Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
35 critiques presse
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Le voyage au bout de la nuit d'un tueur à gages bordeline et la rencontre inoubliable entre Lynne Ramsay et Joaquin Phoenix. Un choc.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Lynne Ramsay, en symbiose avec Joaquin Phoenix, dissèque le héros américain. Un très grand film, à la fois romantique et désespéré.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Simon Riaux
Lynne Ramsay dope son polar hardboiled grâce à une mise en scène et à un montage d'une exceptionnelles profondeurs, transformant Joaquin Phoenix en ange de la mort déchirant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Eric Libiot
"A Beautiful Day" n’est pas un film plaisant. Mais passionnant, excitant, fascinant. Essentiel.
Le Point
par Philippe Guedj
C’est à la fois une expérience visuelle immersive, un grand film torturé sur la condition humaine et une osmose créative entre une cinéaste et son acteur.
Paris Match
par Yannick Vely
Une odyssée dans les ténèbres de l’âme humaine qui prend aux triples et fait battre le cœur à 120 pulsations par minute (...).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Philippe Rouyer
Le quatrième long métrage de Lynne Ramsay [s'ouvre sur la] promesse d'un film de genre électrisant, avec invitation à partager l'intimité d'un as du crime. Cette promesse sera tenue, mais le programme chamboulé en cours de route. Ce qui permettra de passer de l'exercice de style brillant et maîtrisé à un film étonnant, attachant et dérangeant qui ne ressemble à aucun autre.
Transfuge
par Damien Aubel
(...) superbe portrait d'une âme cabossée.
20 Minutes
par Caroline Vié
Joaquin Phoenix livre une performance intense en tueur à gages.
Closer
par La Rédaction
Un film aussi violent qu'esthétique.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Face à la mise en scène épidermique de Lynne Ramsay acharnée à renvoyer son héros aux maltraitances de l’enfance, aux parents misérables qui furent les siens, le scénario ne pèse pas lourd. Priorité au style hypnotique, à l’image mentale, aux crissements de la musique de Jonny Greenwood, au jeu intériorisé de l’acteur principal. Halluciné et hallucinant !
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Etienne Sorin
Massif, lent, barbu. Phoenix n'est pas plus délicat mais Ramsay ne filme pas la violence en gros plan. Rien de complaisant dans sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
L’intrigue classique est transcendée par la mise en scène impressionniste et pleine de grâce de la réalisatrice écossaise.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Catherine Balle
Joaquin Phoenix est aussi effrayant qu’envoûtant.
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Après “We Need to Talk About Kevin”, Lynne Ramsay magnifie un autre type de monstre et signe un grand film noir, habité par Joaquin Phoenix.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Une plongée chaotique dans le psychisme houleux d'un enfant battu devenu un tueur à gages traqué et vengeur. Avec un Joaquin Phoenix fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Joaquin Phoenix magistral, un scénario fort. Une réussite
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé Loisirs
par Gwenola Trouillard
En colosse brutal et déglingué maniant le marteau, aux accès de tendresse bourrue, Joaquin Phoenix livre une composition saisissante.
Télérama
par Samuel Douhaire
POUR : Pas de contestation, en revanche, pour le prix d’interprétation attribué à Joaquin Phoenix. L’acteur, méconnaissable, joue du contraste entre son physique de gros nounours et la brutalité terrifiante de son personnage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par François Forestier
C'est du cinéma-puzzle, à la fois agaçant et passionnant, parfois réussi, parfois ridicule.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Jérôme Vermelin
Si la performance de l’acteur, primé à Cannes, est indiscutable, la violence hyper esthétique de la réalisatrice Lynne Ramsay pose question.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Joaquin Phoenix, impressionnant, carrure massive, épaules tombantes, barbe d’homme des bois, avance sans se retourner, réglant tout sur son passage d’un bon coup de masse, dans un film qui épouse avec une complaisance assumée cette esthétique du marteau pilon.
