Note moyenne
3,5
19 titres de presse
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20 Minutes
Des vues sous-marines d’une beauté ahurissante méritent à elles seules d’aller découvrir ce nouveau voyage.
Femme Actuelle
Un magnifique documentaire et vibrant plaidoyer écologique.
La Croix
Des moyens techniques nouveaux permettent de mieux encore capter des images sublimes de ces paysages d’exception. La voix élégante et chaleureuse de Lambert Wilson nous accompagne dans ce voyage de l’extrême où l’empereur devient par la magie du cinéma de Luc Jacquet une figure familière et attachante.
Le Dauphiné Libéré
Un retour plutôt réussi de Luc Jacquet dans l’univers glacé : le récit, qu’assure Lambert Wilson, a le mérite d’être simple et surtout de ne pas trop alourdir les images, notamment sous-marines, qui font tout l’intérêt du film.
Le Figaro
Un film émouvant porté par des images époustouflantes.
Le Figaroscope
Les séquences sous l’eau sont magnifiées par des lumières exceptionnelles. La voix de Lambert Wilson qui conte le périple de la famille de manchots ajoute un supplément de poésie et de douceur. L’acteur dit les textes parfois un peu candides écrits par Luc Jacquet. Mais c’est un détail qui n’enlève rien à la beauté de ce documentaire.
Le Journal du Dimanche
Si la première partie du film évoque clairement "La Marche de l’empereur", le récit s’en émancipe pour se concentrer sur la trajectoire du poussin, si attendrissant, et les prises de vues sous-marines, une première pour Luc Jacquet.
Le Parisien
Avec des plans d'une grande beauté, des images sous-marines d'une netteté stupéfiante, et la voix de Lambert Wilson recruté comme conteur éclairé (...), « l'Empereur » dit toute la force de l'instinct de cet animal.
Le Point
On retrouve dans "L'Empereur" à la fois la beauté spectaculaire des images, la puissance d'interrogations essentielles, et cette faculté inouïe qu'a Luc Jacquet de donner une grâce de ballerine à ce peuple de culbutos sur lequel on n'aurait pas parié. Le miracle opère de nouveau.
Les Fiches du Cinéma
Luc Jacquet poursuit son tendre compagnonnage avec les empereurs. Impavides sous le blizzard, élégants en toutes circonstances et follement touchants, ils illustrent la puissante, quoique fragile, obstination de vivre.
Paris Match
Si l’enfer est sur terre, le paradis est dans la mer - les séquences maritimes sont d’une beauté insensée, une raison suffisante de plonger la tête la première dans l’eau glacée.
Sud Ouest
Surtout, cet "Empereur" nous renseigne sur l’animal le plus fascinant du monde, mi oiseau mi terrien, marcheur impénitent et nageur émérite, étrange bête amphibie dont le mâle couve l’œuf légué par la femelle tandis que celle-ci, débarrassée de son fardeau, s’en va à l’océan chercher à manger.
Voici
Une merveilleuse aventure.
L'Obs
Les marmots apprécieront, les amateurs de documentaire animalier aussi : bercé par une musique discrète et par une narration vulgarisatrice dite en voix off par Lambert Wilson, cet opus a gagné en sobriété.
La Voix du Nord
Joli catalogue de cartes postales commentées par Lambert Wilson. Difficile toutefois de différencier le vrai du virtuel, les véritables animaux de leurs avatars numériques.
Télérama
Si le charme opère, c'est par la grâce de l'animal, héros burlesque et opiniâtre (...). S'ajoutent les horizons XXL de ces décors naturels, aux aubes rosées, et les fonds sous-marins luxuriants. Une invitation au voyage immobile, une déclaration d'amour à cette immensité fragile.
aVoir-aLire.com
Si le classicisme de la réalisation ne permet pas au film de se démarquer des documentaires animaliers habituels, L’Empereur a l’immense mérite de témoigner de la beauté et de la fragilité d’un monde préservé qu’il convient de protéger.
Les Inrockuptibles
"L'Empereur" paraît faillir à une exigence apparue [depuis le succès de "La Marche de l'empereur"]: comme si l'on attendait désormais de ces films qu'ils creusent dans la nature un spectacle qui la transfigure, une valeur ajoutée par rapport aux vidéos d'animaux dont nous sommes abreuvés.
Critikat.com
De "La Marche" à "L'Empereur", il n'y a qu'un pas. Que Jacquet effectue à rebours malheureusement.