Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Gastambide surprend par sa sobriété face à Alice Isaaz et Hippolyte Girardot.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Impressionnant Franck Gastambide qu’on croisait il y a deux ans à peine à Pattaya en train de parler wesh-wesh avec sa bande de Kaïra. Le voici ce mercredi dans la peau d’un loser magnifique comme les adore le cinéma, surtout lorsque la caméra fait preuve de pudeur.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Deux solitudes marginales qui se croisent, dans un film qui regarde le sport sous un angle original et va chercher derrière les projecteurs brillants de l’avant-scène l’ombre des coulisses, à travers un personnage de laisser sur la touche, mesurant la médiocrité de son existence à l’aune de ses rêves perdus.
Le Parisien
par Catherine Balle
Ce n'est pas un film sur le foot, mais il en dit beaucoup sur le milieu du ballon rond.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marianne
par Olivier de Bruyn
Une des bonnes nouvelles de la rentrée du côté cinéma français.
Première
par Damien Leblanc
Il fallait bien la force intranquille de Franck Gastambide, parfait en gardien du temple déphasé, pour transformer cette chronique footballistique en puissant drame sur la révolte existentielle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
(...) un très beau premier film.
Voici
par La Rédaction
Ce n'est pas un film pour fans de crampons sur gazon, mais c'est sur le terrain social viril du foot, l'envers du décor, que se joue l'histoire de Frank.
L'Express
par Antoine Le Fur
A la fois très documentée et plutôt banale, "La Surface de réparation" vaut néanmoins le détour pour Franck Gastambide, qui trouve ici son meilleur rôle.
La Croix
par Céline Rouden
Cette chronique sociale douce-amère a pour elle de ne jamais tomber dans la facilité ni la caricature. Il n’est pas question ici de charge contre le « foot business ».
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Pour son premier long-métrage, Christian Regin fait preuve d'une certaine audace.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
En dépit de quelques longueurs, ce premier long métrage atteint son but : explorer les coulisses peu reluisantes du football sans verser dans la caricature et en parvenant à rendre cinématographique un milieu opaque.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
Aussi à l’aise qu’il soit pour dépeindre une condition, Christophe Régin est plus emprunté quand il s’agit de la mettre en mouvement. (...) Il n’empêche, il a donné pendant une heure et demie une réalité et une humanité inédites à une situation que l’on n’entrevoit souvent qu’à travers les titres racoleurs de sites spécialisés dans les frasques des célébrités.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Ancien espoir du FC Nantes, Franck, qui n’est jamais parvenu à passer pro, végète depuis dans l’ombre du club... Un premier long métrage au scénario un chouïa démonstratif, mais qui dresse le portrait émouvant d’un trentenaire à la croisée des chemins.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Souffrant d’un petit coup de mou dramaturgique en son milieu mais bien soutenu par un bon casting, dont un Franck Gastambide tout en virilité fine et sensible, ce joli film plaira à tous ceux qui aiment le foot comme un jeu et éventuellement un commerce de proximité, tout en se défiant du barnum ultralibéral qu’il est devenu à son sommet.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Intéressant mais trop appliqué.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé Loisirs
par Emilie Meunier
Franck Gastambide (...) se révèle juste et poignant dans ce rôle à contre-emploi.
Télérama
par Samuel Douhaire
Franck Gastambide, l’auteur-acteur des Kaïra, se sort avec les honneurs de son premier grand rôle dramatique. Mais il se fait voler la vedette par Alice Isaaz, bluffante en intrigante de vestiaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Sensible aux difficultés nées de l’interruption brutale de carrières sportives pourtant promises au succès, le réalisateur et scénariste Christophe Régin pose un regard lucide et douloureux sur les coulisses du foot, loin de l’univers bling-bling dans lequel il baigne habituellement.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Thomas Choury
Cette obligation de « faire récit » a pour conséquence de cantonner La Surface de réparation à un téléfilm de luxe, gonflé pour le grand écran, où les figures imposées de production (casting télévisuel, rebondissements pondérés, lissage numérique) nécessitent une infrastructure réaliste particulièrement simplifiée, voire schématique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Franck Gastambide et Alice Isaaz collent à leurs personnages, la peinture du club de province et de ses coulisses est très convaincante, mais il manque un regard, ce je-ne-sais-quoi qui distingue le travail bien fait du film réussi.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
20 Minutes
Gastambide surprend par sa sobriété face à Alice Isaaz et Hippolyte Girardot.
