Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
40 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Aidé par la performance de Brad Pitt, le réalisateur marche sur les traces de Stanley Kubrick avec son conte spatial, Ad Astra.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
En un geste d’une grande pureté, Ad Astra semble avant tout dresser la carte astronomique de ce lyrisme abyssal qui doit si peu, chez Gray, au romantisme affolé et flamboyant des cinéastes saturniens évaporés sous de grands soleils noirs (Herzog, Coppola encore).
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Sublime et unique.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
James Gray réussit le défi de mêler aventure spatiale dans l’immensité intersidérale et plongée dans l’intimité psychique d’un astronaute de la NASA (...) une œuvre épurée où fond intellectuel et psychologique, représenté et forme filmique s’harmonisent suprêmement.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Malgré de menues imperfections et un tournant expérimental qui divisera, James Gray livre avec "Ad Astra" une aventure spatiale d'une ambition folle doublée d'une sublime réflexion existentielle sur la solitude et l'Humanité.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Un très grand film.
L'Ecran Fantastique
par Cédric Coppola
[...] "Ad Astra" plonge un stupéfiant Brad Pitt dans un formidable voyage intérieur aussi beau que sensoriel.
L'Express
par Antoine Le Fur
Métaphysique, "Ad Astra" est influencé par le "2001..." de Kubrick. Il s'agit surtout d'une grande oeuvre sur l'amour filial, dont le dénouement atteint des sommets d'émotion.
La Septième Obsession
par Loris Hantzis
"Ad Astra" conte avant tout l’histoire d’un homme forcé de s’exiler aux tréfonds de la galaxie pour ressentir de nouveau.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
James Gray s’empare des codes de la science-fiction et signe une magistrale odyssée intérieure.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Il y a du beau spectacle, dans l’aventure sidérale sidérante de Ad Astra, et la vérité touchante d’un homme qui part en mission spatiale à la recherche de son père, perdu aux confins du système solaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
Une épopée de l’intime, radicale, poétique et unique, où un homme apprend à renouer avec ses émotions.
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Cette mise en espace dilate, agrandit, amplifie le nœud œdipien ; et en même temps, elle le dépouille, l’épure. Sur fond de grand monochrome noir constellé de faibles lueurs d’argent, le scénario grayen n’a jamais été aussi nu, linéaire, limpide, à l’os.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Sans se défaire de l’élégance et de la mélancolie qui teintent ses précédents films, James Gray poursuit son exploration des relations familiales dans une quête sidérale sidérante.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier de Bruyn
Gray maîtrise en orfèvre l'art du scénario et de la mise en scène.
Ouest France
par Christophe Narbonne
Brad Pitt est sublime de douleur rentrée.
Positif
par Emmanuel Raspiengeas
Périple métaphysique fascinant, où les images du chef opérateur Hoyte Van Hoytema évoquent la peinture flamande du siècle d’or [...].
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le film imagine une lune colonisée, une poursuite dans un désert blanc sous les ténèbres, un voyage comme un long vertige et un héros placide que se verrait soudain percuté par la conscience d’un amour qu’il doit rattraper. Stimulant et superbe.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
D'une splendeur et d'une tristesse diamantines, "Ad Astra" réalise l'aphorisme de René Char : « c'est quand tu es ivre de chagrin que tu n'as plus du chagrin que le cristal ».
Voici
par Daniel Blois
Un très grand film, à la fois intime et universel.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Ad Astra est bien plus qu’un film de science-fiction. Il retrace l’incroyable destinée d’une relation entre un enfant et son père absent. Ce film sidérant comptera assurément dans l’histoire du cinéma américain.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Pierre Charpilloz
Entre odyssée spatiale à grand spectacle et drame intime, James Gray réussit un film ambitieux mais toujours humble, à la manière d'un grand roman américain.
