Note moyenne
2,7
21 titres de presse
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Femme Actuelle
Adaptée d'un roman de David Foenkinos, une comédie alerte et actuelle, portée par Eric Elmosnino, épatant.
Le Dauphiné Libéré
On peut certes se dire que le mélange des tons et la structure un peu disparate d’un récit plus constitué de saynètes que d’une dramaturgie linéaire donnent au film un côté curieusement déhanché. Mais, à bien y réfléchir, pour traduire la nature profonde du mal de dos, ce déhanchement même ne manque finalement pas de pertinence.
Les Fiches du Cinéma
Une comédie réjouissante , servie par une pléiade d’acteurs talentueux.
Marianne
Dans un cinéma français qui fait souvent preuve d'une désolante inspiration quand il aborde les rives du divertissement, l'humour grinçant et singulier du metteur en scène justifie les louanges. Un film idéal pour conjurer ses idées noires.
Bande à part
Jean-Pierre Améris concocte une comédie douce-amère réflexive et drôle.
CNews
Après "Une famille à louer", Jean-Pierre Améris signe une troisième comédie ubuesque et caustique, librement adaptée du roman de David Foenkinos.
La Croix
Jean-Pierre Améris adapte un roman de David Foenkinos sur un architecte souffrant d’un terrible mal de dos dans la tonalité bienveillante et légère de l’écrivain.
Le Journal du Dimanche
Sur le ton de la fable, Jean-Pierre Améris se moque de nos travers pour nous rappeler qu’il faut prendre le temps de s’écouter pour mieux savoir dire non.
Ouest France
Une comédie un peu théâtrale, à peine grinçante, un brin misanthrope.
Positif
Fidèle aux thèmes de ses fictions précédentes (...), Jean-Pierre Améris met en scène avec un humour mélancolique le parcours de son personnage principal et entraîne dans un récit qui, malgré des baisses de rythme et des protagonistes secondaires caricaturaux, fait preuve d'un esprit et d'une drôlerie qui distinguent le film dans le paysage si souvent désolant de la comédie hexagonale.
Voici
Une gentille comédie douce-amère.
aVoir-aLire.com
Une comédie tendre et décalée qui va bien.
Critikat.com
(...) si le principe comique d’un homme frustré qui tombe dans l’excès du dévoilement est plutôt intéressant, le film fait preuve d’une certaine littéralité en l’explorant.
L'Obs
Un "Malade imaginaire" contemporain, où l'on peine à retrouver la finesse d'exécution de l'auteur des "Emotifs anonymes".
La Voix du Nord
Le réalisateur Jean-Pierre Améris réunit un casting séduisant (Éric Elmosnino, Alice Pol, François Berléand...) dans une comédie douce amère qui sacrifie son propre potentiel comique et ne trouve pas le bon tempo. Dommage.
Le Figaro
Une comédie à deux temps, sympathique d'abord, trop molle ensuite. Améris a de la sensibilité. Et s'il essayait le punch?
Le Monde
Passant à grands coups de barre de la caricature extrême à l’onirisme excessif, réalisateur et interprète produisent tant de dissonances que l’on peine à entendre la petite musique mélancolique qu’on croit parfois deviner.
Studio Ciné Live
Améris lorgne ici vers "Les émotifs anonymes", dont il ne retrouve que très partiellement le charme et la délicieuse fantaisie.
Télérama
Eric Elmosnino se révèle un interprète idéal pour ce genre de comédie en sourdine. Mais le trait se veut si léger que tout reste un peu lisse.
L'Express
Les scènes s'enchaînent sans lien, les dialogues sont d'une platitude abyssale.
Première
Le récit reste trop sage, ne sort jamais des sentiers battus et rebattus.