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    Wonder Wheel
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    Elisabeth G.
    Elisabeth G.

    183 abonnés 1 084 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 février 2018
    Un film aussi raté que la vie de son personnage central. Presque rien à sauver sinon la photographie, fascinante.
    Une critique plus détaillée et d'autres sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 5 février 2018
    Sans intérêt. Beau cadre, mais d’une longueur sans nom. Il ne se passe rien, c’est plat, heureusement les acteurs sont bons. Mais on ne ressent rien : peut-etre parce-qu’il ne se passe rien ? Aucune morale, aucune fin, leçon, ou autre ... c’est naze.
    Stan d
    Stan d

    2 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 février 2018
    Un enfer, Kate Winslet est insupportable, on a envie de la gifler pendant tout le film. Des monologues interminables, des décors cheap, un scénario vide, bref une erreur sur toute la ligne
    temtem29
    temtem29

    3 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 février 2018
    Je suis un fan de Woody Allen mais j’ai trouvé ce film terriblement ennuyeux. Histoire banale, rythme lent, dialogues médiocres. Woody Allen a choisi de ne pas jouer son humour habituel mais il n’a pas non plus souligné le drame de cette histoire. J’ai l’impression que le metteur en scène commence à s’user. Dommage
    btravis1
    btravis1

    108 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 février 2018
    Mélodrame ennuyeux et sans intérêt, filmé et joué de façon théâtrale. Ces derniers temps, Woody Allen multiplie les films sans se réinventer, toujours le même modèle de film qu'il réplique en changeant juste d'époque, de milieu ou de comédien, mais sans avoir une histoire travaillée en fond. Et son prochain film est déjà en boîte !
    JR Les Iffs
    JR Les Iffs

    74 abonnés 1 151 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 décembre 2018
    film plutôt décevant de Woody Allen. Parce que sans doute le scénario est trop convenu et que les personnages sont peu sympathiques et que leur problème a peu d'intérêt. (sauf le moment où les gangsters interviennent). Le reste c'est de la romance à l'eau de rose racontée en plus en voix off par un des protagonistes. Certes c'est assez bien filmé, bien que tout se passe dans le même décor de Coney Island. Trop de discours et une absence de fin ! Les acteurs font un minimum, aucun ne transcende cette histoire. La photographie est belle, et musique et chanson sont de belle qualité. Un Woody Allen très mineur.
    Pauline T
    Pauline T

    30 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 avril 2018
    Je m'accroche à Woody parce qu'il est Woddy... Mais ce film m'a profondément fait ch*er ! Au bout de 20 minutes j'ai compris que la séance serait longue... L'histoire est bien oui, oui, mais au final pas tant que ça. Et cette lumière orange là, pitié ! La plupart du temps elle n'a rien à faire là et elle ne raconte rien ! Des passages du orange vif au bleu profond, on pourrait penser qu'il y a un message derrière, mais non, rien, que dal !
    C'est nul, plat, criard à l'image pour rien, trop de plan séquence tue le plan séquence. Il n'y a que le jeu de Kate pour rattraper le tout...
    Sheridan V.
    Sheridan V.

