jeunes spectateurs qui pourraient se sentir concernés, la réalisatrice signe un film pour ados souvent simplificateur, où les abus dévastateurs de la « cure » n’empêchent pas de rester cool.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Femme Actuelle
Un film magnifique qui aborde avec subtilité un sujet fort.
20 Minutes
Récompensé à Sundance et présenté au Champs-Elysées Film Festival, Come as You Are fait partie de ces films dont on sort à la fois sidéré et galvanisé !
CinemaTeaser
La réalisatrice Desiree Akhavan chronique le malaise adolescent avec bienveillance et sans jamais détourner le regard de l’apprentissage identitaire ou sexuel – c’est le cahier des charges du cinéma indépendant américain, bardé de réalisme, jusque dans son image terne, et sulfureux juste ce qu’il faut.
Culturopoing.com
Un vivifiant plaidoyer pour la différence, nous embarquant sur un chemin de croix quand on préfère gambader hors des sentiers battus.
LCI
C’est un film fort, autant par son traitement que par son sujet.
Le Figaro
À travers son héroïne, magnifiquement interprétée par Chloë Grace Moretz, la cinéaste offre un hymne à la liberté et à l'identité, en maniant à merveille l'ironie contre les conventions.
Le Parisien
Irradié par le doux visage juvénile et la sensualité de Chloë Grace Moretz, « Come as you are » met la lumière sur ces établissements religieux et archaïques qui existent toujours aujourd’hui aux Etats-Unis. Il aborde avec subtilité la question de la découverte, par des adolescents, de leur homosexualité.
Voici
Ce drame militant contre les "thérapies" de conversion vise juste.
Ecran Large
"Come as You Are" manque de profondeur, survole le sujet et les personnages. Mais grâce à ses acteurs et notamment Chloë Grace Moretz et Sasha Lane, le film trouve un peu de beauté et force au passage.
L'Obs
Loin des clichés, le film reste sur les rails d'un cinéma indépendant américain qui tient sur ses acteurs plus que sur ses intuitions de mise en scène.
Les Fiches du Cinéma
Le festival de Sundance a salué cette immersion suffocante et réaliste dans un centre de conversion sexuelle pour homos. Finement écrites, jamais manichéennes, les mésaventures de la jeune Cameron donnent à voir une facette méconnue de l’Amérique.
Positif
Film salubre donc, mais qui manque un peu de punch.
Cahiers du Cinéma
Que l'arrivée de Cameron au centre constitue pour elle une menace autant que l'occasion paradoxale de son développement, c'est ce que le film tente d'établir, avec assez de finesse. Mais il se trouve aussi un peu étouffé par son sujet, auquel se trouvent raccordées toutes les situations, et qui serre d'un peu trop près la représentation de cette petite communaute
L'Humanité
Sujet à la mode pour un film schématique, tant sur le plan du récit en pointillés qu’en ce qui concerne les personnages, peu expressifs. Notamment l’héroïne assez mutique incarnée par Chloé Grace Moretz, ou sa condisciple, jouée par Sasha Lane, aux antipodes de la flamboyance de son personnage mémorable d’“American honey”.
Le Monde
S’il aborde un sujet assez original, le film ne parvient pas à dépasser le stade du teen movie plaisant frôlant parfois la mièvrerie.
Les Inrockuptibles
Un tel sujet aurait mérité une vision moins simpliste.
Ouest France
Malgré la prestation de touchante de Chloë Grace Moretz, le film ne parvient pas à convaincre.
Première
Desiree Akhavan réussit à installer le cadre de son récit sans mièvrerie et ne circonscrit jamais ses différents personnages à de simples figures archétypales. Seulement une fois passée une entrée en matière convaincante, son film peine à changer de braquet : les situations ont tendance à se répéter et l’action à faire du surplace.
aVoir-aLire.com
Desiree Akhavan a trouvé un sujet troublant : les centres dans lesquels les jeunes homosexuels américains apprennent à "rentrer dans l’ordre". Pourtant son film n’ose jamais pointer du doigt le caractère déshumanisant de ces lieux, symboles d’un puritanisme abject.
Le Journal du Dimanche
Un sujet intéressant mais gâché par une mise en scène sans personnalité, une intrigue cousue de fil blanc et des personnages archétypaux.
Libération
Ce n’est pas très bon signe, quand, regardant un film, on passe son temps à se demander ce qu’il faudrait faire pour l’améliorer. C’est malheureusement ce qui (nous) arrive lors de la projection de Come as You Are
Télérama
Soucieuse d’envoyer un message rassurant aux jeunes spectateurs qui pourraient se sentir concernés, la réalisatrice signe un film pour ados souvent simplificateur, où les abus dévastateurs de la « cure » n’empêchent pas de rester cool.