La Voix du Nord
Impressionnant Franck Gastambide qu’on croisait il y a deux ans à peine à Pattaya en train de parler wesh-wesh avec sa bande de Kaïra. Le voici ce mercredi dans la peau d’un loser magnifique comme les adore le cinéma, surtout lorsque la caméra fait preuve de pudeur.
Le Dauphiné Libéré
Deux solitudes marginales qui se croisent, dans un film qui regarde le sport sous un angle original et va chercher derrière les projecteurs brillants de l’avant-scène l’ombre des coulisses, à travers un personnage de laisser sur la touche, mesurant la médiocrité de son existence à l’aune de ses rêves perdus.
Le Parisien
Ce n'est pas un film sur le foot, mais il en dit beaucoup sur le milieu du ballon rond.
Marianne
Une des bonnes nouvelles de la rentrée du côté cinéma français.
Première
Il fallait bien la force intranquille de Franck Gastambide, parfait en gardien du temple déphasé, pour transformer cette chronique footballistique en puissant drame sur la révolte existentielle.
Studio Ciné Live
(...) un très beau premier film.
Voici
Ce n'est pas un film pour fans de crampons sur gazon, mais c'est sur le terrain social viril du foot, l'envers du décor, que se joue l'histoire de Frank.
L'Express
A la fois très documentée et plutôt banale, "La Surface de réparation" vaut néanmoins le détour pour Franck Gastambide, qui trouve ici son meilleur rôle.
La Croix
Cette chronique sociale douce-amère a pour elle de ne jamais tomber dans la facilité ni la caricature. Il n’est pas question ici de charge contre le « foot business ».
Le Figaro
Pour son premier long-métrage, Christian Regin fait preuve d'une certaine audace.
Le Journal du Dimanche
En dépit de quelques longueurs, ce premier long métrage atteint son but : explorer les coulisses peu reluisantes du football sans verser dans la caricature et en parvenant à rendre cinématographique un milieu opaque.
Le Monde
Aussi à l’aise qu’il soit pour dépeindre une condition, Christophe Régin est plus emprunté quand il s’agit de la mettre en mouvement. (...) Il n’empêche, il a donné pendant une heure et demie une réalité et une humanité inédites à une situation que l’on n’entrevoit souvent qu’à travers les titres racoleurs de sites spécialisés dans les frasques des célébrités.
Les Fiches du Cinéma
Ancien espoir du FC Nantes, Franck, qui n’est jamais parvenu à passer pro, végète depuis dans l’ombre du club... Un premier long métrage au scénario un chouïa démonstratif, mais qui dresse le portrait émouvant d’un trentenaire à la croisée des chemins.
Les Inrockuptibles
Souffrant d’un petit coup de mou dramaturgique en son milieu mais bien soutenu par un bon casting, dont un Franck Gastambide tout en virilité fine et sensible, ce joli film plaira à tous ceux qui aiment le foot comme un jeu et éventuellement un commerce de proximité, tout en se défiant du barnum ultralibéral qu’il est devenu à son sommet.
Libération
Intéressant mais trop appliqué.
Télé Loisirs
Franck Gastambide (...) se révèle juste et poignant dans ce rôle à contre-emploi.
Télérama
Franck Gastambide, l’auteur-acteur des Kaïra, se sort avec les honneurs de son premier grand rôle dramatique. Mais il se fait voler la vedette par Alice Isaaz, bluffante en intrigante de vestiaire.
aVoir-aLire.com
Sensible aux difficultés nées de l’interruption brutale de carrières sportives pourtant promises au succès, le réalisateur et scénariste Christophe Régin pose un regard lucide et douloureux sur les coulisses du foot, loin de l’univers bling-bling dans lequel il baigne habituellement.
Critikat.com
Cette obligation de « faire récit » a pour conséquence de cantonner La Surface de réparation à un téléfilm de luxe, gonflé pour le grand écran, où les figures imposées de production (casting télévisuel, rebondissements pondérés, lissage numérique) nécessitent une infrastructure réaliste particulièrement simplifiée, voire schématique.
L'Obs
Franck Gastambide et Alice Isaaz collent à leurs personnages, la peinture du club de province et de ses coulisses est très convaincante, mais il manque un regard, ce je-ne-sais-quoi qui distingue le travail bien fait du film réussi.