Voici
par La Rédaction
La mise en scène frontale, radicale, joue la virtuosité autour d'un pitch vraiment minimaliste sans parvenir à l'envoûtement hypnotique.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Voyage introspectif dans l’inconscient d’un traumatisé de guerre, le film de Lynne Ramsay est un thriller référentiel à la fois séduisant et déroutant, à la virtuosité indéniable. Joachin Phoenix est époustouflant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Gabrielle Adjerad
(...) cette obsession inquiétante pour la cruauté semble curieusement refléter une forme de fascination chez la cinéaste qui échoue à dénoncer l’horreur qu’elle ne cesse d’esthétiser.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un film d’une confusion revendiquée, à l’image de son personnage, un anti-héros acharné à extirper une préadolescente d’un réseau de prostitution, et looser embourbé dans ses souvenirs. Clivant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le déchaînement de la violence est filmé avec un sens du détail élégant, qui paraît un peu hypocrite. Tous ces chichis maniérés masquent la complaisance d’un thriller assez gratuit.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Arnaud Schwartz
Il y a certes, dans ce film, « beaucoup de cinéma », mais aussi beaucoup de complaisance, au service d’un propos aussi mince que rebattu.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Distingué par deux prix à Cannes, le thriller de Lynne Ramsay privilégie une mise en scène graphique au détriment de l’intrigue.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Une bien trop lourde démonstration de force.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Un nanar qui se fantasme en objet clinquant et artistoïde, et tout autant l’inverse, enfin quelque chose qui traduit surtout un mépris ultra-bourgeois du cinéma.
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
Ce petit film présomptueux, laid et vil, avec Joaquin Phoenix – caricatural au possible – jouant un serial killer, n’a rien d’une comédie. Les séquences sont d’une telle lourdeur, inutilement allongées pour créer une tension, qu’elles ne parviennent même pas à déployer un quelconque trouble.
Libération
par Marcos Uzal
(...) un insupportable mélange de complaisance sanguinaire et d’effets chichiteux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Léonard Haddad
A la limite du pastiche et de la caricature (donc de la parodie), on a trouvé le "Only God Forgives" 2017. Précisions que nous n’y voyons pas un compliment.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
CONTRE : Autant dire que Joaquin Phoenix n’a rien de consistant à se mettre sous la dent. Faute de vrai défi, il devient une présence écrasante et finalement prétentieuse. Caricaturale.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
Le voyage au bout de la nuit d'un tueur à gages bordeline et la rencontre inoubliable entre Lynne Ramsay et Joaquin Phoenix. Un choc.
CinemaTeaser
Lynne Ramsay, en symbiose avec Joaquin Phoenix, dissèque le héros américain. Un très grand film, à la fois romantique et désespéré.
Ecran Large
Lynne Ramsay dope son polar hardboiled grâce à une mise en scène et à un montage d'une exceptionnelles profondeurs, transformant Joaquin Phoenix en ange de la mort déchirant.
L'Express
"A Beautiful Day" n’est pas un film plaisant. Mais passionnant, excitant, fascinant. Essentiel.
Le Point
C’est à la fois une expérience visuelle immersive, un grand film torturé sur la condition humaine et une osmose créative entre une cinéaste et son acteur.
Paris Match
Une odyssée dans les ténèbres de l’âme humaine qui prend aux triples et fait battre le cœur à 120 pulsations par minute (...).
Positif
Le quatrième long métrage de Lynne Ramsay [s'ouvre sur la] promesse d'un film de genre électrisant, avec invitation à partager l'intimité d'un as du crime. Cette promesse sera tenue, mais le programme chamboulé en cours de route. Ce qui permettra de passer de l'exercice de style brillant et maîtrisé à un film étonnant, attachant et dérangeant qui ne ressemble à aucun autre.
Transfuge
(...) superbe portrait d'une âme cabossée.
20 Minutes
Joaquin Phoenix livre une performance intense en tueur à gages.
Closer
Un film aussi violent qu'esthétique.
La Voix du Nord
Face à la mise en scène épidermique de Lynne Ramsay acharnée à renvoyer son héros aux maltraitances de l’enfance, aux parents misérables qui furent les siens, le scénario ne pèse pas lourd. Priorité au style hypnotique, à l’image mentale, aux crissements de la musique de Jonny Greenwood, au jeu intériorisé de l’acteur principal. Halluciné et hallucinant !
Le Figaro
Massif, lent, barbu. Phoenix n'est pas plus délicat mais Ramsay ne filme pas la violence en gros plan. Rien de complaisant dans sa mise en scène.
