Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
C’est par la sensibilité à fleur de peau de ses personnages que le récit touche tant. Dans l’installation d’une situation, son développement et ses aboutissants. Un film poignant de bout en bout, bouleversant, révoltant.
Une fiction intime et politique, qui échappe à la sensiblerie et à l'apitoiement. Du premier au dernier plan, Catherine Corsini préfère la suggestion à la démonstration, les murmures aux vociférations et son film n'en est que plus émouvant.
La mère courage, écartelée entre le sentiment amoureux et la souffrance, est formidablement interprétée par une Virginie Efira qui porte littéralement tout le film. Magistral.
[...] on est touché en profondeur. Déjà, parce que le film évite - avec raison - toute forme de sentimentalisme. Ensuite, parce que le malaise ne cesse de planer, révélant tout un monde.
Portée par une Virginie Efira formidable, au jeu empli de finesse, Rachel devient malgré elle une grande héroïne féministe. De celles qu'on retrouve chez Todd Haynes, François Truffaut et Jane Campion.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Ce récit romanesque, se déroulant sur plusieurs décennies, démontre la cruauté des sentiments et l’émancipation d’une femme qui tente par tous les moyens de se libérer d’un mâle manipulateur.
Catherine Corsini adapte avec pudeur le roman de Christine Angot dans un film émouvant porté par les interprétations de Virginie Efira et Niels Schneider.
Portée par une Virginie Efira formidablement combattante, cette adaptation du roman de Christine Angot aborde avec une rare intensité la passion au-delà de la raison, la complexité des relations mère-fille, la perversité destructrice.
[...] le film gagne en force par l’opiniâtre chronique des euphories et mortifications de cette existence longtemps vécues sans trop y penser, avec la modestie de ceux qui estiment que leur vie demeure sans histoire lors même qu’elle est en train de se consumer en un destin qu’aucune fiction n’oserait inventer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Malgré la difficulté de la recomposition, malgré la nécessité de garder une ligne pure sans renoncer à des contournements, « Un amour impossible » dégage une émotion d'autant plus forte qu'elle naît peu à peu, au fil d'un récit qu'on croît singulier, privé, et qui s'avère celui de tous.
Ecrit par deux femmes d’après le roman d’une femme, réalisé par une femme dans le but de retracer le destin de deux femmes, ce film place la relation mère/fille au centre de son propos, et nous invite à assister à une belle déclaration d’amour filial sur fond de courage et d’intelligence. Femmes, je vous aime !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Formidablement bien incarné par Virginie Efira et Niels Schneider, le couple fonctionne et donne âme à cette histoire poignante qui, à l'écran, aurait gagné en intensité en s'affranchissant de la répétition de certaines scènes (les rendez-vous père-fille) ainsi que d'une fin trop démonstrative.
C'est d'ailleurs élégamment mis en scène, avec une certaine pertinence dans les cadrages et dans le rythme des mouvements de caméra. En revanche, la voix off monocorde de Chantal n'était vraiment pas indispensable, [...].
Le film de Catherine Corsini, dont on apprécie la mise en scène discrète, le contournement elliptique et pudique des scènes de viol et la reconstitution, jamais pittoresque, de l'atmosphère des années 1960, n'a qu'un défaut : sa longueur, deux heures et quart.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Malgré quelques maladresses et une fin trop didactique, « un Amour impossible » est un film délicat et profond, ébloui par l’interprétation solaire de Virginie Efira, qui joue de manière totalement crédible et habitée une femme de 25 ans, puis de 35 ans et enfin de 65 ans.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Catherine Corsini semble avoir retrouvé un nouveau souffle, une nouvelle inspiration, en parfait accord avec l’exaspération actuelle de toutes les femmes face à la violence des hommes.
C’est faire peu confiance à la fiction, au pouvoir évocateur et même rédempteur d’un récit, d’une vie racontée, que de neutraliser ainsi cette histoire de hantise par une parole qui, fut-elle salvatrice, est davantage adressée à un psychanalyste absent qu’à un spectateur présent, et qui se sent forcément en trop.
Un mélodrame familial à consonance sociale, qui tourne au sordide, dans un film dont la finesse de reconstitution et d’interprétation se leste un peu trop lourdement de l’autofiction psy du livre de Christine Angot dont il est l’adaptation.
Aux antipodes du “feel good movie”, cettre fresque indigeste ne rend pas hommage à la plume sèche et efficace d’Angot, mais offre un rôle bouleversant à Virginie Efira.
En fin de compte, on reste indifférent à ce qu'éprouvent les personnages. Peut-être parce que les comédiens, qui se côtoient sur plusieurs années, vieillissent mal.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Dernières Nouvelles d'Alsace
Virginie Efira est l’actrice extraordinaire de cette vie libre, Madame Angot mère, magnifiée par une mise en scène élégante et fluide.
Femme Actuelle
Un film choc, romanesque et bouleversant, superbement porté par Virginie Efira.
Franceinfo Culture
C’est par la sensibilité à fleur de peau de ses personnages que le récit touche tant. Dans l’installation d’une situation, son développement et ses aboutissants. Un film poignant de bout en bout, bouleversant, révoltant.
Marianne
Une fiction intime et politique, qui échappe à la sensiblerie et à l'apitoiement. Du premier au dernier plan, Catherine Corsini préfère la suggestion à la démonstration, les murmures aux vociférations et son film n'en est que plus émouvant.
Ouest France
La mère courage, écartelée entre le sentiment amoureux et la souffrance, est formidablement interprétée par une Virginie Efira qui porte littéralement tout le film. Magistral.