Closer
par La Rédaction
Un film spatial dans lequel la science-fiction sert presque de prétexte à l'exploration des liens de filiation.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Alternant des moments intimes et d’époustouflantes scènes d’action, que souligne la musique aux accents épiques de Max Richter, le cinéaste américain s’approprie les codes du film de genre sans perdre de vue ses thèmes de prédilection : la transmission, la figure du héros, la complexité des relations humaines.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Ce film est le double inversé de « 2001 », avec la même puissance et un Brad Pitt réellement inspiré. Il faut se laisser aller à cette contemplation planante, à cet opéra des cieux, à cette quête spirituelle d’une humanité illusoire. C’est beau à voir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
James Gray, avec son perfectionnisme visuel, nous offre ainsi une odyssée spatiale somptueuse de beauté et d’étrangeté.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Etienne Sorin
Un film spectaculaire qui donne une nouvelle dimension à la filmographie du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Au plaisir de se laisser surprendre par des images grandioses et des scènes vertigineuses dans une ambiance planante (musique de Max Richter), s’ajoute celui de suivre le parcours psychique tendu d’un héros affrontant son destin. Même lesté d’un scaphandre, Brad Pitt assure.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Journal du Geek
par Jason Mathurin
James Gray fait le pari d'utiliser la SF pour aborder la quête de soi, la masculinité et le rapport au père. Un pari réussi notamment grâce à l'excellent jeu d’acteur de Brad Pitt et à l’esthétique des décors.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Parisien
par La Rédaction
Le film impressionne par sa façon de plonger le spectateur dans l'espace et par ses scènes d'action spectaculaires. On n'a jamais filmé aussi bien l'intérieur des vaisseaux spatiaux, la beauté des planètes et de la galaxie…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Pour cette escapade dans la science-fiction, James Gray n'a pas oublié l'élégance ni le classicisme de ses précédents films.
Mad Movies
par Laurent Duroche
Ainsi est "Ad Astra", film majeur dans l'absolu, réussite imparfaite de James Gray dans les faits, victime potentielle de bouleversements industriels qui ont peut-être - ou pas - façonné sa structure parfois frustrante.
Paris Match
par Yannick Vely
James Gray signe un grand film de science-fiction intimiste et dépressif, comme une Face B de «Lost City of Z» vue par le prisme du fils.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Frédéric Foubert
C’est un film superbe et funambule, triste et flamboyant, une prise de risques magnifique. Et si, plutôt qu’une nouvelle variation sur Apocalypse Now, James Gray venait de signer son Coup de coeur ? Dans notre bouche, c’est un compliment.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Ad Astra n’est pas sans aller un peu vite en besogne parfois pour “décorer” ou accélérer son intrigue, quand il fusille les éventuels vols commerciaux pour la Lune à venir ou quand son héros peut s’infiltrer à sa guise dans un vaisseau spatial en phase de pré-décollage en passant sous les réacteurs. Peu importe. Voire tant mieux.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé Loisirs
par Emilie Leoni
Un thriller hypnotique, doublé d'un mélo familial crépusculaire.
Télérama
par Jacques Morice
Par son refus du spectaculaire, par sa réflexion sur le legs paternel parfois trop explicite, le film prend le risque de décevoir. Il n’empêche que l’odyssée, visuellement inspirée et servie par un Brad Pitt fascinant, témoigne d’une singularité poétique dans sa manière d’illustrer le long chemin menant de la fusion à la séparation.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Filmsactu
par Pierre Champleboux
Ad Astra est un (très) beau film, mais si certains resteront ébahis devant la mise en scène de James Gray, d’autres pourraient bien rester de marbre face au vide spatial.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
C’est donc d’une émotion plus conceptuelle, plus cérébrale, que le film saisira le spectateur. Le sentiment d’intelligence formelle, par exemple, entre la ouate sensorielle qui enveloppe son long voyage et l’engourdissement mental d’un héros qui s’est fermé au monde et est devenu comme étranger à lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Critikat.com
par Josué Morel
L’étrangeté d’Ad Astra se joue sûrement là : si James Gray tend ici vers une ampleur inédite, c’est pour finalement livrer son œuvre la plus anémiée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
20 Minutes
Aidé par la performance de Brad Pitt, le réalisateur marche sur les traces de Stanley Kubrick avec son conte spatial, Ad Astra.
