Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Bande à part
par Olivier Bombarda
"Capharnaüm" de Nadine Labaki, Prix du Jury à Cannes 2018, est une œuvre bouleversante sur le thème de l’enfance maltraitée. S’il déchaîne pleurs et passions – certains détracteurs se sentant « manipulés » – le film lance aussi un débat sur le sort des réfugiés.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Express
par Christophe Carrière
C'est prenant, haletant même, un poil surligné par la musique, mais cela reste du cinéma fort, concernant et romanesque.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Par une mise en scène au plus près de ses acteurs qui jouent leur propre rôle, la réalisatrice libanaise Nadine Labaki signe l’une des plus belles œuvres sur l’enfance mal aimée.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
Capharnaüm, c’est un peu Oliver Twist ou Les Misérables de nos jours au Proche-Orient : une fable hyperréaliste, dense et émouvante, sur l’errance d’un gamin livré à lui-même dans les rues de Beyrouth.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
BIBA
par Lili Yubari
Impossible de rester de marbre devant ce mélo effervescent [...].
CNews
par La rédaction
[une] œuvre forte et dérangeante [...].
Elle
par Khadija Moussou
« Capharnaüm » est un film sans retenue, sans pudeur. Il montre l’enfance abîmée et dénonce les failles d’une société qui oublie d’être humaine. Surtout : il pointe du doigt les dégâts occasionnés par la guerre en Syrie.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Un film poignant.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Beau sujet, dans lequel s’engouffrent la condition féminine, la misère, les mœurs d’une société libanaise déphasée et un message humaniste dans les paroles et le regard d’un enfant devenu adulte avant l’âge. Puissant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
[...] une histoire d’une puissance émotionnelle rare, même si parfois un peu démonstrative.
Le Parisien
par La Rédaction
Choquée par cette plongée en apnée dans l’insupportable vérité, une grosse partie de la critique a cherché la petite bête à la réalisatrice en lui reprochant quelques coquetteries esthétiques qu’elle a gommées dans une version resserrée de 10 minutes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marie Claire
par Emily Barnett
"Capharnaüm", prix du Jury à Cannes, aurait pu être lacrymal mais Nadine Labaki a donné du souffle à son film. Celui de la saine révolte. Il nous a galvanisées.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un film légèrement trop long mais terriblement émouvant.
Télérama
par Guillemette Odicino
POUR : Aujourd’hui, grâce au film, le gamin et sa famille s’apprêtent à s’installer en Norvège, et il va pouvoir aller à l’école. Cet enfant au jeu si puissant a gagné son procès contre l’injustice du monde.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
"Capharnaüm" jouit d'une véritable énergie grâce à sa mise en scène brute et son jeune comédien déterminé. Dommage qu'il tombe au fur et à mesure dans un misérabilisme larmoyant qui balaie toutes ses bonnes intentions humanistes voire les remet en question.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Thomas Sotinel
Nadine Labaki met en scène, avec une grande force romanesque, un drame familial de la pauvreté.
Paris Match
par Yannick Vely
[...] un mélodrame efficace mais aux intentions surlignées [...].
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un mélodrame social qui martèle son message avec une telle vigueur qu’on entend davantage le bruit du marteau que le sens du message.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Anne Diatkine
Bourré d’effets, le troisième film de Nadine Labaki sur l’errance d’un gamin dans les rues libanaises peine à convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Olivier De Bruyn
Démonstrative et jamais économe de ses effets, Nadine Labaki [...] traite avec maladresse un sujet qui s'accommode mal de l'emphase et de l'insistance mélodramatique.
Première
par Christophe Carrière
La barre est un peu haute pour la réalisatrice qui n’évite pas toujours la sensiblerie et un esthétisme déplacé. On lui sait cependant gré de ne pas condamner ses personnages, victimes de leur condition et artisans de leur propre malheur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Même si on est sensible au mélange de détresse et de résolution de Zain, gamin ingénieux et à bout de forces, on a du mal avec une telle insistance dans le pathos.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par Daniel Blois
Cette observation du quotidien d'enfants des rues met son énergie au service d'images chocs contre-productives et d'un pathos parfois révoltant.
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Énième mélodrame urbain dénonçant la détresse des enfants dans les bidonvilles de notre globe, le film de Nabine Labaki confond emphase et empathie, avec une lourdeur qui est celle des ratés du genre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
L’épaisseur misérabiliste confine vite au poverty porn.
Critikat.com
par Josué Morel
Ce qui pourrait faire la singularité du film (observer des enfants) reste dans les faits toujours soumis à un discours, sommaire et démagogue, plus qu’à un regard de cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par La Rédaction
Tourné dans Beyrouth et ses bidonvilles, réalisé à la truelle, ce mélo d'une lourdeur agaçante n'épargne aucun sujet misérabiliste: immigration, pauvreté, injustice sociale, enfants maltraités et abandonnés à leur sort, condition des femmes et des filles, on en passe.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
"Capharnaüm" est une spectacularisation de la misère dont les gros(siers) moyens ont rarement semblé aussi peu en adéquation avec l’aspect sociopolitique dont le film tend à se vêtir.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Jacques Morice
CONTRE : Capharnaüm baigne dans une eau bien trop crapoteuse pour échapper à la vieille complaisance du misérabilisme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
"Capharnaüm" de Nadine Labaki, Prix du Jury à Cannes 2018, est une œuvre bouleversante sur le thème de l’enfance maltraitée. S’il déchaîne pleurs et passions – certains détracteurs se sentant « manipulés » – le film lance aussi un débat sur le sort des réfugiés.