    16 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 février 2018
    C'est la fin , je suis en ce momment même entrain de le regardé au cinéma et je dois dire que j'ai rarement vu plus nul que ça . Je présume que c'est la dernière dispute après celle de timberlake.
    C'est un supplice de regarde ce film mais je le fait pour pouvoir écrire cette ptit critique.
    Seul les décore son bon. Les Années 50 au bord de plage.
    bref film fini et reste nul .
    3 ème film nul de cette année qui commence tout de même bien.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 333 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 février 2018
    Désolé si ça en choque quelques-uns, mais moi ça fait déjà quelques années que je me désintéresse totalement de Woody Allen. A mes yeux, un peu à l’image d’un Ridley Scott, d’un Mickael Haneke ou d’un Clint Eastwood, ce gars est devenu une sorte de vieux papy qui fait des films par habitude mais sans vraiment plus se soucier de ce qu’il y met dedans ni de comment le public va les recevoir. D’ailleurs, en toute honnêteté, s’il n’y avait pas eu ce casting de rêve, je ne serais sûrement pas venu voir ce « Wonder Wheel ».Et si d'ailleurs je suis allé voir ce film, c'est seulement armé de cette seule joie de voir jouer mes trois petits chouchous : Kate Winslet, Justin Timberlake et Juno Temple. Mais « Bam ! » Finalement le couperet est tombé. La réalité de ce qu’est devenu Woody Allen m’a percuté de plein fouet, et cela bien violemment. La seule première scène a posé l’atmosphère. On commence dans une pièce aux allures de décor de théâtre. Deux actrices déambulent dedans tout en échangeant des phrases cousues de fils blancs. Chaque phrase n’est là que pour donner une information sur la situation ou sur ce que ressent le personnage à l’instant t. C’est purement fonctionnel et artificiel. Puis surgit un troisième larron d’entre le fond vert et la porte en carton. On s’attarde sur lui longuement pendant qu’il fait la pause, comme si le film attendait les applaudissements du public. Et puis de nouvelles tirades fonctionnelles sont lancées. « Ah ma fille ! Comment as-tu pu revenir ici, toi qui es partie il y a cinq ans pour ce jeune gangster ? [Insérer ici une expression faciale qui suggère une colère factice.] – Mais papa. Il faut que tu comprennes. Je sais trop de choses. J’en ai trop dit à la police. Ma vie est menacée. Je n’ai nulle part où aller… [Insérer ici une expression faciale qui suggère une peur factice.] – Moi je n’ai rien à voir avec ça. Où étais-tu quand ta mère est morte il y a cinq ans ? [Insérer ici une expression faciale qui suggère une aigreur factice.]– J’étais amoureuse papa. Je ne me suis jamais reconnu dans les hommes que tu me proposais. Je voulais tellement plus. [Insérer ici une expression faciale qui suggère un tristesse factice.] etc, etc… Cette scène dure des plombes. Elle sonne faux du début jusqu’à la fin. Les plans s’étirent en longueur à l’infini, comme si au fond on s’en foutait du montage. Et le pire c’est qu’on sent que c’est exactement ce que cherche à faire Woody Allen ! Ce film, comme son précédent « Café society », ne semble répondre qu’à un seul désir : celui de reconstituer l’atmosphère désuète des bons vieux films d’antan. Intrigue ? Propos ? Expérimentation formelle et narrative ? Tout ça on s’en fout. Si l’ami Woody a réuni tout ce petit monde, c’est juste pour jouer à la dinette, sauf qu’ici, la fausse cuisinière a été remplacée par par un set de cinéma, et que les aliments en plastiques ont été remplacés quant à eux par acteurs eux-mêmes ! our moi, c’est juste vain. OK, sur dix minutes c’est fun d’observer de jolis décors et voir l’ami Woody jouer avec les loupiottes de la lumière. Mais bon, là aussi, ça devient vraiment lourd à la longue. Une fois ça va, mais trois ou quatre fois en seulement vingt minutes, moi ça m’a donné l’impression d’être avec un vieux papy un peu lourd qui donne des coups de coudes réguliers en répétant sans cesse « Eh petit ! Eh t’as vu ? Lors des moments de confidence, je tourne le petit bitoniau qui fait de la lumière rouge pour qu’on ait l’impression de retrouver les vieux codes narratifs d’avant ! C’est marrant hein ? Hein petit ! » Entre ça, les plans interminables qui filment du blabla comme si on était au théâtre, et toutes les petites notes désuètes forcées afin de se donner un genre, moi j’ai vite saturé. Et puis en fin de compte, même au-delà de tout ça, j’ai malgré tout l’impression qu’il n’y a rien derrière. Je trouve ça juste tellement triste ! Tellement triste de réduire le rôle de Kate Winslet a celui d’une nana qui passe une phrase sur deux à dire textuellement ce qu’elle ressent à l’instant t et tout ça parce que visiblement on n’avait pas envisagé un seul instant qu’elle pouvait avoir des talents d’actrice ! Tellement triste aussi de voir Justin Timberlake réduit au rôle du gars qui fait des gros sourires exagérés dans sa petite combinaison moule-bite vintage ! Tellement triste de voir Juno Temple se réduire au rôle de la pleureuse ! Moi, un seul mot me vient quand je cherche à résumer ce film. Ce mot c’est « gâchis ». Gâchis de talents. Et surtout gâchis de mon temps. Personnellement, j’espère que l’ami Woody ne m’y reprendra pas… Bon alors après, c'est sûr que ce n’est que mon point de vue. Mais bon, si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 10 février 2018
    Normalement, je suis un fan de Woody Allen.
    Mais là, c'est LE film de trop pour Woody Allen. Le scénario, s'il faut utiliser ce terme, est vide. Il n'y a pas d'intrigue, pas d'action, la bande-son est médiocre contrairement aux habitudes de Woody. Les acteurs sont excellents, mais les personnages sans intérêt et les décors sont bien filmés mais mornes.
    Bref, on s'ennuie ferme. A éviter, sauf si on est entré dans le cinéma pour s'abriter des intempéries – et encore, il y a certainement d'autres choix moins décevants.
    philhag
    philhag

