Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
[Un] premier long-métrage mêlant fantastique et poésie.
Femme Actuelle
par La rédaction
A voir comme une parabole (poétiquement filmée) sur l'éternel mystère du désir, insondable et capricieux.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
[...] "Jumbo" ne plaisante pas avec cet amour surnaturel pour un manège, pris très au sérieux, et considéré avec une sensible gravité. Noémie Merlant y croit, comme nous, éblouis par ce manège sentimental, beau, bizarre et lumineux
Le Parisien
par R.B.
[...] la jeune réalisatrice fait preuve d’une véritable vision et livre des images époustouflantes. Elle embarque le spectateur tout en ne le noyant pas dans le bizarre, grâce à des scènes pleines de fantaisie portées par Emmanuelle Bercot dans le rôle de Margarette, tandis que Noémie Merlant tient avec force et justesse le personnage de Jeanne.
Le Parisien
par La Rédaction
La jeune réalisatrice Zoé Wittock fait preuve d'une véritable vision et embarque le spectateur très loin tout en ne le noyant pas dans le bizarre, grâce à des scènes pleines de fantaisie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Laurent Duroche
Il y avait mille façons d'aborder une telle histoire. [...] Zoé Wittock opte pour la plus belle option : le réalisme magique.
Ouest France
par Thierry Chèze
Un film singulier qui ne va, hélas, pas au bout de ses ambitions.
CinemaTeaser
par Alex Masson
"Jumbo" [prend] le parti gonflé d’une forme hors norme, embrassant une poésie quasi-onirique et immersion socioréaliste, pour justement "normaliser" Jeanne, femme injustement considérée comme marginale par ses proches.
Ecran Large
par Geoffrey Crété
"Jumbo" flirte souvent avec l'excès, les limites de son histoire et ses personnages, et bascule parfois du mauvais côté. Mais n'en demeure pas moins la sensation d'avoir sous les yeux un premier film spécial et précieux, avec un vif désir de cinéma au-delà des codes.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Voix du Nord
par Christophe Caron
On espère une émotion digne d’un grand huit, mais ça patine un peu aux deux tiers. Trop d’hésitations sur la direction à prendre. Mais quelle réflexion intéressante sur les oukases de la normalité et le vertige du plaisir féminin ! Qu’est-ce qu’on aurait aimé que Zoé Wittock lâche les chevaux de la subversion !
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un premier film fragile, à la lisière du fantastique, qui séduit par sa singularité, sa poésie et l'interprétation de Noémie Merlant.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
[...] ce premier film, d'un talent prometteur, [est] aussi singulier qu'audacieux [...].
Télé Loisirs
par H.S.P.
Pour peu qu'on se laisse embarquer, cette romance singulière au style visuel soigné vise juste.
Télérama
par Guillemette Odicino
Ce premier film au sujet insolite trouble par moments par sa parenté avec le cinéma de David Cronenberg. Et Noémie Merlant confirme qu’elle est une actrice de tous les possibles. Mais la fragilité de la mise en scène et les redites empêchent d’adhérer pleinement à cette rencontre orgasmique entre femme et machine…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par A. V.
Un joli film étrange, imparfait et séduisant.
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
Un sujet de court-métrage que la réalisatrice meuble comme elle peut [...].
L'Obs
par Nicolas Schaller
« Objets inanimés, avez-vous donc une âme qui s’attache à notre âme et la force d’aimer ? » Zoé Wittock court-elle après Lamartine ? Son premier film évoque plutôt « Martine au manège ». On mettra au crédit de la jeune réalisatrice un vrai sens de l’image et l’audace d’aborder un sujet casse-gueule : l’« objectum-sexualité ».
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
La réalisatrice belge Zoé Wittock signe un premier film étrange et audacieux, magnifiquement servi par Noémie Merlant mais pas totalement abouti.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Philippe Ridet
Cette fable sans morale, mais bien éclairée et bien filmée, se termine, hélas trop tard, en comédie loufoque.
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
Ce premier film appliqué, au postulat étrange, passe un peu à côté de son sujet et échoue à convaincre, malgré les efforts louables de ses interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
Autour d’une jeune femme qui s’éprend d’une attraction de fête foraine, la cinéaste belge Zoé Wittock signe un mélo trop sérieux et sans recul.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Le geste aurait été infiniment plus fort si ce film en était resté à l’essence même de ce qu’est un coup de foudre : un état qui échappe à toute forme d’explication.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Josué Morel
La mise en scène tombe rapidement dans le piège d’une imagerie éculée qui atrophie son potentiel.
