Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Bande à part
par Pierre Charpilloz
Le film de Mehdi Ben Attia est à l'image d'Amel, son héroïne : jeune, moderne et résolument libre.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Fort de sa douce audace, ce film intimiste expose les ambivalences et les vertiges d’une société écartelée entre révolution et indolence, promesses et secrets.
Le Parisien
par Marine Quinchon
L’esthétique du film repose largement sur ces séquences dans lesquelles les hommes s’abandonnent lascivement devant l’objectif. C’est beau, sensuel, chargé de tension.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Audacieux dans son inversion du rapport de force communément établi entre désirant et désiré, un beau portrait de femme, sensiblement porté par Hafsia Herzi.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Critikat.com
par Clément Graminiès
Une fois dépassée la question problématique de l'usage artificiel de l'appareil photo, L'Amour des hommes (...) se livre à une caressante apologie du corps masculin qui ne confine jamais au voyeurisme ou à l'exhibition gratuite.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
Un long métrage délicat et audacieux qui, en inversant les regards, en assumant avec Amel son désir des hommes, participe au long changement des mentalités.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Express
par Antoine Le Fur
Tel un peintre, il montre des corps d'une beauté stupéfiante et offre à Hafsia Herzi l'un de ses meilleurs rôles. Quel dommage que l'histoire perde de son intensité dans sa seconde moitié.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Porté de bout en bout par l'impériale Hafsia Herzi, le troisième film de Mehdi Ben Attia se contente d'être juste, mais il se garde, et c'est dommage, d'être vraiment scandaleux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Avec le passage de photographies d’elle-même à celles des hommes, ce beau portrait de femme explore avec sensibilité la reconstruction après un deuil et l’ouverture à autrui.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une réalisation parfois un peu lourde, pour un sujet fort, qui dévoile et dénude le corps des hommes dans un pays qui voile et couvre le corps des femmes.
Le Monde
par Murielle Joudet
Entre le noir et le blanc, L’Amour des hommes a la grande délicatesse de s’en tenir au gris.
Première
par Thierry Chèze
Passionnant portrait de femme, L’amour des hommes est aussi un film d’une grande sensualité où Ben Attia dénude les corps masculins sans fausse pudeur ni placer à l’inverse le spectateur en position de voyeur. Avec les yeux piquants et perçants de son héroïne donc.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
par Anne Diatkine
Trop simpliste et manquant de rythme (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Bernard Génin
(...) le cinéaste n'évite pas les poncifs, le scénario s'égarant à plusieurs reprises (...).
Sud Ouest
par Sophie Avon
Film audacieux et d’une détermination sans failles, « L’amour des hommes » se laisse pourtant prendre au piège d’une intrigue un peu courte, en manque de rebondissement, et dont Mehdi Ben Attia ne parvient pas à faire autre chose qu’un portrait entre deux eaux.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
À force de jongler entre le male et le female gaze, le troisième long métrage de Mehdi Ben Attia joue un double jeu dans lequel il finit par se perdre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Bande à part
Le film de Mehdi Ben Attia est à l'image d'Amel, son héroïne : jeune, moderne et résolument libre.
Le Journal du Dimanche
Fort de sa douce audace, ce film intimiste expose les ambivalences et les vertiges d’une société écartelée entre révolution et indolence, promesses et secrets.
Le Parisien
L’esthétique du film repose largement sur ces séquences dans lesquelles les hommes s’abandonnent lascivement devant l’objectif. C’est beau, sensuel, chargé de tension.
Les Fiches du Cinéma
Audacieux dans son inversion du rapport de force communément établi entre désirant et désiré, un beau portrait de femme, sensiblement porté par Hafsia Herzi.
Critikat.com
Une fois dépassée la question problématique de l'usage artificiel de l'appareil photo, L'Amour des hommes (...) se livre à une caressante apologie du corps masculin qui ne confine jamais au voyeurisme ou à l'exhibition gratuite.
Culturopoing.com
Un long métrage délicat et audacieux qui, en inversant les regards, en assumant avec Amel son désir des hommes, participe au long changement des mentalités.
L'Express
Tel un peintre, il montre des corps d'une beauté stupéfiante et offre à Hafsia Herzi l'un de ses meilleurs rôles. Quel dommage que l'histoire perde de son intensité dans sa seconde moitié.
L'Obs
Porté de bout en bout par l'impériale Hafsia Herzi, le troisième film de Mehdi Ben Attia se contente d'être juste, mais il se garde, et c'est dommage, d'être vraiment scandaleux.
La Croix
Avec le passage de photographies d’elle-même à celles des hommes, ce beau portrait de femme explore avec sensibilité la reconstruction après un deuil et l’ouverture à autrui.
Le Dauphiné Libéré
Une réalisation parfois un peu lourde, pour un sujet fort, qui dévoile et dénude le corps des hommes dans un pays qui voile et couvre le corps des femmes.
Le Monde
Entre le noir et le blanc, L’Amour des hommes a la grande délicatesse de s’en tenir au gris.
Première
Passionnant portrait de femme, L’amour des hommes est aussi un film d’une grande sensualité où Ben Attia dénude les corps masculins sans fausse pudeur ni placer à l’inverse le spectateur en position de voyeur. Avec les yeux piquants et perçants de son héroïne donc.
Libération
Trop simpliste et manquant de rythme (...).
Positif
(...) le cinéaste n'évite pas les poncifs, le scénario s'égarant à plusieurs reprises (...).
Sud Ouest
Film audacieux et d’une détermination sans failles, « L’amour des hommes » se laisse pourtant prendre au piège d’une intrigue un peu courte, en manque de rebondissement, et dont Mehdi Ben Attia ne parvient pas à faire autre chose qu’un portrait entre deux eaux.
Les Inrockuptibles
À force de jongler entre le male et le female gaze, le troisième long métrage de Mehdi Ben Attia joue un double jeu dans lequel il finit par se perdre.