    28 abonnés 369 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 février 2018
    Dans les années 50. Un couple recomposé, un enfant chacun, la fille du gars est belle comme un cœur vient de quitter à 25 ans son mec qui est un gangster, le fils de la femme met le feu partout et fuit l'école. la femme est amoureuse d'un maitre nageur dont tombe amoureuse la fille du gars. Ambiance particulière de Coney Island. Musique de jazz. Figurerez vous que c'est un Woody Allen. J'ai du en voir 30 ... c'est le plus mauvais.
    Le professionnel est là, mais aucune âme, aucune émotion, aucun élément notable. Aurait déjà été mieux en noir et blanc. Pour le cinéma de 2018 il aurait du être filmé dans l'Amérique profonde ...
    Il reste le scénariste ... Un film évidemment bavard. Comme si en passant dans une production Amazon, W Allen se sentait juste tenu de faire du Woody Allen. On peut éviter.
    Yves G.
    Yves G.

    1 461 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 février 2018
    À Coney Island, la plage de New York, en juillet 1950 [je ne suis pas peu fier d'avoir retrouvé la date exacte], Ginny (Kate Winslet) vit dans l'amertume de la gloire qu'elle n'a pas conquise sur les planches. Hier actrice prometteuse, aujourd'hui serveuse exténuée, elle est mariée sans amour à Humpty (James Belushi) et s'est prise de passion pour Mickey (Justin Timberlake), un maître nageur plus jeune qu'elle avec qui elle a une liaison.
    C'est alors que déboule Carolina (Juno Temple) la fille de Humpty, recherchée par la mafia, qui va s'amouracher de Mickey au grand dam de Ginny.

    Deux critiques pourraient être à tort adressées à Woody Allen.
    La première concerne sa vie privée qui fait à nouveau scandale, vingt ans après sa séparation fracassante avec Mia Farrow et son mariage avec la fille adoptive de celle-ci. Les faits au cœur de la polémique actuelle ne sont pas nouveaux. Ils remontent à cette époque. Ils concernent Dylan, la fille adoptive de Woody Allen et de Mia Farrow dont celle-ci reproche à celui-là d'avoir abusé alors qu'elle était mineure. Ces accusations prennent un jour nouveau avec l'affaire Weinstein, révélée au grand public par le propre fils de Mia Farrow, le journaliste Ronan Farrow.