Cahiers du Cinéma
En un geste d’une grande pureté, Ad Astra semble avant tout dresser la carte astronomique de ce lyrisme abyssal qui doit si peu, chez Gray, au romantisme affolé et flamboyant des cinéastes saturniens évaporés sous de grands soleils noirs (Herzog, Coppola encore).
CinemaTeaser
Sublime et unique.
Culturopoing.com
James Gray réussit le défi de mêler aventure spatiale dans l’immensité intersidérale et plongée dans l’intimité psychique d’un astronaute de la NASA (...) une œuvre épurée où fond intellectuel et psychologique, représenté et forme filmique s’harmonisent suprêmement.
Ecran Large
Malgré de menues imperfections et un tournant expérimental qui divisera, James Gray livre avec "Ad Astra" une aventure spatiale d'une ambition folle doublée d'une sublime réflexion existentielle sur la solitude et l'Humanité.
Elle
Un très grand film.
L'Ecran Fantastique
[...] "Ad Astra" plonge un stupéfiant Brad Pitt dans un formidable voyage intérieur aussi beau que sensoriel.
L'Express
Métaphysique, "Ad Astra" est influencé par le "2001..." de Kubrick. Il s'agit surtout d'une grande oeuvre sur l'amour filial, dont le dénouement atteint des sommets d'émotion.
La Septième Obsession
"Ad Astra" conte avant tout l’histoire d’un homme forcé de s’exiler aux tréfonds de la galaxie pour ressentir de nouveau.
La Voix du Nord
James Gray s’empare des codes de la science-fiction et signe une magistrale odyssée intérieure.
Le Dauphiné Libéré
Il y a du beau spectacle, dans l’aventure sidérale sidérante de Ad Astra, et la vérité touchante d’un homme qui part en mission spatiale à la recherche de son père, perdu aux confins du système solaire.
Les Fiches du Cinéma
Une épopée de l’intime, radicale, poétique et unique, où un homme apprend à renouer avec ses émotions.
Les Inrockuptibles
Cette mise en espace dilate, agrandit, amplifie le nœud œdipien ; et en même temps, elle le dépouille, l’épure. Sur fond de grand monochrome noir constellé de faibles lueurs d’argent, le scénario grayen n’a jamais été aussi nu, linéaire, limpide, à l’os.
Libération
Sans se défaire de l’élégance et de la mélancolie qui teintent ses précédents films, James Gray poursuit son exploration des relations familiales dans une quête sidérale sidérante.
Marianne
Gray maîtrise en orfèvre l'art du scénario et de la mise en scène.
Ouest France
Brad Pitt est sublime de douleur rentrée.
Positif
Périple métaphysique fascinant, où les images du chef opérateur Hoyte Van Hoytema évoquent la peinture flamande du siècle d’or [...].
Sud Ouest
Le film imagine une lune colonisée, une poursuite dans un désert blanc sous les ténèbres, un voyage comme un long vertige et un héros placide que se verrait soudain percuté par la conscience d’un amour qu’il doit rattraper. Stimulant et superbe.
Transfuge
D'une splendeur et d'une tristesse diamantines, "Ad Astra" réalise l'aphorisme de René Char : « c'est quand tu es ivre de chagrin que tu n'as plus du chagrin que le cristal ».
Voici
Un très grand film, à la fois intime et universel.
aVoir-aLire.com
Ad Astra est bien plus qu’un film de science-fiction. Il retrace l’incroyable destinée d’une relation entre un enfant et son père absent. Ce film sidérant comptera assurément dans l’histoire du cinéma américain.
Bande à part
Entre odyssée spatiale à grand spectacle et drame intime, James Gray réussit un film ambitieux mais toujours humble, à la manière d'un grand roman américain.
Closer
Un film spatial dans lequel la science-fiction sert presque de prétexte à l'exploration des liens de filiation.