L'Express
C'est prenant, haletant même, un poil surligné par la musique, mais cela reste du cinéma fort, concernant et romanesque.
La Croix
Par une mise en scène au plus près de ses acteurs qui jouent leur propre rôle, la réalisatrice libanaise Nadine Labaki signe l’une des plus belles œuvres sur l’enfance mal aimée.
20 Minutes
Capharnaüm, c’est un peu Oliver Twist ou Les Misérables de nos jours au Proche-Orient : une fable hyperréaliste, dense et émouvante, sur l’errance d’un gamin livré à lui-même dans les rues de Beyrouth.
BIBA
Impossible de rester de marbre devant ce mélo effervescent [...].
CNews
[une] œuvre forte et dérangeante [...].
Elle
« Capharnaüm » est un film sans retenue, sans pudeur. Il montre l’enfance abîmée et dénonce les failles d’une société qui oublie d’être humaine. Surtout : il pointe du doigt les dégâts occasionnés par la guerre en Syrie.
Femme Actuelle
Un film poignant.
Franceinfo Culture
Beau sujet, dans lequel s’engouffrent la condition féminine, la misère, les mœurs d’une société libanaise déphasée et un message humaniste dans les paroles et le regard d’un enfant devenu adulte avant l’âge. Puissant.
Le Journal du Dimanche
[...] une histoire d’une puissance émotionnelle rare, même si parfois un peu démonstrative.
Le Parisien
Choquée par cette plongée en apnée dans l’insupportable vérité, une grosse partie de la critique a cherché la petite bête à la réalisatrice en lui reprochant quelques coquetteries esthétiques qu’elle a gommées dans une version resserrée de 10 minutes.
Marie Claire
"Capharnaüm", prix du Jury à Cannes, aurait pu être lacrymal mais Nadine Labaki a donné du souffle à son film. Celui de la saine révolte. Il nous a galvanisées.
Ouest France
Un film légèrement trop long mais terriblement émouvant.
Télérama
POUR : Aujourd’hui, grâce au film, le gamin et sa famille s’apprêtent à s’installer en Norvège, et il va pouvoir aller à l’école. Cet enfant au jeu si puissant a gagné son procès contre l’injustice du monde.
Ecran Large
"Capharnaüm" jouit d'une véritable énergie grâce à sa mise en scène brute et son jeune comédien déterminé. Dommage qu'il tombe au fur et à mesure dans un misérabilisme larmoyant qui balaie toutes ses bonnes intentions humanistes voire les remet en question.
Le Monde
Nadine Labaki met en scène, avec une grande force romanesque, un drame familial de la pauvreté.
Paris Match
[...] un mélodrame efficace mais aux intentions surlignées [...].
Les Fiches du Cinéma
Un mélodrame social qui martèle son message avec une telle vigueur qu’on entend davantage le bruit du marteau que le sens du message.
Libération
Bourré d’effets, le troisième film de Nadine Labaki sur l’errance d’un gamin dans les rues libanaises peine à convaincre.
Positif
Démonstrative et jamais économe de ses effets, Nadine Labaki [...] traite avec maladresse un sujet qui s'accommode mal de l'emphase et de l'insistance mélodramatique.
Première
La barre est un peu haute pour la réalisatrice qui n’évite pas toujours la sensiblerie et un esthétisme déplacé. On lui sait cependant gré de ne pas condamner ses personnages, victimes de leur condition et artisans de leur propre malheur.
Sud Ouest
Même si on est sensible au mélange de détresse et de résolution de Zain, gamin ingénieux et à bout de forces, on a du mal avec une telle insistance dans le pathos.
Voici
Cette observation du quotidien d'enfants des rues met son énergie au service d'images chocs contre-productives et d'un pathos parfois révoltant.
aVoir-aLire.com
Énième mélodrame urbain dénonçant la détresse des enfants dans les bidonvilles de notre globe, le film de Nabine Labaki confond emphase et empathie, avec une lourdeur qui est celle des ratés du genre.
Cahiers du Cinéma
L’épaisseur misérabiliste confine vite au poverty porn.
Critikat.com
Ce qui pourrait faire la singularité du film (observer des enfants) reste dans les faits toujours soumis à un discours, sommaire et démagogue, plus qu’à un regard de cinéaste.
Le Figaro
Tourné dans Beyrouth et ses bidonvilles, réalisé à la truelle, ce mélo d'une lourdeur agaçante n'épargne aucun sujet misérabiliste: immigration, pauvreté, injustice sociale, enfants maltraités et abandonnés à leur sort, condition des femmes et des filles, on en passe.
Les Inrockuptibles
"Capharnaüm" est une spectacularisation de la misère dont les gros(siers) moyens ont rarement semblé aussi peu en adéquation avec l’aspect sociopolitique dont le film tend à se vêtir.
Télérama
CONTRE : Capharnaüm baigne dans une eau bien trop crapoteuse pour échapper à la vieille complaisance du misérabilisme.