Le Journal du Dimanche
L’intrigue classique est transcendée par la mise en scène impressionniste et pleine de grâce de la réalisatrice écossaise.
Le Parisien
Joaquin Phoenix est aussi effrayant qu’envoûtant.
Les Fiches du Cinéma
Après “We Need to Talk About Kevin”, Lynne Ramsay magnifie un autre type de monstre et signe un grand film noir, habité par Joaquin Phoenix.
Les Inrockuptibles
Une plongée chaotique dans le psychisme houleux d'un enfant battu devenu un tueur à gages traqué et vengeur. Avec un Joaquin Phoenix fascinant.
Rolling Stone
Joaquin Phoenix magistral, un scénario fort. Une réussite
Télé Loisirs
En colosse brutal et déglingué maniant le marteau, aux accès de tendresse bourrue, Joaquin Phoenix livre une composition saisissante.
Télérama
POUR : Pas de contestation, en revanche, pour le prix d’interprétation attribué à Joaquin Phoenix. L’acteur, méconnaissable, joue du contraste entre son physique de gros nounours et la brutalité terrifiante de son personnage.
L'Obs
C'est du cinéma-puzzle, à la fois agaçant et passionnant, parfois réussi, parfois ridicule.
LCI
Si la performance de l’acteur, primé à Cannes, est indiscutable, la violence hyper esthétique de la réalisatrice Lynne Ramsay pose question.
Le Dauphiné Libéré
Joaquin Phoenix, impressionnant, carrure massive, épaules tombantes, barbe d’homme des bois, avance sans se retourner, réglant tout sur son passage d’un bon coup de masse, dans un film qui épouse avec une complaisance assumée cette esthétique du marteau pilon.
Voici
La mise en scène frontale, radicale, joue la virtuosité autour d'un pitch vraiment minimaliste sans parvenir à l'envoûtement hypnotique.
aVoir-aLire.com
Voyage introspectif dans l’inconscient d’un traumatisé de guerre, le film de Lynne Ramsay est un thriller référentiel à la fois séduisant et déroutant, à la virtuosité indéniable. Joachin Phoenix est époustouflant.
Critikat.com
(...) cette obsession inquiétante pour la cruauté semble curieusement refléter une forme de fascination chez la cinéaste qui échoue à dénoncer l’horreur qu’elle ne cesse d’esthétiser.
Franceinfo Culture
Un film d’une confusion revendiquée, à l’image de son personnage, un anti-héros acharné à extirper une préadolescente d’un réseau de prostitution, et looser embourbé dans ses souvenirs. Clivant.
L'Humanité
Le déchaînement de la violence est filmé avec un sens du détail élégant, qui paraît un peu hypocrite. Tous ces chichis maniérés masquent la complaisance d’un thriller assez gratuit.
La Croix
Il y a certes, dans ce film, « beaucoup de cinéma », mais aussi beaucoup de complaisance, au service d’un propos aussi mince que rebattu.
Le Monde
Distingué par deux prix à Cannes, le thriller de Lynne Ramsay privilégie une mise en scène graphique au détriment de l’intrigue.
Studio Ciné Live
Une bien trop lourde démonstration de force.
Cahiers du Cinéma
Un nanar qui se fantasme en objet clinquant et artistoïde, et tout autant l’inverse, enfin quelque chose qui traduit surtout un mépris ultra-bourgeois du cinéma.
La Septième Obsession
Ce petit film présomptueux, laid et vil, avec Joaquin Phoenix – caricatural au possible – jouant un serial killer, n’a rien d’une comédie. Les séquences sont d’une telle lourdeur, inutilement allongées pour créer une tension, qu’elles ne parviennent même pas à déployer un quelconque trouble.
Libération
(...) un insupportable mélange de complaisance sanguinaire et d’effets chichiteux.
Première
A la limite du pastiche et de la caricature (donc de la parodie), on a trouvé le "Only God Forgives" 2017. Précisions que nous n’y voyons pas un compliment.
Télérama
CONTRE : Autant dire que Joaquin Phoenix n’a rien de consistant à se mettre sous la dent. Faute de vrai défi, il devient une présence écrasante et finalement prétentieuse. Caricaturale.