L'Humanité
Alternant des moments intimes et d’époustouflantes scènes d’action, que souligne la musique aux accents épiques de Max Richter, le cinéaste américain s’approprie les codes du film de genre sans perdre de vue ses thèmes de prédilection : la transmission, la figure du héros, la complexité des relations humaines.
L'Obs
Ce film est le double inversé de « 2001 », avec la même puissance et un Brad Pitt réellement inspiré. Il faut se laisser aller à cette contemplation planante, à cet opéra des cieux, à cette quête spirituelle d’une humanité illusoire. C’est beau à voir.
La Croix
James Gray, avec son perfectionnisme visuel, nous offre ainsi une odyssée spatiale somptueuse de beauté et d’étrangeté.
Le Figaro
Un film spectaculaire qui donne une nouvelle dimension à la filmographie du cinéaste.
Le Journal du Dimanche
Au plaisir de se laisser surprendre par des images grandioses et des scènes vertigineuses dans une ambiance planante (musique de Max Richter), s’ajoute celui de suivre le parcours psychique tendu d’un héros affrontant son destin. Même lesté d’un scaphandre, Brad Pitt assure.
Le Journal du Geek
James Gray fait le pari d'utiliser la SF pour aborder la quête de soi, la masculinité et le rapport au père. Un pari réussi notamment grâce à l'excellent jeu d’acteur de Brad Pitt et à l’esthétique des décors.
Le Parisien
Le film impressionne par sa façon de plonger le spectateur dans l'espace et par ses scènes d'action spectaculaires. On n'a jamais filmé aussi bien l'intérieur des vaisseaux spatiaux, la beauté des planètes et de la galaxie…
Le Point
Pour cette escapade dans la science-fiction, James Gray n'a pas oublié l'élégance ni le classicisme de ses précédents films.
Mad Movies
Ainsi est "Ad Astra", film majeur dans l'absolu, réussite imparfaite de James Gray dans les faits, victime potentielle de bouleversements industriels qui ont peut-être - ou pas - façonné sa structure parfois frustrante.
Paris Match
James Gray signe un grand film de science-fiction intimiste et dépressif, comme une Face B de «Lost City of Z» vue par le prisme du fils.
Première
C’est un film superbe et funambule, triste et flamboyant, une prise de risques magnifique. Et si, plutôt qu’une nouvelle variation sur Apocalypse Now, James Gray venait de signer son Coup de coeur ? Dans notre bouche, c’est un compliment.
Rolling Stone
Ad Astra n’est pas sans aller un peu vite en besogne parfois pour “décorer” ou accélérer son intrigue, quand il fusille les éventuels vols commerciaux pour la Lune à venir ou quand son héros peut s’infiltrer à sa guise dans un vaisseau spatial en phase de pré-décollage en passant sous les réacteurs. Peu importe. Voire tant mieux.
Télé Loisirs
Un thriller hypnotique, doublé d'un mélo familial crépusculaire.
Télérama
Par son refus du spectaculaire, par sa réflexion sur le legs paternel parfois trop explicite, le film prend le risque de décevoir. Il n’empêche que l’odyssée, visuellement inspirée et servie par un Brad Pitt fascinant, témoigne d’une singularité poétique dans sa manière d’illustrer le long chemin menant de la fusion à la séparation.
Filmsactu
Ad Astra est un (très) beau film, mais si certains resteront ébahis devant la mise en scène de James Gray, d’autres pourraient bien rester de marbre face au vide spatial.
Le Monde
C’est donc d’une émotion plus conceptuelle, plus cérébrale, que le film saisira le spectateur. Le sentiment d’intelligence formelle, par exemple, entre la ouate sensorielle qui enveloppe son long voyage et l’engourdissement mental d’un héros qui s’est fermé au monde et est devenu comme étranger à lui-même.
Critikat.com
L’étrangeté d’Ad Astra se joue sûrement là : si James Gray tend ici vers une ampleur inédite, c’est pour finalement livrer son œuvre la plus anémiée.