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Jim Cummings est un phénomène. Ce trentenaire est scénariste, réalisateur, acteur principal, chanteur et monteur de Thunder Road, comédie délirante au tour d’un flic totalement à l’ouest. Il a remporté le Grand Prix du festival de Deauville pour cette œuvre atypique.
"Thunder Road", c'est la révélation fracassante de Jim Cummings, réalisateur de talent mais surtout acteur incroyable, véritable tornade émotionnelle d'une sincérité, d'une violence et d'une tendresse ahurissantes.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Grand prix du festival de Deauville, ce film au ton inédit évoque avec justesse l’identité masculine dans le sud des États-Unis et révèle le talent multiforme de Jim Cummings.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Portée à bout de bras par Jim Cummings, acteur prodigieux, mais aussi réalisateur, scénariste et producteur, cette chronique réussit à garder intactes, pendant une heure et demie, la tension et la folie du plan-séquence d’anthologie qui ouvre le film.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ce film singulier au ton rugueux et à la multitude de plans-séquences interminables pourrait bien déstabiliser les adeptes d’un cinéma classique mais ravira sans doute ceux qui aiment emprunter les chemins de traverse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
En nous dévoilant par la performance systématique ses fêlures intimes, Jim Cummings semble avoir paradoxalement voulu se mettre à nu tout en bandant les muscles, assumant ses faiblesses pour mieux nous imposer ensuite ses coups de force stéroïdés.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Passée la séduisante désinvolture de ton de cette ouverture tonitruante entre rire jaune, drame social et coup de pied dans la fourmilière des conventions, la dramédie s’étiole, faute de présenter un contenu vraiment original.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La gêne qu’on éprouve devant ce petit objet théâtral et artificiel tient moins à sa supposée peinture tragi-comique d’une Amérique chancelante qu’au one-man-show égocentrique et exaspérant de Jim Cummings, acteur intense, scénariste bégayant et réalisateur absent.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Il faut se contenter de cette petite chose assez terne où Cummings distille ses effets comico-pathétiques avant de ramener son turbulent personnage dans le droit chemin (c’est un brave papa). Conclusion logique d’un film qui a confondu pantomime burlesque et dérèglement.
Écrit, réalisé, produit et (sur) joué par Jim Cummings (qui compose même la musique), ce premier film très original peut toutefois dérouter, voire lasser.
Les Fiches du Cinéma
Ce premier long métrage d’un jeune acteur américain met en œuvre, outre une étonnante performance d’acteur, une épatante vision de la folie ordinaire.
Les Inrockuptibles
Entre deuil, divorce et tracas quotidiens, un jeune flic se débat avec sa névrose d'échec. La naissance d'un acteur-auteur virtuose de l'humour amer.
Voici
Une tragi-comédie perchée, déroutante, qui nous fait osciller comme un oiseau ivre sur la branche, entre rire et malaise.
20 Minutes
Jim Cummings est un phénomène. Ce trentenaire est scénariste, réalisateur, acteur principal, chanteur et monteur de Thunder Road, comédie délirante au tour d’un flic totalement à l’ouest. Il a remporté le Grand Prix du festival de Deauville pour cette œuvre atypique.
CinemaTeaser
On admire la proposition de cinéma aussi limpide que radicale.
Ecran Large
"Thunder Road", c'est la révélation fracassante de Jim Cummings, réalisateur de talent mais surtout acteur incroyable, véritable tornade émotionnelle d'une sincérité, d'une violence et d'une tendresse ahurissantes.
Femme Actuelle
Une pépite loufoque du cinéma américain indépendant.
La Croix
Grand prix du festival de Deauville, ce film au ton inédit évoque avec justesse l’identité masculine dans le sud des États-Unis et révèle le talent multiforme de Jim Cummings.
Le Figaro
Jim Cummings joue et réalise un premier film virtuose.
Le Monde
Thunder Road renouvelle le genre du cinéma indépendant américain.
Libération
Un premier film empathique et finement mis en scène, lauréat du grand prix au festival de Deauville.
Ouest France
Un incroyable numéro d'acteur.
Positif
[...] premier long métrage sidérant d'originalité [...].
Première
Avec son premier film, Jim Cummings révèle un talent rare pour le tragi-comique décapant.
Rolling Stone
Fable tragique à l'humour coupable, "Thunder Road" confirme les espoirs placés en Jim Cummings, ici devant et derrière la caméra.
Transfuge
"Thunder Road", ou la brillante plongée de Jim Cummings dans les affres d’une vie cabossée.
Télérama
Portée à bout de bras par Jim Cummings, acteur prodigieux, mais aussi réalisateur, scénariste et producteur, cette chronique réussit à garder intactes, pendant une heure et demie, la tension et la folie du plan-séquence d’anthologie qui ouvre le film.
Bande à part
Une comédie qui vous arrache des larmes, un drame où le rire surgit comme un arc-en-ciel.
aVoir-aLire.com
Ce film singulier au ton rugueux et à la multitude de plans-séquences interminables pourrait bien déstabiliser les adeptes d’un cinéma classique mais ravira sans doute ceux qui aiment emprunter les chemins de traverse.
Critikat.com
En nous dévoilant par la performance systématique ses fêlures intimes, Jim Cummings semble avoir paradoxalement voulu se mettre à nu tout en bandant les muscles, assumant ses faiblesses pour mieux nous imposer ensuite ses coups de force stéroïdés.
Culturopoing.com
Passée la séduisante désinvolture de ton de cette ouverture tonitruante entre rire jaune, drame social et coup de pied dans la fourmilière des conventions, la dramédie s’étiole, faute de présenter un contenu vraiment original.
L'Obs
La gêne qu’on éprouve devant ce petit objet théâtral et artificiel tient moins à sa supposée peinture tragi-comique d’une Amérique chancelante qu’au one-man-show égocentrique et exaspérant de Jim Cummings, acteur intense, scénariste bégayant et réalisateur absent.
La Septième Obsession
Il faut se contenter de cette petite chose assez terne où Cummings distille ses effets comico-pathétiques avant de ramener son turbulent personnage dans le droit chemin (c’est un brave papa). Conclusion logique d’un film qui a confondu pantomime burlesque et dérèglement.
Le Journal du Dimanche
Écrit, réalisé, produit et (sur) joué par Jim Cummings (qui compose même la musique), ce premier film très original peut toutefois dérouter, voire lasser.
Cahiers du Cinéma
Le passage du court au long de Jim Cummings est décidément raté.