Elle
[Un] premier long-métrage mêlant fantastique et poésie.
Femme Actuelle
A voir comme une parabole (poétiquement filmée) sur l'éternel mystère du désir, insondable et capricieux.
Le Dauphiné Libéré
[...] "Jumbo" ne plaisante pas avec cet amour surnaturel pour un manège, pris très au sérieux, et considéré avec une sensible gravité. Noémie Merlant y croit, comme nous, éblouis par ce manège sentimental, beau, bizarre et lumineux
Le Parisien
[...] la jeune réalisatrice fait preuve d’une véritable vision et livre des images époustouflantes. Elle embarque le spectateur tout en ne le noyant pas dans le bizarre, grâce à des scènes pleines de fantaisie portées par Emmanuelle Bercot dans le rôle de Margarette, tandis que Noémie Merlant tient avec force et justesse le personnage de Jeanne.
Le Parisien
La jeune réalisatrice Zoé Wittock fait preuve d'une véritable vision et embarque le spectateur très loin tout en ne le noyant pas dans le bizarre, grâce à des scènes pleines de fantaisie.
Mad Movies
Il y avait mille façons d'aborder une telle histoire. [...] Zoé Wittock opte pour la plus belle option : le réalisme magique.
Ouest France
Un film singulier qui ne va, hélas, pas au bout de ses ambitions.
CinemaTeaser
"Jumbo" [prend] le parti gonflé d’une forme hors norme, embrassant une poésie quasi-onirique et immersion socioréaliste, pour justement "normaliser" Jeanne, femme injustement considérée comme marginale par ses proches.
Ecran Large
"Jumbo" flirte souvent avec l'excès, les limites de son histoire et ses personnages, et bascule parfois du mauvais côté. Mais n'en demeure pas moins la sensation d'avoir sous les yeux un premier film spécial et précieux, avec un vif désir de cinéma au-delà des codes.
La Voix du Nord
On espère une émotion digne d’un grand huit, mais ça patine un peu aux deux tiers. Trop d’hésitations sur la direction à prendre. Mais quelle réflexion intéressante sur les oukases de la normalité et le vertige du plaisir féminin ! Qu’est-ce qu’on aurait aimé que Zoé Wittock lâche les chevaux de la subversion !
Le Journal du Dimanche
Un premier film fragile, à la lisière du fantastique, qui séduit par sa singularité, sa poésie et l'interprétation de Noémie Merlant.
Télé 7 Jours
[...] ce premier film, d'un talent prometteur, [est] aussi singulier qu'audacieux [...].
Télé Loisirs
Pour peu qu'on se laisse embarquer, cette romance singulière au style visuel soigné vise juste.
Télérama
Ce premier film au sujet insolite trouble par moments par sa parenté avec le cinéma de David Cronenberg. Et Noémie Merlant confirme qu’elle est une actrice de tous les possibles. Mais la fragilité de la mise en scène et les redites empêchent d’adhérer pleinement à cette rencontre orgasmique entre femme et machine…
Voici
Un joli film étrange, imparfait et séduisant.
L'Ecran Fantastique
Un sujet de court-métrage que la réalisatrice meuble comme elle peut [...].
L'Obs
« Objets inanimés, avez-vous donc une âme qui s’attache à notre âme et la force d’aimer ? » Zoé Wittock court-elle après Lamartine ? Son premier film évoque plutôt « Martine au manège ». On mettra au crédit de la jeune réalisatrice un vrai sens de l’image et l’audace d’aborder un sujet casse-gueule : l’« objectum-sexualité ».
La Croix
La réalisatrice belge Zoé Wittock signe un premier film étrange et audacieux, magnifiquement servi par Noémie Merlant mais pas totalement abouti.
Le Monde
Cette fable sans morale, mais bien éclairée et bien filmée, se termine, hélas trop tard, en comédie loufoque.
Les Fiches du Cinéma
Ce premier film appliqué, au postulat étrange, passe un peu à côté de son sujet et échoue à convaincre, malgré les efforts louables de ses interprètes.
Libération
Autour d’une jeune femme qui s’éprend d’une attraction de fête foraine, la cinéaste belge Zoé Wittock signe un mélo trop sérieux et sans recul.
Première
Le geste aurait été infiniment plus fort si ce film en était resté à l’essence même de ce qu’est un coup de foudre : un état qui échappe à toute forme d’explication.
Critikat.com
La mise en scène tombe rapidement dans le piège d’une imagerie éculée qui atrophie son potentiel.