Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Dans la veine deNos étoiles contraires, romantisme et maladie sont au menu de ce mélodrame destiné aux adolescents.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Au premier abord, ce mélodrame sentimental pour ados s’avère attendrissant, naïf et parfaitement inoffensif. Jusqu’à un rebondissement cruel et retors, qui donne une tout autre dimension au récit. Amandla Stenberg, fraîche et innocente, irradie à l’écran.
Le Monde
par Murielle Joudet
Derrière le conte, on peut s’amuser à déceler une métaphore sur l’entrée de deux jeunes gens dans la vie adulte avec les risques qu’elle comporte. Il est pourtant dommage que le film délaisse en chemin la violence de son sujet (l’amour dans la maladie) au profit d’un retournement artificiel et d’un « happy end » censé rassurer le jeune public.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Elsa Badenelli
Adapté d’un roman pour ados, ce film-guimauve affiche un couple mixte, cache quelques saveurs poivrées et raconte mine de rien un amour monstre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Jacques Morice
C'est romantique et mielleux à souhait, malgré le danger microbien et un retournement final aussi brutal que libérateur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Dauphiné Libéré
Dans la veine deNos étoiles contraires, romantisme et maladie sont au menu de ce mélodrame destiné aux adolescents.
Le Journal du Dimanche
Au premier abord, ce mélodrame sentimental pour ados s’avère attendrissant, naïf et parfaitement inoffensif. Jusqu’à un rebondissement cruel et retors, qui donne une tout autre dimension au récit. Amandla Stenberg, fraîche et innocente, irradie à l’écran.
Le Monde
Derrière le conte, on peut s’amuser à déceler une métaphore sur l’entrée de deux jeunes gens dans la vie adulte avec les risques qu’elle comporte. Il est pourtant dommage que le film délaisse en chemin la violence de son sujet (l’amour dans la maladie) au profit d’un retournement artificiel et d’un « happy end » censé rassurer le jeune public.
Les Fiches du Cinéma
Adapté d’un roman pour ados, ce film-guimauve affiche un couple mixte, cache quelques saveurs poivrées et raconte mine de rien un amour monstre.
Télérama
C'est romantique et mielleux à souhait, malgré le danger microbien et un retournement final aussi brutal que libérateur.