Positif
[...] on est touché en profondeur. Déjà, parce que le film évite - avec raison - toute forme de sentimentalisme. Ensuite, parce que le malaise ne cesse de planer, révélant tout un monde.
Télé 2 semaines
À la fois amante blessée et mère courage, Virginie Efira incarne l'héroïne de ce sublime mélo à l'ampleur tragique. Elle nous bouleverse totalement.
20 Minutes
Catherine Corsini offre une adaptation sensible d’un livre réputé sulfureux.
BIBA
[...] ce combat qui tourne à l'inceste est mené par une Virginie Efira digne et sobre comme jamais.
Bande à part
Portée par une Virginie Efira formidable, au jeu empli de finesse, Rachel devient malgré elle une grande héroïne féministe. De celles qu'on retrouve chez Todd Haynes, François Truffaut et Jane Campion.
CNews
Ce récit romanesque, se déroulant sur plusieurs décennies, démontre la cruauté des sentiments et l’émancipation d’une femme qui tente par tous les moyens de se libérer d’un mâle manipulateur.
La Croix
Catherine Corsini adapte avec pudeur le roman de Christine Angot dans un film émouvant porté par les interprétations de Virginie Efira et Niels Schneider.
La Voix du Nord
Virginie Efira est bouleversante.
Le Journal du Dimanche
Portée par une Virginie Efira formidablement combattante, cette adaptation du roman de Christine Angot aborde avec une rare intensité la passion au-delà de la raison, la complexité des relations mère-fille, la perversité destructrice.
Le Monde
La cinéaste adapte avec subtilité l’autofiction de la romancière Un amour impossible.
Libération
[...] le film gagne en force par l’opiniâtre chronique des euphories et mortifications de cette existence longtemps vécues sans trop y penser, avec la modestie de ceux qui estiment que leur vie demeure sans histoire lors même qu’elle est en train de se consumer en un destin qu’aucune fiction n’oserait inventer.
Sud Ouest
Malgré la difficulté de la recomposition, malgré la nécessité de garder une ligne pure sans renoncer à des contournements, « Un amour impossible » dégage une émotion d'autant plus forte qu'elle naît peu à peu, au fil d'un récit qu'on croît singulier, privé, et qui s'avère celui de tous.
Télé 7 Jours
Bouleversant.
Télérama
Lumineuse adaptation du roman de Christine Angot, où le statut des femmes dans les années 1950-60 et la relation mère-fille nous bouleversent.
Voici
Du livre de Christine Angot, Catherine Corsini tire une déclaration d'amour tardive, cruelle et bouleversante, d'une fille à sa mère.
aVoir-aLire.com
Ecrit par deux femmes d’après le roman d’une femme, réalisé par une femme dans le but de retracer le destin de deux femmes, ce film place la relation mère/fille au centre de son propos, et nous invite à assister à une belle déclaration d’amour filial sur fond de courage et d’intelligence. Femmes, je vous aime !
Elle
Formidablement bien incarné par Virginie Efira et Niels Schneider, le couple fonctionne et donne âme à cette histoire poignante qui, à l'écran, aurait gagné en intensité en s'affranchissant de la répétition de certaines scènes (les rendez-vous père-fille) ainsi que d'une fin trop démonstrative.
L'Express
C'est d'ailleurs élégamment mis en scène, avec une certaine pertinence dans les cadrages et dans le rythme des mouvements de caméra. En revanche, la voix off monocorde de Chantal n'était vraiment pas indispensable, [...].
L'Obs
Le film de Catherine Corsini, dont on apprécie la mise en scène discrète, le contournement elliptique et pudique des scènes de viol et la reconstitution, jamais pittoresque, de l'atmosphère des années 1960, n'a qu'un défaut : sa longueur, deux heures et quart.
Le Parisien
Malgré quelques maladresses et une fin trop didactique, « un Amour impossible » est un film délicat et profond, ébloui par l’interprétation solaire de Virginie Efira, qui joue de manière totalement crédible et habitée une femme de 25 ans, puis de 35 ans et enfin de 65 ans.
Les Inrockuptibles
Catherine Corsini semble avoir retrouvé un nouveau souffle, une nouvelle inspiration, en parfait accord avec l’exaspération actuelle de toutes les femmes face à la violence des hommes.
Première
Catherine Corsini adapte Christine Angot pour un film un peu trop classique, mais qui fait briller l'indispensable Virginie Efira.
Cahiers du Cinéma
C’est faire peu confiance à la fiction, au pouvoir évocateur et même rédempteur d’un récit, d’une vie racontée, que de neutraliser ainsi cette histoire de hantise par une parole qui, fut-elle salvatrice, est davantage adressée à un psychanalyste absent qu’à un spectateur présent, et qui se sent forcément en trop.
Le Dauphiné Libéré
Un mélodrame familial à consonance sociale, qui tourne au sordide, dans un film dont la finesse de reconstitution et d’interprétation se leste un peu trop lourdement de l’autofiction psy du livre de Christine Angot dont il est l’adaptation.
Les Fiches du Cinéma
Aux antipodes du “feel good movie”, cettre fresque indigeste ne rend pas hommage à la plume sèche et efficace d’Angot, mais offre un rôle bouleversant à Virginie Efira.
Critikat.com
Plus que la simplicité du discours, c’est la maladresse avec laquelle il se déploie qui pose question.
Le Figaro
En fin de compte, on reste indifférent à ce qu'éprouvent les personnages. Peut-être parce que les comédiens, qui se côtoient sur plusieurs années, vieillissent mal.