    La seconde serait de reprocher au réalisateur octogénaire de tourner en rond, en filmant encore et toujours le même film. Ce serait inférer du générique en police Winston, avec ses acteurs classés par ordre alphabétique et sa petite musique jazzy, une identité qui n'existe pas. Au contraire de Hong San-Soo, de Pedro Almodovar ou de Xavier Dolan, autant de réalisateurs qui font preuve d'une décoiffante productivité, Woody Allen ne se réfugie pas dans la facilité. Loin de s'attacher la fidélité d'un petit cercle d'acteurs abonnés à chacune de ses œuvres, il renouvelle de fond en comble son casting n'hésitant pas à solliciter de futures stars en devenir. Il ne révèle pas des talents inconnus mais il a le don pour choisir dans la jeune génération les plus séduisants. Il a ainsi dirigé Leonardo DiCaprio ("Celebrity"), Julia Roberts ("Tout le monde dit I Love You"), Will Ferrell et Chiwetel Ejiofor ("Melinda et Melinda"), Scarlett Johansson ("Match Point", "Scoop" et "Vicky Cristina Barcelona"), Ewan McGregor et Colin Farrell ("Le Rêve de Cassandre"), Penelope Cruz et Javier Bardem "(Vicky Cristina Barcelona"), Naomi Watts et Antonio Banderas ("Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu"), Owen Wilson et Marion Cotillard ("Midnight in Paris"), Cate Blanchett ("Blue Jasmine"), Emma Stone ("Magic in the Moonlight" et "L'Homme irrationnel"), Jesse Eisenberg, Kristen Stewart et Blake Lively ("Café Society")... Quel réalisateur peut se targuer d'un tel tableau de chasse ?!

    Il faut considérer "Wonder Wheel" indépendamment de ces considérations et prendre le film comme il est.
    Et la vérité oblige à dire qu'il n'est pas bon.

    Woody Allen abandonne le terrain de la comédie pour celui de la tragédie. Il ne fait plus rire.
    Il rompt avec le rythme prestissimo de ces films ramassés et débordants de vitalité pour d'interminables scènes de théâtre filmé, passées de mode depuis le prix Nobel d'Eugen O'Neil. Il fait bâiller d'ennui.
    Il laisse son chef opérateur Vittorio Sotaro - qui a travaillé avec Bertolucci et Coppola - éclairer d'une lumière stromboscopique les interminables monologues de Kate Winslet. Il fait mal aux yeux.

    Allez donc voir "Wonder Wheel" en essayant d'oublier son auteur... ou plutôt n'y allez pas et attendez son prochain en espérant qu'il soit meilleur !
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 561 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 septembre 2020
    Woody Allen a réalisé et écrit le scénario, je n'ai donc pas d'autre choix que de conclure que le dialogue embarrassant surélevé et cliché et la démonstration choquante de la sur action de plusieurs interprètes est directement attribuable au fait qu'Allen ne se soucie de rien sauf de l'éclairage et des angles de caméra. Kate Winslet et Justin Timberlake ont prononcé des lignes mélodramatiques que les personnages qu'ils jouaient ne prononceraient jamais dans la vraie vie. Je sais que nous sommes censés suspendre l'incrédulité lorsque nous sommes au cinéma mais c'était trop demander. Était-ce une première ébauche d'un scénario qui a obtenu l'approbation finale d'une manière ou d'une autre ?. Peut-être le pire était le sur jeu d'acteur de Jim Belushi. J'ai souvent apprécié les performances de Jim Belushi mais vous pouvez voir à quel point il essayait d'être Marlon Brando dans les premières scènes du film. Il n'y avait pas un seul personnage qui m'intéressait dans ce film. Le meilleur était le paysage et même vous deviez vous demander où il était réellement filmé. Il n'y avait rien de nostalgique dans le décor c'était juste une mauvaise pièce de théâtre (comme d'habitude avec Woody Allen)...
    Nath N.
    Nath N.

    6 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 mars 2018
    Même les dialogues que j’adore habituellement chez Woody Allen ne m’ont pas sortie de ma torpeur, malgré le talent de Kate Winslet que j’ai cependant trouvée brillante, et qui en ce sens est sans doute la seule à m’avoir gardée assise sur mon fauteuil. Pour le reste ....??? Quel est l’intérêt de raconter cette histoire ?? Pas compris.
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