Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Le film se métamorphose, dans une dernière partie terrassante, avec cette virtuosité calme, joueuse et profonde, de Hong Sang-soo, aujourd’hui absolument sans égale : comme si le thème se révélait en dernier, après les variations, pour nous cueillir de son évidence.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Un prodige de film, un petit feu d'artifice en chambre, un petit bijou, une bouffée de bonheur.
Voici
par La Rédaction
Déroutant, singulier, drôle, subtil, touchant.
aVoir-aLire.com
par Claude Rieffel
On est au final ravi par la désarmante simplicité de la démarche, cette manière à la fois malicieusement candide et innocemment retorse d’assumer la banalité (...) et plus que jamais ému par des personnages pas forcement sympathiques au départ (...) mais qui révèlent bien vite une touchante vulnérabilité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Axel Scoffier
Le film tire du quiproquo fondateur bien plus que de la fiction, en mettant non seulement en doute la confiance de Youngsoo et les certitudes des autres galants, mais également celle du spectateur confronté à une incertitude troublante face à ce qu’il voit.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Marie Soyeux
Le cinéaste coréen Hong Sang Soo réalise un intéressant film en trompe-l’œil, à l’héroïne insaisissable.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur un thème qui sous-tend son cinéma, les rapports entre les hommes et les femmes, Hong Sang Soo poursuit dans cette façon toute de minutie qu’il a de capter une réalité qui semble embuée dans les vapeurs de l’alcool et de la désespérance.
Le Figaro
par La Rédaction
Un film sage et troublant, élégant et énigmatique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Film réflexif et schizophrène, plus sombre qu’à l’accoutumée, "Yourself and Yours" prépare pourtant une conclusion bouleversante.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Nouvelle (et très belle) variation autour des motifs chers à Hong Sang-soo.
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Avec finesse et épure, Hong Sang-soo tisse une farce enchanteresse sur les relations d’une femme émancipée et de son fiancé soupçonneux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Et Hong Sang-soo de jouer avec les codes narratifs, de nous faire aimer ses personnages avec trois fois rien, un détail, une réplique, une manière de séduire qui nous rappelle nos propres échecs sentimentaux. Gentil rêveur, le peinte Youngsoo croit au grand Amour envers et contre tous, rêve d'un impossible retour en arrière.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Vincent Thabourey
Que les néophytes se rassurent, "Yourself and Yours" se savoure également pour lui-même, pour l'humour de ses dialogues et de ses situations incongrues, si drôles et si délicates.
Transfuge
par Sidy Sakho
La combinaison entre l'épure de la mise en scène et le déploiement de l'imaginaire fait des merveilles.
Télérama
par Jacques Morice
Faire au plus simple et atteindre une telle profondeur nous laisse pantois.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) plusieurs Minjung se présentent en effet tour à tour, interprétées par la même actrice. Du moins est-ce l'impression produite, car le film ne dispense aucune certitude à ce propos, qui peut paraître gentiment paresseux, mais, par son obstination tranquille, par sa liberté, finit par créer une émotion d'autant plus précieuse que rien ne la laissait entrevoir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Hong Sang-Soo aime les jeux de faux semblants envoûtants. Ici, ils virent au procédé trop mécanique.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
L’ennui s’installe vite, traversé de fulgurances qui évoquent la sensibilité de l’auteur, sans justifier sa démarche d’autorecyclage systématique.
Cahiers du Cinéma
Le film se métamorphose, dans une dernière partie terrassante, avec cette virtuosité calme, joueuse et profonde, de Hong Sang-soo, aujourd’hui absolument sans égale : comme si le thème se révélait en dernier, après les variations, pour nous cueillir de son évidence.
Les Inrockuptibles
Un prodige de film, un petit feu d'artifice en chambre, un petit bijou, une bouffée de bonheur.
Voici
Déroutant, singulier, drôle, subtil, touchant.
aVoir-aLire.com
On est au final ravi par la désarmante simplicité de la démarche, cette manière à la fois malicieusement candide et innocemment retorse d’assumer la banalité (...) et plus que jamais ému par des personnages pas forcement sympathiques au départ (...) mais qui révèlent bien vite une touchante vulnérabilité.
Critikat.com
Le film tire du quiproquo fondateur bien plus que de la fiction, en mettant non seulement en doute la confiance de Youngsoo et les certitudes des autres galants, mais également celle du spectateur confronté à une incertitude troublante face à ce qu’il voit.
La Croix
Le cinéaste coréen Hong Sang Soo réalise un intéressant film en trompe-l’œil, à l’héroïne insaisissable.
Le Dauphiné Libéré
Sur un thème qui sous-tend son cinéma, les rapports entre les hommes et les femmes, Hong Sang Soo poursuit dans cette façon toute de minutie qu’il a de capter une réalité qui semble embuée dans les vapeurs de l’alcool et de la désespérance.
Le Figaro
Un film sage et troublant, élégant et énigmatique.
Le Monde
Film réflexif et schizophrène, plus sombre qu’à l’accoutumée, "Yourself and Yours" prépare pourtant une conclusion bouleversante.
Les Fiches du Cinéma
Nouvelle (et très belle) variation autour des motifs chers à Hong Sang-soo.
Libération
Avec finesse et épure, Hong Sang-soo tisse une farce enchanteresse sur les relations d’une femme émancipée et de son fiancé soupçonneux.
Paris Match
Et Hong Sang-soo de jouer avec les codes narratifs, de nous faire aimer ses personnages avec trois fois rien, un détail, une réplique, une manière de séduire qui nous rappelle nos propres échecs sentimentaux. Gentil rêveur, le peinte Youngsoo croit au grand Amour envers et contre tous, rêve d'un impossible retour en arrière.
Positif
Que les néophytes se rassurent, "Yourself and Yours" se savoure également pour lui-même, pour l'humour de ses dialogues et de ses situations incongrues, si drôles et si délicates.
Transfuge
La combinaison entre l'épure de la mise en scène et le déploiement de l'imaginaire fait des merveilles.
Télérama
Faire au plus simple et atteindre une telle profondeur nous laisse pantois.
L'Obs
(...) plusieurs Minjung se présentent en effet tour à tour, interprétées par la même actrice. Du moins est-ce l'impression produite, car le film ne dispense aucune certitude à ce propos, qui peut paraître gentiment paresseux, mais, par son obstination tranquille, par sa liberté, finit par créer une émotion d'autant plus précieuse que rien ne la laissait entrevoir.
Studio Ciné Live
Hong Sang-Soo aime les jeux de faux semblants envoûtants. Ici, ils virent au procédé trop mécanique.
Le Journal du Dimanche
L’ennui s’installe vite, traversé de fulgurances qui évoquent la sensibilité de l’auteur, sans justifier sa démarche d’autorecyclage systématique.